mercredi 29 janvier 2020

la Discothèque du 20e siècle #365

En 1970, Nicoletta fait tourner les têtes avec cette chanson.

Nicoletta: Ma vie c'est un manège (1970)


Prise en main par Léo Missir de l'équipe Barclay, Nicoletta était devenue l'une des chanteuses françaises les plus populaires de la fin des années 60 grâce à La Musique et Il est mort le soleil. En 1970, elle confirmait une puissance vocale tout a fait impressionnante, digne de celle des grandes vocalistes américaines de jazz et de soul, précisément avec Ma vie c'est un manège. Le disque a atteint la 3e place des hit-parades en avril. Quelques mois plus tard, Nicoletta restait au sommet,cette fois avec une version magique de Mamy Blue. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°45", Polygram Collections)

Bonne écoute!


dimanche 26 janvier 2020

Slow Qui Tue #437: My Girl

Le slow qui tue de la semaine est tout simplement heureux grâce à sa chérie.

The Temptations: My girl



Bonne écoute!



samedi 25 janvier 2020

Nouveaux arrivants dans ma Filmothèque

Comme je l'avais annoncé dans mon bilan de fin d'année, ma passion pour le cinéma est revenu. Je retourne plus régulièrement dans les salles obscures (j'y suis déjà allé 4 fois depuis le début de l'année) et je regarde beaucoup plus de films chez moi (pour vous dire, j'ai vu 27 films depuis le 1er janvier).
Mais une passion doit être alimentée, et dans ce domaine, je ne  suis pas raisonnable. Comme pour les livres que j'achetai énormément quand je m'étais remis à la lecture, il y a quelques années, je suis également faible dans mes achats ciné.
Pour vous donner un ordre d'idée. Il me semble que j'ai acheté près de 60 films en un mois. Rien que cette semaine, c'est 14 films qui ont rejoint ma filmothèque (!!) Bien évidemment, comme je n'ai pas de moyens illimités, je vais souvent dans les magasins d'occasion ou je profite de promos et de soldes.

C'est pour cela que j'ai décidé de vous montrer les films qui ont rejoint ma filmothèque cette semaine (oui, je vais vous épargner les achats faits depuis le début de l'année, ce serait trop long°.
C'est parti.

Tout d'abord voici deux films que j'ai commandé sur Amazon à très petits prix:

Film que j'ai vu il y a trèèèès longtemps (quand j'étais gamin, en fait). Je suis pas très fan de péplum, mais ce film là est à avoir dans sa filmothèque. J'ai profité qu'il soit à 7€ pour me le procurer.









Un film que je veux voir depuis longtemps. J'aime ces vieux films là, tiré de pièce de théâtre. J'aime leur ambiance. Hâte de le voir donc.











Ensuite, petit tour à Noz.


J'avais trouvé le premier volet d'occasion à Easy Cash, il y a deux semaines, et voici que je tombe sur la version steelbook du blu ray à Noz pour 2,99€. J'aurai été idiot de passer à côté. Je vais maintenant pouvoir regarder cette saga qui me faisait de l'oeil depuis un moment.








Une petite comédie avec Fabrice Luchini qui m'a l'air très sympathique. Pour 2€, je me suis laissé tenter, on verra bien.









Une autre comédie qui m'a l'air sympathique également. Avec Bradley Cooper, je prend! Et puis, à 2€, si déception il y a, elle sera moins grande.










Un film sur Paris, vu à travers les animaux sauvages qui la peuplent. Je trouve l'idée intéressante. Puis, comme Paris est Une ville que j'aime pourquoi pas. A 99 centimes, en plus, je ne pouvais que me laisser tenter.










Ensuite, petit tour à la Fnac. Où là, c'est l'hécatombe.
J'ai d'abord profité de l'offre, 2 blu ray acheté, 1 offert.


Un film qui m'avait bouleversé quand je l'avais vu adolescent. Isabelle Adjani y est sublime et offre une prestation admirable de la sculptrice. J'ai hâte de le revoir, surtout dans cette version restaurée.








Je sais pas ce qui m'a pris d'avoir voulu ce film, moi qui n'aime pas les films d'horreur. Mais j'entends de très bons échos de ce film, qui ont titillé ma curiosité. Comme la suite sort cette année au ciné, j'ai voulu me faire ma propre opinion.

Parce que j'aime les films historiques. Parce que j'aime l'histoire anglaise. Parce que j'aime Marie Stuart et son destin. Donc, je me suis décidé a le regarder. Et parce que j'aime Margot Robbie également.









En ce moment à la fnac, il y a le retour (régulier, je vous l'accorde) de l'opération, 5 DVDs pour 30 €. J'ai donc encore une fois craqué.

La semaine dernière, je suis allé voir "Portrait de la jeune fille en feu" dernier film de Céline Sciamma. J'ai été renversé par ce film tellement beau. Tellement, que j'ai eu envie de voir d'autres film Sde cette réalisatrice. C'est ainsi que j'ai choisi de voir Tomboy.








Ce film m'intrigue et me fait peur en même temps. Peur en voyant qu'on le compare à "Elephant" de Gus Van Sant, film dans lequel je ne rentre pas (Et pourtant je l'ai vu deux fois). Mais le sujet m'interpelle, en sachant que ce ne sera pas une partie de plaisir de le regarder.







Bon, celui là, par contre, c'est tout à fait mon genre de film. Comme je l'ai loupé, l'année dernière au ciné, je vAis pouvoir me rattraper.










Dans le même style que le film précédent. C'est un sujet qui me parle toujours.










Oui, cela peut surprendre, vu qu'habituellement, je ne suis pas fan de ce genre de film. Mais j'aime bien Nicky Larson. Donc pourquoi pas. Je me ferai ainsi mon propre avis.










Voilà pour les achats de cette semaine. Encore de belles heures de visionnages, qui m'attendent.
Si vous avez vu certains de ces films, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé dans les commentaires. Cela m'aidera plus facilement à faire mon choix.
Bon week-end!

mercredi 22 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #364

En 1969, Jimmy Cliff connait le succès avec ce titre.

Jimmy Cliff: Many rivers to cross (1969)



En 1969, il enregistre ce somptueux Many Rivers to cross qui, depuis, a été chanté par une multitude d'interprètes, y compris Joe Cocker et UB40. La chanson connut une seconde carrière lorsqu'elle fut incluse quelques années plus tard, sur la bande originale du film The harder they come, dont Cliff était aussi l'acteur principal. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1969", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 19 janvier 2020

Slow Qui Tue #436: On a trop fait l'amour ensemble

Le slow qui tue de la semaine chante qu'ils se sont trop aimés.

Gérard Manuel: On a trop fait l'amour ensemble



Bonne écoute!


mercredi 15 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #363

En 1969, Stevie Wonder revenait avec une ballade de son cru.

Stevie Wonder: My Cherie Amour (1969)


Depuis son apparition sous le nom de Little Stevie Wonder en 1963, avec Fingertips, le petit joueur d'harmonica aveugle a fait du chemin. Devenu multi-instrumentiste et auteur-compositeur surdoué, il n'a cessé d'aligner les succès outre-Atlantique, dans les catégories funk (Uptight (Everything's allright), 1965), folk (sa version du fameux Blowin'In the wind de Bob Dylan, 1966) ou ballade (I was made to love her, 1967). En 1969, ce My Cherie Amour fut n°4 du classement américain, où il passa une quinzaine de semaines: Stevie n'aviat que 19 ans et devant lui s'ouvrait un avenir radieux, ponctué d'albums aussi essentiels que Talkin'Book, Intervisions, Music of my mind ou Songs in the Key of life, autant de chefs d'oeuvre publiés au fil des années 70. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1969", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 12 janvier 2020

Slow Qui Tue #435: Please please please

Le slow qui tue de la semaine supplie sa bien aimée.

James Brown: Please please please



Bonne écoute!


mercredi 8 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #362

En 1969, Georges Moustaki connait son premier succès avec ce titre autobiographique.

Georges Moustaki: le Métèque (1969)


En 1969, âgé de 35 ans George Moustaki décide de rouler pour lui-même et de révéler au public ce qu'il ressent dans ce monde qui l'entoure, surtout après avoir été traité de "métèque" par les parents de sa petite amie. Créé par Pia Colombo sur la scène de l'Olympia, Le Métèque, grâce à la sobre interprétation de Georges Moustaki lui-même va faire un très beau parcours dans les hit-parades, puisqu'il sera n°1 en août 1969. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°6", Universal Collections)

Bonne écoute!


dimanche 5 janvier 2020

Slow Qui Tue #434: Ma petite fille de rêve

Le slow qui tue de la semaine fait une déclaration à sa petite fille de rêve.

Jean-Michel Caradec: Ma petite fille de rêve



Bonne écoute!


mercredi 1 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #361

En 1968, Simon & Garfunkel chantait la BO d'un film dont la chanson allait devenir un succès.

Simon & Garfunkel: Mrs Robinson (1968)


Après des années de galère dans les circuits folks, c'est l’électrification de la chanson Souds of silence, purement acoustique à l'origine, qui apporte à Paul Simon et Art Garfunkel le succès sur un plateau d'argent, avec plus d'un million de 45 tours vendus en quelques semaines en 1965-66. En 1968, à la demande du metteur en scène Mike Nichols, ils collaborent à la bande originale du film Le Lauréat (avec Dustin Hoffman): c'est à cette occasion qu'ils créent Mrs Robinson, l'un de leurs plus grands succès internationaux. Après un dernier triomphe en 1970 avec l'album Bridge over trouble water, ils se séparent l'année d'après, s'orientant vers des carrières solo exemplaires. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1968", Polygram Direct)

Bonne écoute!


Bilan 2019

Une année de plus vient de s'achever et le constat pour le blog est terrible. Je suis absent du blog depuis plusieurs mois, l'envie de bloguer n'étant plus trop là. je pensais que la cause était dû à la pièce de théâtre à laquelle je participais cette année en tant qu'acteur, et qui me prenait beaucoup de mes week-end. Sauf que les représentations sont passées depuis longtemps et l'envie de bloguer n'est pas revenu. Enfin, de parler de mes lectures. Je continue à lire mais je n'ai pas forcément envie d'en parler.
Puis je lis très lentement car une autre passion à pris le pas sur la lecture.

A la fin de l'année dernière, je vous disais mon  envie de retourner au cinéma, de voir plus de films. Eh bien, cette résolution a été fort bien tenue, car le cinéma a pris une part très importante dans ma vie au détriment de la lecture.
Pour vous faire une comparaison, j'ai vu plus de films que lu de livres.

Côté livres:

J'ai lu 50 livres en 2019. Bon, ce n'est pas une catastrophe non plus, je vous l'accorde. Le début d'année a été très prolifique puis cela s'est étiolé au fil des mois.
Les lectures que je retiendrai sont peu nombreuses, mais essentielles:

Ému par toutes ces amours qui traversent le livre; bouleversé par cette fin qui nous rend orphelin de ce petit moment de bonheur, mais que l'on gardera comme un souvenir. Un souvenir que le temps gardera comme une photo, couleur sépia. 
Premier choc littéraire de l'année. Je compte bien retrouver sa plume cette année. 










un roman essentiel qui rappelle à notre mémoire le génocide rwandais que, nous français avons vécu de loin, sans trop comprendre ce qui s'y passait. Un roman que j'ai fini, en larmes et qui m'a bouleversé au point d'avoir un poids dans la poitrine. Un roman qui ne se raconte pas, mais qui se vit, et se ressent. Un roman vibrant d'authenticité et d'une belle humanité.

Un roman qui vit encore dans ma mémoire. 






Et ma découverte de cette année, l'auteur Julien Dufresne Lamy avec deux de ses romans: 





Coté Cinéma, là, je bas tous les records puisque j'ai de nouveau fréquenté les salles obscures en allant 34 fois au cinéma. 
Mais j'ai vu bien plus de films dans l'année grâce au support physique (DVD et Blu Ray (car oui, je me suis offert un lecteur Blu Ray, remplaçant mon vieux lecteur DVD qui commençait à rendre l'âme après presque 20 ans de bons et loyaux services). 
J'ai vu 172 films en cette année 2019, dont 33 en salles. 

Quelles sont donc les films qui me restent en tête après cette année 2019. Si je ne me focalise que sur les films de cette année,et vu en salles je dirai ceux ci: 

Le premier film d'Alexis Micchalik fut mon premier coup de coeur de cette année. C'est enlevé, drôle et on ressent cette esprit de troupe que nous fait vivre le théâtre (et j'en sais quelque chose puisque je fais parti d'une troupe de théâtre). Je suis ressorti de la salle conquis et des étoiles plein les yeux. 

Probablement le film le plus beau visuellement que j'ai vu cette année. 3e film (en deux parties)  du réalisateur allemand Florian Henckel von Donnersmarck, après "la Vie des autres" (autre film découvert cette année et que j'ai adoré), il raconte un pan de l'histoire allemande, de la seconde guerre mondiale aux années 60, à travers l'art pictural. C'est beau, sensuel et bouleversant. Je suis ressorti de la salle sonné, charmé. L'un des films les plus beaux que j'ai vu de ma vie. Et cette musique. Mon dieu,j'en frissonne encore. 




J'ai longtemps hésité avant d'aller voir ce film, puis, je me suis décidé et j'ai pris une claque monumentale. C'est un film bouleversant qui raconte, par la sphère privée, le mal être des agriculteur. Guillaume Caner, très investit dans le projet, y est juste et crédible dans le rôle de ce paysan qui essaye par tous les moyeux de survivre, jusqu'à la folie. Un film dont on ne ressort pas indemne. 

Bien sûr, beaucoup d'autres films m'ont plu, mais aucun ne me revient en tête comme ces trois là. 


Alors, peut être que cette année 2020, je recommencerai à m'occuper de ce blog, mais peut être plus pour parler des films que je vois, au ciné où chez moi. On verra bien. Je laisse le temps faire. 

Pour finir, je vous souhaite de belles lectures, de beau visionnages de films. Et surtout une