dimanche 30 septembre 2012

Fame

Le slow qui tue de la semaine soutient les jeunes artistes :

Irène Cara: Out Here On My Own


L'un de mes films cultes. Pourtant, je l'ai connu après la série. J'adorais cette série et quand j'ai vu le film, la magie a opéré de suite. J'ai eu de suite un coup de foudre pour cette chanson.  (Par contre, ne me parlez pas des remakes de la série puis du film. Je ne les ai pas vu et je n'ai pas envie de les voir. Cela risquerait de tuer la magie de "mon" Fame. (De toute façon, c'est bien connu, rien ne vaut l'original!)

Bonne écoute!












Ce que le jour doit à la nuit

4e de couverture: Algérie, dans les années 1930.
Les champs de blés frissonnent. Dans trois jours, les moissons, le salut. Mais une triste nuit vient consumer l'espoir. Le feu. Les cendres. Pour la première fois, le jeune Younes voit pleurer son père. Et de pleurs, la vie de Younes ne manquera pas. Confié à un oncle pharmacien, dans un village de l'Oranais, le jeune garçon s'intègre à la communauté pied-noire. Noue des amitiés indissolubles, françaises, juives : "les doigts de la fourche ", comme on les appelle.
Et le bonheur s'appelle Emilie, une "princesse" que les jeunes gens se disputent. Alors que l'Algérie coloniale vit ses derniers feux, dans un déchaînement de violences, de déchirures et de trahisons, les amitiés se disloquent, s'entrechoquent. Femme ou pays, l'homme ne peut jamais oublier un amour d'enfance...


La sortie du film a été un bon moyen pour faire sortir ce roman de Yasmina Khadra de ma PAL.
Pour tout vous dire, j'ai apprécié ma lecture mais je n'étais pourtant pas pressé d'y retourner. Je ne sais pas si vous avez déjà eu cette impression d'être bien dans un livre le temps de votre lecture mais que vous n'y retournez pas forcément dès que vous avez un moment de libre.
C'est la découverte de l'Algérie qui m'a poussé à me tourner vers ce livre. J'ai ainsi parcouru ce pays en compagnie de Younes/Jonas, des années 30 jusqu'à l'indépendance de l'Algérie en 62. En 4 parties bien distinctes, l'auteur nous entraine dans ces contrées magnifiques qui dépaysent à coup sûr.
Dans la première partie, on fait la connaissance de Younes/Jonas et de sa famille, mais également des quartiers pauvres de la ville d'Oran et plus particulièrement le quartier de Jenane Jato. Le père de Younes, essaie de faire vivre sa famille du mieux qu'il peut et j'ai ainsi découvert que malgré la meilleur volonté du monde, on n'arrive pas forcément à s'en sortir. C'est la partie la plus vibrante du roman, celle qui vous prend aux tripes. Mais le destin de Younes va changer quand il va être confié à son oncle pharmacien.Il va "devenir" Jonas.
Dans la deuxième partie, la nouvelle famille de Jonas va partir pour Rio Salado: c'est une autre vie qui s'ouvre à lui. Le lecteur découvre aussi de nouveaux personnages comme la bande: Jean-Christophe, Fabrice et Simon. Mais aussi Isabelle et Emilie, deux filles qui vont changer le destin de ces quatre mousquetaires à tout jamais.
La Troisième partie est celle du chamboulement, des affrontements, des questionnements: Emilie va aussi jouer un rôle important: c'est elle qui, sans le vouloir réellement (du moins je l'espère quoique j'en doute un peu et c'est probablement cela qui m'a fait ne pas trop apprécié ce personnage), va faire éclater la petite bande. C'est également dans cette partie que la question identitaire est posée: Jonas/Younes, ne sait plus à quel patrie il appartient: il est musulman, et algérien de souche, alors que ses amis sont catholiques et algériens français. Alors, certes, Emilie va avoir un rôle dans la distance qui se met entre Jonas/younes et ses amis mais la guerre qui s'annonce va accentuer cette distance. Pourtant, malgré cela, Younes/Jonas, ne prendra jamais vraiment position pour un camp, ce qui lui sera reproché, d'ailleurs.
La dernières partie nous fait faire un bon de géant puisqu'elle se passe de nos jours, en 2008 (date où le roman a été écrit et publié): Younes/Jonas, qui est le seul a être resté en Algérie, va retrouver ses amis en France pour un évènement tragique.

J'ai aimé suivre ce destin sous la plume poétique de Yasmina Khadra qui m'a par moment ému. Toutefois, j'ai été un peu déçu que l'auteur laisse certains personnages de côté. J'ai été frustré de ne pas savoir ce qu'étaient devenues la mère et la sœur du héros. Elles disparaissent aux yeux de Younes/Jonas mais également du lecteur. J'ai été également frustré que Jonas/Younes ne choisisse pas son camp lors du conflit algérien: en restant extérieur au conflit, la guerre est alors évoqué de loin en loin, par petites bribes: certes, l'auteur parle d'attentats, de massacres et même de tortures, mais je ne me suis pas senti au coeur de cet évènement majeur de l'histoire Franco-Algérienne.
Malgré ces petits bémols, j'ai aimé suivre ces personnages. La plume de Yasmina Khadra est douce, poétique et touchante, comme le titre de ce roman. Un roman que je vous conseille pour partir en compagnie de Younes/Jonas, à la découverte de l'Algérie.

Petit aparté: certaines personnes qui ont vu l'adaptation cinématographique l'ont comparé à "Autant en emporte le vent". Je serai curieux de voir cette adaptation car moi qui ait lu les deux romans (celui de Khadra et celui de Mitchell), je cherche encore les points de comparaisons entre les deux car je n'en vois aucun. Younes/Jonas n'a rien d'un Rhett Butler et Emilie est à mille lieues de la belle, forte et sublimement têtue Scarlett O'Hara. Voila pourquoi, je n'aime pas les comparaisons car souvent, elles sont fausses et donnent une image biaisée d'un roman ou d'un film,  et c'est comme ça que le lecteur peut voir venir une déception en lisant un livre ou en voyant un film car il s'imagine une chose qui n'est pas.


Si un roman doit être comparé avec "Autant en emporte le vent" c'est "la Bicyclette bleue" (les 3 premiers tomes de la saga): là, les points de comparaisons sont très fortement visibles, tellement d'ailleurs que les héritiers de Margaret Mitchell ont intenté un procès à Régine Deforges pour plagiat (procès qu'ils ont perdus). 
Alors, Arrêtons avec les comparaisons! Nos attentes d'un roman/film/série, seront moins décevantes et nous passerons de jolis moments avec eux.

Yasmina Khadra: Ce que le jour doit à la nuit, Pocket, 438 pages, 2008
















4/ Adapté  au cinéma par Alexandre Arcady. Sortie le 12 septembre 2012 en salles.










vendredi 28 septembre 2012

Michel Berger, celui qui chante #39

La chanson d'Azima (1987)

Quand le désert avance
C'est la vie qui s'en va
La faute à pas de chance
Ou dieu qui nous foudroie

Et le désert avance

Plus personne n'y croit
C'est notre déchéance
L'impossible combat
Quand le désert avance

Que veux-tu que l'on soit ?

Les femmes Touaregs dansent
Elles-mêmes n'y croient pas

Dans leurs souvenirs d'enfance

Les chasseurs étaient là
Mais le désert avance
Le sable devient roi

Et c'est notre souffrance

Qui coule entre nos doigts
Dans ces dunes immenses
Qui donc y survivra

Mais toi qui vient de France

Où l'on oublie qu'on boit
Dis-leur ce que tu penses
Dis-leur ce que tu vois

Dis-leur quelle est leur chance

Et qu'ils ne la voient pas
Et qu'on meurt d'impuissance
Mais qu'on garde la foi

Que le désert avance

Et l'eau n'arrive pas
Sans cette délivrance
Nous n'avons plus le choix

Dis-leur que la nuit tombe

Sur cette affreuse urgence
Et que c'est sur nos tombes
Que le désert avance

Voici un autre extrait de l'album "Babacar": "La chanson d'Azima" (que l'on appelle souvent "Quand le désert avance").  Dire que cette magnifique chanson aurait pu ne pas voir le jour et rester dans une poubelle, comme l'explique si bien France Gall dans le livret du Best Of "Evidemment": "La ville de Tombouctou où nous étions pour Action-Ecole, a servi de décor à un des plus beaux textes de Michel. Jannick Top signe l'arrangement in extremis en allant chercher la chanson dans la poubelle où Michel l'avait jetée, découragé de ne pas trouver lui même un arangement musical". (extrait du livret du Best Of "Evidemment)
Un grand merci à Jannick Top de nous avoir permis de découvrir l'une des plus belles chansons de Michel, si justement chantée par France Gall. 




mardi 25 septembre 2012

Hommage à Gérard Berliner



Je l'avoue, de Gérard Berliner, je ne connaissais qu'une seule chanson, mais quelle chanson!


Louise
Ah Louise! La première fois que j'ai écouté cette chanson, il y a 12 ans, j'ai eu un coup au coeur. Cette voix à fleur de peau me donne des frissons et retranscrit tellement bien le destin de cette servante qui perdra l'homme qu'elle aime lors de la guerre de 14-18. En quelques phrases, tout est dit et avec quelle émotion que je défie quiconque de ne pas être bouleversé par cette chanson.

Puis, la semaine dernière, j'ai voulu réécouter "Louise". Comme je me trouvais sur internet, je suis allé sur Youtube. Et c'est grâce à cette petite recherche que j'ai (enfin!) voulu me pencher sur la carrière de ce formidable chanteur un peu boudé par les médias.
J'ai alors retrouvé cette voix si particulière qui me donne des frissons à chaque écoute. Mais surtout des textes d'une beauté rare qu'on ne retrouve plus dans les chansons d'aujourd'hui, ce qui est fort dommage.

J'ai ainsi découvert


Le voleur de maman (c'est étrange, je me sens proche de cette chanson. Pourtant, je n'ai pas vécu un destin semblable puisque ma mère et moi sommes très proches. Mais l'interprétation de Berliner n'est  pas étrangère à cette proximité que je ressens pour cette histoire).

Puis il y eu ce choc:


Les amants d'Oradour (après la 1ere guerre avec "Louise", Gérard Berliner a chanté la seconde guerre  et évoque le massacre d'Oradour sur Glane en mettant en scène ces amants de passage à Oradour qui vont être victimes de la cruauté des hommes. C'est troublant en voyant les images d'Oradour, j'ai des souvenirs qui sont remontés à la surface.  Quand j'avais 18 ans, mes parents nous ont emmené, mon frère et moi à Oradour, sur ma demande. Je voulais voir ce village dont j'entendais parler depuis des années. En arrivant, j'ai été sans voix et un peu gêné, comme une impression de déranger la paix de ces lieux)

Mais Gérard Berliner à également rendu des hommages en interprétant des chansons de Reggiani:




 Le petit garçon

Mais également Barbara, qu'il interpréte magistralement:

Vienne


Puis dans les années 2000, il revient sur le devant de la scène avec un spectacle Mon alter Hugo où il incarne Victor Hugo (d'ailleurs la ressemblance entre le poète et le chanteur est troublante). Il met ainsi des poèmes de Victor Hugo comme "Demain dès l'aube" et "A Villequier" en musique, où il mêle les strophes de ces deux poèmes ensemble pour en faire un "Aimer, c'est plus que vivre" tout a fait admirable.


En 2009, a Avignon, il annonce qu'il prépare une suite à  Mon alter Hugo, "Nos lettres d'amour" qui se serait focalisé sur la correspondance de Victor Hugo et Juliette Drouet.

Sauf que le destin en décida autrement. Le 13 octobre 2010, Gérard Berliner est victime d'une crise cardiaque. Il rejoint les étoiles à l'âge de 54 ans.

Je ne regrette qu'une chose: être passé à côté de ce grand artiste de la chanson et de ne l'avoir vraiment découvert qu’après sa mort. Des artistes de cet acabit sont rares alors, quand en plus, ils sont oubliés par les médias, cela me met un peu en colère.

Voilà pourquoi, j'ai voulu, par mes petits moyens  vous faire partager ma découverte. J'espère que vous prendrez plaisir à le découvrir et à l'écouter plus avant (comme je le fait depuis quelques jours).



lundi 24 septembre 2012

Kestavu au ciné cette semaine? (n°4)





Voici le petit rendez-vous cinéma où je parle des films vu en DVD (principalement), à la télé (très rarement) où au ciné (encore plus rarement) cette semaine.

9/Vu le 17 septembre 2012


Film de Jonathan Demme: avec Tom Hanks, Denzel Whashington, Antonio Banderas... (1993)

Je ne vais pas répéter tout le bien que je pense du film. Si vous voulez en savoir plus, allez lire mon billet écrit juste après ce 17e visionnage.







10/Vu le 18 septembre 2012

 
Film d'Elia Kazan: avec Marlon Brando, Vivien Leigh, Karl Malden... (1951)

Il est des films devenus des chefs-d'oeuvre, qu'il faut avoir vu au moins une fois dans sa vie. Ce "Tramway nommé Désir" d'Elia Kazan  en fait partie.
Marlon Brando et Vivien Leigh sont époustouflants de justesse et d'ambiguités: La folie s'insinue et est présente tout au long du film et plane comme une chape de plomb sur ce petit appartement de la Nouvelle Orléans. Admirable!



11/Vu le 19 septembre 2012

Film de Paul Greengrass: avec Matt Damon,  Julia Stiles, David Strathaim...(2007)

3e volet de la saga Bourne( tiré des romans de Robert Ludlum). Je trouve que c'est le plus spectaculaire des trois mais également le moins complexe de la trilogie (il faut dire que le scénario tient sur une liste de courses, le réalisateur misant plus sur les scènes d'actions et de courses poursuite).
Pourtant, je n'ai pas boudé mon plaisir et avec le premier, c'est mon préféré de la saga...même si au début j'ai mis un peu de temps pour m'y retrouver ayant vu le 2, il y a déjà quelques années (en plus, j'ai appris que ce 3e volet s'insérait avant les 10 dernières minutes de la fin du 2e volet). Matt Damon est toujours efficace dans le rôle de Bourne, mais surtout, l'acteur à l'air d'un héros normal, il ne fait pas "super agent" et j'apprécie énormément. En revanche, Paul Greengrass ne "sait pas" filmer les scènes d'actions (j'ai eu l'impression que les scènes étaient saccadées, cela va trop vite et au final, on ne voit rien. Un peu frustrant de ce point de vue là).

12/Vu le 22 septembre 2012 (Cinéma)

 Film de Tony Gilroy: avec Jeremy Renner, Rachel Weisz, Edward Norton... (2012)

Suite de la Trilogie Bourne (voilà ce qui explique mon visionnage du 3e volet quelques jours avant), ce 4e volet est dans la continuité de la saga (tellement qu'on revoit même des scènes du 3e volet (en fait, on comprend que l'action se déroule à la même période. Pendant que Jason Bourne cavale, Aaron Cross fait de l'escalade en Alaska). Tony Gilroy, scénariste de la trilogie, est toujours aux commandes du scénario, mais passe derrière la caméra. Ce "Bourne: Legacy" est un peu plus bavard que le 3e volet mais c'est tout à fait normal puisqu'il doit relancer les bases d'une nouvelle histoire dans la saga (peut être une nouvelle trilogie?) avec un nouvel agent: fini Jason Bourne, même si son ombre plane toujours, tout au long du film, bienvenue à Aaron Cross, interprété par Jeremy Renner. Alors, je n'ai rien contre Jeremy Renner (en même temps, c'est la première fois que je le vois) mais je préfère Matt Damon. Jeremy Renner, pour le coup, lui fait, vraiment "super-agent". Puis, je trouve plus de charme à Matt Damon (bon les goûts et les couleurs ça ne se discute pas).
Petit bémol également: la présence minimale d'Edward Norton: il n'est pas assez présent à mon goût et c'est bien dommage. J'espère que s'il y a une suite, il aura un peu plus d'importance.
Mis a part ça, j'ai bien aimé, c'est efficace. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde durant les 2h16 du film et je serai bien partant pour un 5e volet...même avec Jeremy Renner que je serai curieux de voir dans un autre film et plus particulièrement "Démineurs". Puis, sait on jamais, si suite il y a, ce serait intéressant que Matt Damon fasse un retour éclair dans la saga pour un face à face Bourne/ Cross. En tout cas, la franchise "Bourne" a probablement de beaux jours devant elle: Jason Bourne/Aaron Cross, son un peu les James Bond moderne.

Voilà, pour ce quatrième rendez-vous du "Kestavu au ciné cette semaine?".

 Et vous, "Kavezvousvu au ciné cette semaine?"


 

dimanche 23 septembre 2012

Descente en librarie #23: Spécial Braderie Emmaüs

Ce week-end, dans ma ville avait lieu la braderie automnale d'Emmaüs et à chaque fois, je vais y faire un tour pour voir si je ne peux pas rajouter quelques livres à ma PAL (pour l’alourdir encore un petit peu plus).

Comme je le dis à chaque fois, les braderies, c'est souvent au petit bonheur la chance: soit on trouve à foison, soit on ne trouve rien.
Et cette fois, la pêche fut bonne, voire excellente. Pas moins de 15 livres pour presque 15€ (soit même pas 1€ le livre).

Voici le butin





Juste envie de tester cette série qui a pour héroïne, Jane Austen.










3e roman de Nancy Cato a rejoindre mes bibliothèques. Une plantation, une famille; une superbe saga, j'en suis certain.








Déjà repéré à France Loisirs, il y a des années, cette couverture s'est rappelé à moi. Le destin de deux enfants qui vont s'unir et devenir amis. Un titre et une couverture magnifique.









J'ai tourné, viré autour de ce livre. La couverture rigolote me faisait envie sauf que je ne sais absolument pas de quoi ça parle. Pas grave, ce sera la surprise. Et généralement je ne suis pas déçu. (J'avais eu le même dilemme en achetant "Sarn" de Mary Webb, qui fut une agréable découverte). 







 
Voilà la belle affaire de cette journée. Ce roman fleuve de Dumas (qui est considéré comme sa "Comédie Humaine") qui fait pas moins de 2850 pages (deux volumes de plus de 1400 pages) et que je ne connaissais pas du tout. Les couvertures sont magnifiques. Et surtout, un roman de Dumas que je découvre et qui m'a couté 3€!! Oui, les 2 volumes pour la modique somme de 3€. Autant dire que c'est cadeau. Je suis ravi de cette affaire et même si le premier volume est taché et un peu jauni, je ne vais pas faire la fine bouche. Je ne pouvais pas passer à côté. 

La couverture a attiré mon oeil, puis le résumé à fait le reste. Une rivalité entre deux hommes pour une femme, l'époque shakespearienne et l'angleterre pour décor. Que demander de plus. 

Découvert grâce à une youtubeuse qui en avait fait un coup de coeur, je me suis laissé tenter par ce roman. 

J'ai déjà son premier roman dans ma PAL. J' avais déjà repéré ce roman en poche en librairie mais  la couverture ne me disais rien. Voilà que je le retrouve à cette braderie (pour 2.50€) en grand format et là j'emporte. La couverture a fait son effet et le résumé me tentait bien. Il me reste plus maintenant qu'à faire la découverte de cet auteur australien. 

 J'ai trouvé les Tome 1 & 2, (même si ici il n'y a que la couverture du tome 1) de ce roman qui me disait quelque chose. J'ai déjà entendu le titre quelque part. Puis, quand on me parle de brigands, de veillées, d'histoires au coin du feu, de légendes,  moi je pense de suite à l'hiver, un feu de cheminée. Ce roman sera parfait pour la saison hivernale.

Dès que j'ai vu ce roman de Barbara Pym, je n'ai pas hésité; J'avais bien aimé "Un brin de verdure", il y a un ou deux ans. Je suis ravi de pouvoir continuer à découvrir cette auteure anglaise. 

La couverture m'a également fait de l'oeil, le titre, que j'ai trouvé curieux (dans le sens que j’avais déjà entendu parler d'un titre comme celui là mais je ne sais plus où), un destin exceptionnel, un auteur canadien. J'ai foncé, tout simplement et je ne demande qu'à découvrir. 

Un petit Steinbeck rejoint ma PAL. 

Un roman (ou plutôt un journal avec de belles illustrations) que j'avais repéré il y a plus d'un an sur un blog et que j'avais noté quelque part, peut être sur ma LAL, il va falloir que je vérifie. Ce roman me fait penser au  "Bon petit diable" (vous vous rappelez du petit Charles espiègle qui s'en prend toujours a sa cousine, la vieille MacMiche dont la Comtesse de Segur nous narre les aventures). Comme je l'ai trouvé à 1€, j'ai voulu tenter l'aventure avec ce Giannino. 

Qu'il est bon de faire de belles affaires avec Emmaüs! 



 







Chère Eva Peron

Le slow qui tue de la semaine met en lumière une grande personnalité argentine:

Madonna: Don't cry for me Argentina


Madonna a donné vie au cinéma à Eva Peron de façon magistrale. Et cette chanson est l'une de mes préférées dans le monde des musicals.

Bonne écoute!




Envie de spectacles! (saison 2012-2013)

L'année, dernière, je vous parlais des spectacles auquel j'allais assister durant la saison 2011-2012 .
Ainsi, je suis allé voir 6 spectacles très différents, passant de pièces classiques ("Colombe") à de la Sex Comedy ("A deux lits du délits") ou a des récitals ("De Belle à Barbara") (oui, je préfère dire récital que concert, ça fait plus jolis)

Cette saison encore, je vais aller voir  des spectacles à la Hune  à Saint Benoit (où j'ai encore fait le pied de grue toute une nuit, comme chaque année) . Sauf qu'il y en aura moins que l'année dernière (d'une, c'est la crise, il faut faire attention au porte-monnaie, et de deux ,ce que l'on nous propose ne me fiatp as plus envie que ça, c'est souvent des spectacles de jeunes humoristes comme "Ari Abitan", "Olivier de Benoist" ou "Max Boublil", qui ne me tentent pas.

J'ai tout de même trouvé 4 spectacles qui me tentent beaucoup (et même un 5e spectacle dont je n'ai pas encore pris de billet car cela aurait fait trop. S'il reste des places début novembre (celui ci étant fin novembre) je me laisserai tenter).

Voici tout d'abord, les 4 spectacles:

En janvier 2013, tout d'abord (oui l'attente va être longue cette année, les spectacles choisis ne commencent pas avant l'année prochaine) (et non, la fin du monde en décembre 2012 ne me fait même pas peur!)

Le Pitch de la pièce ( "Hollywood 1939, le tournage d'"Autant en emporte le vent". Le Studio est en crise, le tournage du film est stoppé: le scénario, trop long, est complètement raté, il faut donc le réécrire d'urgence.
Le producteur engage un nouveau scénariste et un nouveau réalisateur. A trois, enfermés à clés dans un bureau pendant cinq jours, ils vont réaliser une forme de miracle : accoucher ensemble du plus grand film d'amour de tout les temps !
En accéléré, et avec dérision, ils nous font revivre le grand incendie d'Atlanta, les histoires d'amour de Scarlett...
Cette histoire, tirée d'un fait réel est une comédie à la taille des géants qu'elle met en scène et du contexte exceptionnel dans lequel elle se déroule : Hollywood !" (Source: site billet réduc) et les trois acteurs exceptionnel que sont Thierry Frémont, Samuel le Bihan et Daniel Russo ne m'ont pas fait hésiter longtemps. Puis, voir comment "Autant en emporte le vent" ce chef d'oeuvre a été adapté,et nous le montrer de façon drôle, me donne beaucoup envie.



En février 2013, place à la Comédie Musicale:


"Swinging Life est né de la complicité d’artistes ayant fait partie de la distribution originale du Roi Lion au Théâtre Mogador.
Swinging Life propose une succession de numéros issus de grandes comédies musicales faisant hommage aux standards noirs américains. C’est un demi-siècle de musique qui vous parviendra le temps d’une soirée. Dans une esthétique de revue musicale, Swinging Life ne racontera pas une histoire, mais des histoires. Vous découvrirez 10 chanteurs, 6 musiciens, des chansons qui ont fait le tour du monde, des tableaux variés, de l’énergie, de l’émotion...

Ça chante, ça danse, ça groove !"(Source: site du spectacle "swinginglifemusical.com"). 

Dès qu'on me dit Musical, moi je fonce. De plus c'est un spectacle qui m'a fait vibrer en voyant la vidéo du spectacle. Je sens que je vais passer un moment exceptionnel.



J'ai hâte!

En mars 2013, mes deux derniers spectacles:
Tout d'abord:


Tout comme Marie Paule Belle, la saison dernière, je suis ravi d'aller découvrir cette grande dame de la chanson dans son derneir récital où elle reprend ses plus grands succès ("Femme avec toi" (que j'ai chanté des dizaines de fois dans mon salon avec un plaisir immense et qu'il faudra que j'essaye de chanter en public un jour. Même pas peur! (Serge lama, l'a bien reprise, pourquoi pas moi!), "Téléphone moi" qui est l'une de mes chansons préférées, "La Garonne", "Parlez moi de lui") mais également des chansons de Claude Nougaro (que j'adore). Donc deux raisons d'aller voir cette artiste exceptionnelle sur scène .
Et au moins, son spectacle est abordable (35€), pas comme Julien Clerc, qui vient également à Saint Benoit mais pratiquement au double de Madame Croisille. Je veux bien aller voir des artistes mais il y a des limites à mon budget que je ne veux pas dépasser. 60€ pour un concert de 1h30, non merci! Pour pratiquement le même prix, je préfère aller en voir deux.
Aller à la rencontre de  Nicole Croisille, va, je l'espère être un moment très émouvant et inoubliable.


Dernier spectacle de la saison pour moi:


Une pièce interactive: un salon de coiffure, qui se trouve au rez-de chaussée d'un immeuble. La shampouineuse arrive toute excitée: un meurtre a été commis dans l'immeuble. Le meurtrier se trouve forcément sur scène et plus particulièrement dans le salon de coiffure. L'inspecteur de police qui va mener l'enquête a alors demander au public, c'est à dire nous!, de l'aider à retrouver le coupable.
 De suite, j’ai voulu aller voir cette pièce dont je trouve le concept original. A chaque fois, la pièce est improvisée et le coupable change tous les soirs. Et puis participer à une pièce (aurai-je le courage de poser des questions et d'ainsi participer? On verra le moment venu), me botte bien.





Et le 5e spectacle au mois de novembre  où j'espère peut être aller, s'il reste des places:


J'aime  bien le jazz, les années 40-50 et il me tente également beaucoup, mais bon il fallait faire un choix. . Toutefois j'espère qu'il restera des places au début du mois de novembre (j'aurai un peu renfloué mon compte bancaire à ce moment là) pour pouvoir y assister.











Voilà pour mon année spectacle en 2013. Je sens que je vais bien m'amuser!




vendredi 21 septembre 2012

Michel Berger, celui qui chante #38

Babacar (1987)

J'ai ton cœur qui tape qui cogne
Dans mon corps et dans ma tête
J'ai des images qui s'entêtent
J'ai des ondes de chaleur
Et comme des cris de douleur
Qui circulent dans mes veines

Quand je marche dans ma ville
J'ai des moments qui défilent
De ton pays d'ailleurs où tu meurs

Babacar
 Où es tu où es tu ?
Babacar
Où es tu où es tu ?

Je vis avec ton regard
Depuis le jour de mon départ
Tu grandis dans ma mémoire
Ha ha, ha ha

Babacar
Où es tu où es tu ?
Babacar
Où es tu où es tu ?

J'ai des mots qui frappent qui sonnent
Et qui font mal comme personne
C'est comme la vie qui s'arrête
J'ai des mouv'ments de colère
Sur le troisième millénaire
Tout casser et tout refaire
J'ai pas manqué de courage
Mais c'était bien trop facile
Te laisser en héritage un exil

Babacar
Où es tu où es tu ?
Babacar
Où es tu où es tu ?

Ta princesse de hasard
Est passée comme une étoile
En emportant ton espoir
Ha ha, ha ha

Babacar
Où es tu, où es tu ?
Babacar
Où es tu, où es tu ?

Où es tu, où es tu ? {4x}

Babacar
Où es tu, où es tu ?
Babacar
Où es tu, où es tu ?

Babacar
J'ai ton cœur qui tape qui cogne
Dans mon corps et dans ma tête
Babacar
J'ai des mots qui frappent qui sonnent
C'est comme la vie qui s'arrête

Babacar
Où es tu, où es tu?
Babacar
Où es tu, où es tu?

Babacar
J'ai ton cœur qui tape qui cogne
J'ai des images qui s'entêtent
Babacar
J'ai des mots qui frappent qui sonnent
Dans mon corps et dans ma tête



Sorti sur le dernier album solo que Michel lui composa en 1987 (L'album "double jeu" est certes sorti 5 ans plus tard mais c'est un album en duo avec Michel), "Babacar" a une histoire particulière. 
  "France Gall se rend en 1986 au Sénégal pour l'opération Action Écoles (opération humanitaire d'envergure lancée en 1985-1986 par Daniel Balavoine, Richard Berry, Lionel Rotcage, Michel Berger et France Gall pour aider au développement de l'instruction en Afrique). En rentrant, elle est très bouleversée par l'histoire d'une jeune mère de dix-huit ans, Fatou, qui lui avait demandé de recueillir son bébé d'un mois parce qu'elle ne pouvait pas l'élever (le bébé s'appelait Babacar). Elle avait été abandonnée par le père. Elle voulait lui confier cet enfant, qu'elle adorait. France Gall est repartie sans lui donner de réponse et cela l'a tourmentée. L'histoire se termine bien puisqu'en retournant au Sénégal pour le clip de cette chanson, elle a retrouvé la mère et le bébé en bonne santé et a décidé, avec Michel Berger, de les aider en leur trouvant un appartement, en finançant les études de la mère et l'avenir de Babacar."( Source: texte trouvé sur la chaine youtube de "misspseudorose" sous la video de "Babacar")

Le clip, tourné en Afrique, a été réalisé par Michel Berger. 

 




jeudi 20 septembre 2012

Il y a du Mr Hyde en moi

4e de couverture: En guise de trésor, le Docteur Jekyll parvient à mettre au point une mixture louche qui lui permet d'être tour à tour ange ou démon. Au fil de lettres et de meurtres mystérieux, l'avoué Charles Utterson enquête sur la liaison étrange qui semble unir Edward Hyde et le Docteur Henry Jekyll. Cette oeuvre majeure de Robert Louis Stevenson, d'une écriture très fine et imagée, développe une intrigue riche et sujette à tous les fantasmes de l'inconscient. Sous la bride des moeurs hypocrites de la société victorienne, Jekyll est M. Hyde : par-delà le bien et le mal. (Source Amazon)

Certains romans, devenus des classiques, devraient être découvert, durant l'enfance ou l'adolescence. Ainsi, ils ne perdraient pas leur charme mais également leur intérêt.
J'ai voulu me plonger dans ce court roman d'une centaine de pages, après son évocation dans le 2e tome d'Enola Holmes. Ce fut également une bonne occasion de vider la PAL rapidement puisqu'il se lit en à peine deux heures (heureusement que j’avais acquis ce livre en vide grenier pour 0.50cts. Une lecture à moindre frais).
En le refermant, je constate que je n'ai pris pas plus de plaisir que ça à la lecture de cette histoire...tout simplement parce que je la connaissais déjà. Le mystère qu'instaure Stevenson dans le roman fut éventé par le fait que je connaissais déjà la véritable identité de Mr Hyde, ayant déjà vu plusieurs adaptations cinématographiques ou entendu également quelques chansons traitant de ce sujet comme celle de Gainsbourg


(Dr Jekyll & Mr Hyde) 

ou celle de Philippe Chatel (dont j'ai repris un vers pour le titre de ce billet).


(Mr Hyde)

Dans ces cas là, comment apprécier un roman dont on connait déjà la fin. Très difficile. Il faut alors prendre du plaisir dans le style et la façon qu'à l'auteur de raconter son histoire. De ce point de vue là, je n'ai pas été séduit par le style, un peu froid, presque clinique de Stevenson et j'ai été déçu. Je ne retrouvais pas le style qui m'avait séduit dans "L'île au Trésor" (que j'ai découvert, à l'adolescence). J'ai lu ce roman sans plaisir, tournant les pages en attendant la révélation finale (que je connaissais donc) et ne la voyant pas arriver avant la toute fin.
En fait, je n'imaginais pas lire une enquête: l'enquête de Utterson, l'avoué et ami du Dr Jekyll, qui va nous amener vers la révélation finale: l'identité de Mr. Hyde. Car, oui, c'est bien un petit roman policier, teinté de fantastique, auquel nous convie Stevenson...oui, mais quel intérêt de lire un policier si on connait déjà l'identité de l'assassin avant de le lire. 

Pourtant, Stevenson soulève un sujet important et qui porte à réflexion: l'ambivalence dont chaque être humain est pourvue: chaque individu a une part sombre en lui, qu'il laisse plus ou moins sortir de temps en temps, à des degrés différents. Qu'est ce qui nous fait succomber à notre part sombre, quelquefois jusqu'au meurtre? Qu'est ce qui nous pousse a passer à l'acte? Qu'est ce qui fait également qu'on ne veuille pas faire sortir ce Mr Hyde de nous? Quoique, chacun a connu son côté Hyde, ce côté méchant qui vous faire dire des horreurs à une personne que vous détestez. 
D'ailleurs, cela me fait dire que ce roman de Stevenson est encore très actuel aujourd'hui: internet, ce merveilleux outil qui permet de faire de belles découvertes est également un merveilleux moyen de faire ressortir le Mr Hyde qui sommeille en nous. Sous couvert d'anonymat et de pseudo, chacun se permet de sortir des insanités, et des horreurs, dans des commentaires parfois douteux et souvent abjects et insultants... 
Alors il y a du Mr Hyde en moi: il m'arrive de faire ressortir mon côté méchant de temps en temps. Mais vous, avez vous, au plus profond de vous, un Mr Hyde qui ressort de temps en temps?
Je finis donc mon billet sur cette  question. 

Comme quoi cette lecture, qui ne m'a pas plus emballé que ça, permet quand même de me questionner sur l'ambivalence de l'être humain. C'est déjà ça. 

Robert Louis Stevenson: L'étrange cas du Dr Jekyll & Mr Hyde, Le Livre de Poche, 120 pages, 1975



3/ Ce roman de Stevenson connut plusieurs adaptations cinématographiques, dont une en 1941 signée Victor Flemming avec Spencer Tracy, Ingrid Bergman & Lana Turner. 











mercredi 19 septembre 2012

Mes bibliothèques ou l'ampleur des dégats

A lire mes billets sur mes descentes en librairie et le nombre de livres  complètement pharaoniques que je stocke chez moi (à ce jour, 1159 livres ont élus domicile dans mon appartement (plus quelques uns qui préfèrent rester anonymes...), certain(e)s curieux et curieuses aimeraient  savoir où et surtout comment je stocke tout cela.

Il est donc temps que je vous montre l'ampleur du désastre. Attention les yeux! 

Commençons d'abord par la bibliothèque des livres de poches déjà lu. Comme ça, on a l'impression que cela ne fait pas beaucoup mais je pense que vous l'aurez compris, il y a deux rangées par étagères (ce qui fait un gain de place non négligeable). Le livre qui se trouve tout seul sur la dernière étagère est le tome 3 D'"Eragon" qu'un ami m'a prêté). Sur la bibliothèque, il y a un petit portrait de Marilyn et une plaque minéralogique de l'Ohio ("Je suis dans un état proche de l'Ohio/ J'ai le moral à zéro"... Hum Isabelle Adjani sortez de ce corps) gentiment offert par Tiphanie. Et la peinture punaisée au mur à côté et qu'on ne distingue pas beaucoup est "Le bal du Moulin de la galette" de Monet acheté dans une boutique du Louvre à Paris).

Vient ensuite, la bibliothèque des grands formats déjà lu qui se trouve dans ma chambre. Sinon, touts les autres bibliothèques sont dans ma salle à manger.  (le livre qui traine sur la première étagère et qui n'est pas encore rangé est "September" de Rosamunde Pilcher, l'une de mes dernières lectures.)
Sur l'avant dernière étagère se trouve toute ma collection de comédies musicales que j'adore... et qui est loin d'être finie. Et les Belfond de la dernière étagère sont les SP que j'ai reçu.

Sur ces étagères se trouve tous mes Agatha Christie (les livres aux tranches colorés (qui voisinent à côté de mes VHS (vestige d'un temps un peu lointain maintenant) et au dessus la Comédie Humaine de Balzac.


Venons en maintenant à mes PAL (et là, on touche le fond)

Voici, tout d'abord ma PAL Poche qui a besoin de pas moins de deux bibliothèques pour être contenue et  qui vont être pleine toutes les deux dans pas longtemps (en sachant qu'il y a bien évidemment deux rangées par étagères (pour le gain de place off course).

Voyons tout en détail:
Première bibliothèque, ( à côté de la porte):

Première étagère, les 10/18
Deuxième étagère: la fin des 10/18 (derrière) , les Archi Poche, Babel et Folio principalement.

Première étagère: les 10/18 qui se cachaient.



Deuxième étagère: la Fin des 10/18 et les Angéliques des Editions Poches d'Archipel.

Troisième étagère, 1ere rangée (la suite des Folio)

Troisième étagère, 2e rangée: Folio suite, Folio Junior et les Poches de chez France Loisirs.

Quatrième étagère: 1ere rangée: Gallimard, Gallmeister, les Enola Holmes, le seul Harlequin qui traine et "J'ai lu.

Quatrième étagère: 2e rangée: "J'ai lu, Le seul Joelle Losfield, les Librio, 2 Liana Levi Picollo et le début des Livres de Poche (qui vont prendre au moins 3 étagères et demi a eux seuls).


Cinquième étagère, 1ere rangée: Le Livre de Poche

Cinquième étagère, 2e rangée: Le Livre de poche.

Passons à la 2e bibliothèque PAL, qui se trouve juste à côté de la première:

Première étagère: 1ere rangée: Livres de Poche, Livre de Poches Polar (avec les tranches noires)

Première étagère: 2e rangée (on voit même un petit bout de la 2e étagère): Livre de Poche ancienne édition (que j'aime beaucoup trouver chez les bouquinistes. Toutes ces tranches colorés, j'adore!)

Deuxième étagère, 1ere rangée: Livre de Poche ancienne édition (avec les Lessing et les Daphné du Maurier entre autres).

Deuxième étagère 2e rangée: Livre de Poche ancienne édition (avec les 6 derniers tomes des Pardaillan trouvés samedi dernier chez un bouquiniste. J'en parlerai surement dans un prochain billet descente en librairie); Les Classiques de poche du Livre de Poche (édition que j'aime également), et trois Editions du Masque ,collection Labyrinthes.

Troisième étagère, 1ere rangée: Milady Bit Lit, Milady Romance, Robert Laffont, collection pavillons poche, Phebus et le début des Pocket avec la saga préhistorique de Jean Auel.

Troisième étagère, 2e rangée: Pocket avec les Chattam, Grisham et consorts.

Quatrième étagère, 1ere rangée: Pocket, suite.

Quatrième étagère, 2e rangée: Pocket (Fin), Editions Points avec mes Oates.

Cinquième étagère, 1ere rangée: Points (Suite), Points Polar, Rivages poches, Rivages polar, Cosmopolite (editions poche de Stock) et les 2 Points 2 qui se cachent un petit peu.
 Voici pour mes PAL poches (comme vous voyez, j'ai encore de la place puisqu'il me reste une rangée sur la dernière étagère. Youhou!

Passons maintenant à mes Bibliothèques PAL grands Formats (car quand il n'y en a plus, y en a encore!)

Voici ma première PAL des Grands Formats qui commencent avec les Albim Michel. Mais comme vous pouvez le voir, j'ai principalement des livres de France Loisirs (qui débute sur  la 2 étagère et qui vont jusqu'en bas). (A côté, ce sont quelques DVDs avec Garnier & Sentou (mes chouchous du moment) et l'un de mes films préférés, "Beignets de tomates vertes" qui trônent au dessus. (Paul Newman est caché derrière Garnier et Sentou. Ne dites rien, je sais!)

Voici la suite de ma PAL Grands Formats. (Marilyn est encore présente) Sur la bibliothèque trône bien en évidence le beau livre sur la série Mad Men qu'un ami m'a offert pour mon anniversaire l'année dernière. S'il se trouve ici, c'est qu'il avait du mal à loger dans la bibliothèque et puis je le trouve tellement beau que je veux que tout le monde le voit. Juste à côté, se trouve une pancarte publicitaire sur le Musical "Chicago" que j'ai réussi a avoir lors de mon voyage aux États Unis et à New York en particulier. Le spectacle se jouait l'année où je m'y trouvais et des personnes dans la rue  distribuaient  ces pancartes pour aller voir le spectacle. Dès que je l'ai eu en main, je n'ai pas hésité à la glisser dans mes bagages (pour tout vous dire, j'ai même réussi a ramener une bouteille de "True Blood" (achetée 3 dollars  à la Boutique HBO qui se trouve sur la 7e avenue, je crois) que j'avais enveloppé dans deux serviettes dans ma valise, pour qu'elle ne se casse pas pendant le transport. Bien entendue, j'ai bu cette bouteille de True Blood dans les rues de New York, et c'est vraiment très bon pour ceux qui aiment le sang frais...d'une orange! (Et non vous ne verrez pas cette bouteille True Blood  puisqu'elle se trouve sur mon meuble télé)(3615 my life, (on s'en fiche un peu de mes aventures new -yorkaises).

Sur l'avant dernière étagère, le roman de Mary McGarry Morris qui attend sagement d'être lu (il n'est pas rangé avec les autres car c'est un SP). Et sur la dernière étagère, quelques petites encyclopédies dont l'Histoire Junior (les livres oranges un peu cachés par le petit box juste devant).
Et justement, ce petit box à côté de mon canapé qui me sert de reposoir quand je veux lire allongé sur le canapé. Ce petit meuble est pour le moment vide mais il ne le restera pas longtemps. En effet, quand la dernière étagère de ma bibliothèque PAL sera remplie, je glisserai mes nouveaux achats poches dans ce petit box.

Voilà, maintenant vous savez où je range tous ces romans. Je sais, ça donne le tournis, même a moi.

J'espère que ce billet vous aura plus. Bon, c'est pas tout ça, mais il serait quand même temps que j'aille lire un peu pour faire baisser ces PAL.