mercredi 18 mars 2020

La Discothèque du 20e siècle #370

En 1973, Billy Paul connaissait l'un de ses plus grands succès.

Billy Paul: Me & Mrs Jones (1973)


Le plus grand succès international de ce chanteur soul natif de Philadelphie est aussi devenu un standard incontournable de la musique soul. Déjà âgé de 38 ans, c'est loin d'être un débutant-comme quoi il vaut mieux parfois savoir être patient... C'est en effet à l'automne 1972 (aux Etats Unis) et durant l'hiver 1973 (en Europe) que Billy se retrouve en tête de tous les classements avec ce slow splendide qui évoque une relation entre un homme et la femme d'un autre. Pour la petite histoire, cette chanson refit une étonnante percée au coeur des années 90 et valut à Billy Paul, pimpant sexagénaire, d'effectuer une vaste tournée internationale qui passa par le Palais des Congrès à Paris... (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1973" Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 15 mars 2020

Slow Qui Tue #442: Victims of circumstances

Le slow qui tue de la semaine est victime des circonstances.

Barclay James Harvest: Victims of circumstances



Bonne écoute!


mercredi 4 mars 2020

La Discothèque du 20e siècle #369

En 1972, Patrick Juvet connait l'un de ses plus grands succès qui inspirera Claude François.

Patrick Juvet: la Musica (1972)


1972 a été l'année de la consécration pour Patrick Juvet. En plus d'avoir composé Le lundi au soleil pour Claude François, il signait un contrat d'enregistrement avec la firme Barclay. Peu de temps après paraissait La Musica, qui allait connaître un succès immédiat. La voix est haut perchée, la mélodie et les arrangements sont d'une efficacité extrême. A cela s'ajoutait un look, qui, en pleine période glam-rock, a séduit un large public. Patrick Juvet avait réuni tous les atouts pour faire durablement parler de lui. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°31", Universal Music Collections)

Bonne écoute!


dimanche 1 mars 2020

Slow Qui Tue #441: Je ne t'écrirai plus

Le slow qui tue de la semaine n'a plus besoin d'écrire à celle qu'il a aimé.

Claude Barzotti: Je ne t'écrirai plus



Bonne écoute!


mercredi 19 février 2020

La Discothèque du 20e siècle #368

En 1972, Gérard Lenorman revient avec un titre très touchant sur l'enfance.

Gérard Lenorman: Les matins d'hiver (1972)


Depuis que De toi est devenu un best seller l'année précédente, Gérard Lenorman reste très attentif aux compositions que lui proposent Richard et Daniel Seff. Les deux frères toulousains viennent justement d'en écrire une nouvelle série et font lire leur prose à Gérard qui se souvient: "Ils m'ont montré tout ce qu'ils avaient à ce moment là, sauf Les matins d'hiver. Quand je leur ai demandé s'ils n'avaient rien d'autre en réserve, ils m'ont parlé de cette chanson, mais en me disant tout de suite que ce n'était pas pour moi [...]. Ils étaient convaincus qu'elle ne me plairait pas. Dès que je l'ai lue, je leur ai dit que, bien au contraire, c'était un titre écrit pour moi." Le chanteur a bien raison: ce texte tout en finesse et en subtilité lui va comme un gant. Le public ne s'y trompe pas et plébiscitera Les matins d'hiver.  (Source: Fascicule "Les plus belles chansons françaises n°10 (1973)", Editions Atlas)

Bonne écoute!


dimanche 16 février 2020

Slow Qui Tue #440: I put a spell on you

Le slow qui tue de la semaine a jeté un sort à celui qui l'aime.

Nina Simone: I put a spell on you



Bonne écoute!


mercredi 12 février 2020

La Discothèque du 20e siècle #367

En 1971, Rod Stewart revient avec un nouveau succès.

Rod Stewart: Maggie May (1971)


La plus grande star anglaise des années 70 (avec David Bowie et Elton John) fait encore partie des Faces alors qu'est publié ce Maggie May qui se retrouve bientôt aux sommets des classements anglais ET américains durant 5 semaines! Pendant 6 ans , Rod "The Mod" (comme on le surnomme) parvient ainsi à mener de front sa double carrière, comme chanteur d'un groupe de rock et de rythm'n'blues furieux, qui rappellent souvent les Rolling Stones dans leurs moments les plus sauvages et comme star en solo au fabuleux talent d'interprète qu'il met au service de ballades émouvantes, de rock musclé ou même de disco pétulante (souvenez vous de l'irrésistible Da ya think I'm Sexy en 1978!). (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1971", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 9 février 2020

Slow Qui Tue #439: The look of love

Le slow qui tue de la semaine nous montre le visage de l'amour.

Burt Bucharach: The Look of love



Bonne écoute!


mercredi 5 février 2020

La Discothèque du 20e siècle #366

En 1971, Nicoletta revient avec un titre très gospel/


Nicoletta: Mamy Blue (1971)


Les parties instrumentales de cette chanson ont été réalisées dans un studio londonien sous la direction du chef d'orchestre Ivan Julien. Nicoletta y a ajouté sa voix, tout comme Joël Daydé, l'ex-chanteur du groupe Zoo. Le public français allait ensuite se partager entre ces deux versions. C'est Nicoletta, qui, après un album de toute beauté, est sortie victorieuse de ce combat fraternel, grâce à une voix très afro-américaine". Mamy Blue a été l'un des grands tubes de l'année 1971, qui a conquis la 1ere place des hit-parades. Aux Etats Unis, également, cette composition d'Hubert Giraud a conu un large succès, puisqu'elle est entrée dans les charts à l'initiative des Pop Tops et des Stories. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°6", Universal Collections)

Bonne écoute!


dimanche 2 février 2020

Slow Qui Tue #438: Loin d'ici

Le slow qui tue de la semaine voit son amour s'en aller loin de lui.

Michel Delpech: Loin d'ici



Bonne écoute!


samedi 1 février 2020

Du nouveau dans la Filmo

Nouveau rendez-vous sur le blog: comme j'achète régulièrement des films depuis quelques semaines, j'ai décidé de vous en parler. 
Voici donc, les nouveaux films arrivés dans ma collection. 

Petit tour à Easy Cash, tout d'abord avec une grosse moisson. 

J'aime bien le cinéma de Laurent Tirard. Cette comédie romantique au postulat de départ original, me tentait bien. Et j'adore Virginie Efira. Pour 4,99€, je n'"ai pas hésité. 









Un classique de Spielberg vu il y a quelques années. Je ne suis pas trop film de guerre, mais celui là, je l'aime beaucoup. En plus avec l'un de mes acteurs préférés, Tom Hanks. 









Biopic sur Cousteau, avec Lambert Wilson, et Pierre Niney, pour 3.99€, je me suis laissé tenter. 










Dernière (?) adaptation de Peter Pan au cinéma, avec Hugh Jackman, je demande à voir. Puis pour 2.99€, la découverte ne sera pas chère. A voir, comment cette histoire a été une nouvelle fois adaptée. 









Autre film de Laurent Tirard,que j'avais vu au cinéma à sa sortie. Comme j'avais bien aimé, (et que j'adore Valérie Lemercier) je me suis laissé tenter pour 2.99€. 









Je croisais souvent cette comédie romantique dans mon cash, mais je n'avais jamais sauté le pas, me disant: bof....puis, j'ai finalement craqué. 
J'ai vu le film hier soir, et franchement, il est sympa. Pas révolutionnaire, mais super sympa. J'ai passé un très bon moment...et rien que pour voir Justin en tenue d'Adam, c'est top. Ben oui, c'est l'un des arguments qui me l'a fait prendre, que croyez vous. 






Un film sur l'adolescence dont j'entends beaucoup de bien et qui m'intrigue depuis longtemps. Pour 0.99€, je pourrais me faire ma propre opinion. 











Une comédie romantique (mon genre préféré) sur l'amour à distance. Je me dis qu'elle doit être sympathique à regarder. 











Il y a toujours un film qui détone dans mes achats. Celui vers lequel je ne me pencherais pas forcément, outre mesure; Là, c'est ce film sur des super-héros (moi qui n'aime pas ce genre de film là), qu'on dit fort sombre et l'un des meilleurs films sur le genre. Pour le prix (4.99€), je me suis laissé tenter. 







Petit tour à la Fnac, où j'ai craqué pour une saga qui a bercé mon adolescence. 

J'adore ces films! A chaque fois qu'il passait à la télé, je me mettais devant (tout comme "Jean de Florette" et "Manon des Sources"). Maintenant, je vais pouvoir les regarder quand je veux. Youpi! 










Voilà les derniers arrivés. 
Dites moi, dans les commentaires si vous les connaissez et ce que vous en pensez. 
Bon week-end! 

mercredi 29 janvier 2020

la Discothèque du 20e siècle #365

En 1970, Nicoletta fait tourner les têtes avec cette chanson.

Nicoletta: Ma vie c'est un manège (1970)


Prise en main par Léo Missir de l'équipe Barclay, Nicoletta était devenue l'une des chanteuses françaises les plus populaires de la fin des années 60 grâce à La Musique et Il est mort le soleil. En 1970, elle confirmait une puissance vocale tout a fait impressionnante, digne de celle des grandes vocalistes américaines de jazz et de soul, précisément avec Ma vie c'est un manège. Le disque a atteint la 3e place des hit-parades en avril. Quelques mois plus tard, Nicoletta restait au sommet,cette fois avec une version magique de Mamy Blue. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°45", Polygram Collections)

Bonne écoute!


dimanche 26 janvier 2020

Slow Qui Tue #437: My Girl

Le slow qui tue de la semaine est tout simplement heureux grâce à sa chérie.

The Temptations: My girl



Bonne écoute!



samedi 25 janvier 2020

Nouveaux arrivants dans ma Filmothèque

Comme je l'avais annoncé dans mon bilan de fin d'année, ma passion pour le cinéma est revenu. Je retourne plus régulièrement dans les salles obscures (j'y suis déjà allé 4 fois depuis le début de l'année) et je regarde beaucoup plus de films chez moi (pour vous dire, j'ai vu 27 films depuis le 1er janvier).
Mais une passion doit être alimentée, et dans ce domaine, je ne  suis pas raisonnable. Comme pour les livres que j'achetai énormément quand je m'étais remis à la lecture, il y a quelques années, je suis également faible dans mes achats ciné.
Pour vous donner un ordre d'idée. Il me semble que j'ai acheté près de 60 films en un mois. Rien que cette semaine, c'est 14 films qui ont rejoint ma filmothèque (!!) Bien évidemment, comme je n'ai pas de moyens illimités, je vais souvent dans les magasins d'occasion ou je profite de promos et de soldes.

C'est pour cela que j'ai décidé de vous montrer les films qui ont rejoint ma filmothèque cette semaine (oui, je vais vous épargner les achats faits depuis le début de l'année, ce serait trop long°.
C'est parti.

Tout d'abord voici deux films que j'ai commandé sur Amazon à très petits prix:

Film que j'ai vu il y a trèèèès longtemps (quand j'étais gamin, en fait). Je suis pas très fan de péplum, mais ce film là est à avoir dans sa filmothèque. J'ai profité qu'il soit à 7€ pour me le procurer.









Un film que je veux voir depuis longtemps. J'aime ces vieux films là, tiré de pièce de théâtre. J'aime leur ambiance. Hâte de le voir donc.











Ensuite, petit tour à Noz.


J'avais trouvé le premier volet d'occasion à Easy Cash, il y a deux semaines, et voici que je tombe sur la version steelbook du blu ray à Noz pour 2,99€. J'aurai été idiot de passer à côté. Je vais maintenant pouvoir regarder cette saga qui me faisait de l'oeil depuis un moment.








Une petite comédie avec Fabrice Luchini qui m'a l'air très sympathique. Pour 2€, je me suis laissé tenter, on verra bien.









Une autre comédie qui m'a l'air sympathique également. Avec Bradley Cooper, je prend! Et puis, à 2€, si déception il y a, elle sera moins grande.










Un film sur Paris, vu à travers les animaux sauvages qui la peuplent. Je trouve l'idée intéressante. Puis, comme Paris est Une ville que j'aime pourquoi pas. A 99 centimes, en plus, je ne pouvais que me laisser tenter.










Ensuite, petit tour à la Fnac. Où là, c'est l'hécatombe.
J'ai d'abord profité de l'offre, 2 blu ray acheté, 1 offert.


Un film qui m'avait bouleversé quand je l'avais vu adolescent. Isabelle Adjani y est sublime et offre une prestation admirable de la sculptrice. J'ai hâte de le revoir, surtout dans cette version restaurée.








Je sais pas ce qui m'a pris d'avoir voulu ce film, moi qui n'aime pas les films d'horreur. Mais j'entends de très bons échos de ce film, qui ont titillé ma curiosité. Comme la suite sort cette année au ciné, j'ai voulu me faire ma propre opinion.

Parce que j'aime les films historiques. Parce que j'aime l'histoire anglaise. Parce que j'aime Marie Stuart et son destin. Donc, je me suis décidé a le regarder. Et parce que j'aime Margot Robbie également.









En ce moment à la fnac, il y a le retour (régulier, je vous l'accorde) de l'opération, 5 DVDs pour 30 €. J'ai donc encore une fois craqué.

La semaine dernière, je suis allé voir "Portrait de la jeune fille en feu" dernier film de Céline Sciamma. J'ai été renversé par ce film tellement beau. Tellement, que j'ai eu envie de voir d'autres film Sde cette réalisatrice. C'est ainsi que j'ai choisi de voir Tomboy.








Ce film m'intrigue et me fait peur en même temps. Peur en voyant qu'on le compare à "Elephant" de Gus Van Sant, film dans lequel je ne rentre pas (Et pourtant je l'ai vu deux fois). Mais le sujet m'interpelle, en sachant que ce ne sera pas une partie de plaisir de le regarder.







Bon, celui là, par contre, c'est tout à fait mon genre de film. Comme je l'ai loupé, l'année dernière au ciné, je vAis pouvoir me rattraper.










Dans le même style que le film précédent. C'est un sujet qui me parle toujours.










Oui, cela peut surprendre, vu qu'habituellement, je ne suis pas fan de ce genre de film. Mais j'aime bien Nicky Larson. Donc pourquoi pas. Je me ferai ainsi mon propre avis.










Voilà pour les achats de cette semaine. Encore de belles heures de visionnages, qui m'attendent.
Si vous avez vu certains de ces films, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé dans les commentaires. Cela m'aidera plus facilement à faire mon choix.
Bon week-end!

mercredi 22 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #364

En 1969, Jimmy Cliff connait le succès avec ce titre.

Jimmy Cliff: Many rivers to cross (1969)



En 1969, il enregistre ce somptueux Many Rivers to cross qui, depuis, a été chanté par une multitude d'interprètes, y compris Joe Cocker et UB40. La chanson connut une seconde carrière lorsqu'elle fut incluse quelques années plus tard, sur la bande originale du film The harder they come, dont Cliff était aussi l'acteur principal. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1969", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 19 janvier 2020

Slow Qui Tue #436: On a trop fait l'amour ensemble

Le slow qui tue de la semaine chante qu'ils se sont trop aimés.

Gérard Manuel: On a trop fait l'amour ensemble



Bonne écoute!


mercredi 15 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #363

En 1969, Stevie Wonder revenait avec une ballade de son cru.

Stevie Wonder: My Cherie Amour (1969)


Depuis son apparition sous le nom de Little Stevie Wonder en 1963, avec Fingertips, le petit joueur d'harmonica aveugle a fait du chemin. Devenu multi-instrumentiste et auteur-compositeur surdoué, il n'a cessé d'aligner les succès outre-Atlantique, dans les catégories funk (Uptight (Everything's allright), 1965), folk (sa version du fameux Blowin'In the wind de Bob Dylan, 1966) ou ballade (I was made to love her, 1967). En 1969, ce My Cherie Amour fut n°4 du classement américain, où il passa une quinzaine de semaines: Stevie n'aviat que 19 ans et devant lui s'ouvrait un avenir radieux, ponctué d'albums aussi essentiels que Talkin'Book, Intervisions, Music of my mind ou Songs in the Key of life, autant de chefs d'oeuvre publiés au fil des années 70. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1969", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 12 janvier 2020

Slow Qui Tue #435: Please please please

Le slow qui tue de la semaine supplie sa bien aimée.

James Brown: Please please please



Bonne écoute!


mercredi 8 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #362

En 1969, Georges Moustaki connait son premier succès avec ce titre autobiographique.

Georges Moustaki: le Métèque (1969)


En 1969, âgé de 35 ans George Moustaki décide de rouler pour lui-même et de révéler au public ce qu'il ressent dans ce monde qui l'entoure, surtout après avoir été traité de "métèque" par les parents de sa petite amie. Créé par Pia Colombo sur la scène de l'Olympia, Le Métèque, grâce à la sobre interprétation de Georges Moustaki lui-même va faire un très beau parcours dans les hit-parades, puisqu'il sera n°1 en août 1969. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°6", Universal Collections)

Bonne écoute!


dimanche 5 janvier 2020

Slow Qui Tue #434: Ma petite fille de rêve

Le slow qui tue de la semaine fait une déclaration à sa petite fille de rêve.

Jean-Michel Caradec: Ma petite fille de rêve



Bonne écoute!


mercredi 1 janvier 2020

La Discothèque du 20e siècle #361

En 1968, Simon & Garfunkel chantait la BO d'un film dont la chanson allait devenir un succès.

Simon & Garfunkel: Mrs Robinson (1968)


Après des années de galère dans les circuits folks, c'est l’électrification de la chanson Souds of silence, purement acoustique à l'origine, qui apporte à Paul Simon et Art Garfunkel le succès sur un plateau d'argent, avec plus d'un million de 45 tours vendus en quelques semaines en 1965-66. En 1968, à la demande du metteur en scène Mike Nichols, ils collaborent à la bande originale du film Le Lauréat (avec Dustin Hoffman): c'est à cette occasion qu'ils créent Mrs Robinson, l'un de leurs plus grands succès internationaux. Après un dernier triomphe en 1970 avec l'album Bridge over trouble water, ils se séparent l'année d'après, s'orientant vers des carrières solo exemplaires. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1968", Polygram Direct)

Bonne écoute!


Bilan 2019

Une année de plus vient de s'achever et le constat pour le blog est terrible. Je suis absent du blog depuis plusieurs mois, l'envie de bloguer n'étant plus trop là. je pensais que la cause était dû à la pièce de théâtre à laquelle je participais cette année en tant qu'acteur, et qui me prenait beaucoup de mes week-end. Sauf que les représentations sont passées depuis longtemps et l'envie de bloguer n'est pas revenu. Enfin, de parler de mes lectures. Je continue à lire mais je n'ai pas forcément envie d'en parler.
Puis je lis très lentement car une autre passion à pris le pas sur la lecture.

A la fin de l'année dernière, je vous disais mon  envie de retourner au cinéma, de voir plus de films. Eh bien, cette résolution a été fort bien tenue, car le cinéma a pris une part très importante dans ma vie au détriment de la lecture.
Pour vous faire une comparaison, j'ai vu plus de films que lu de livres.

Côté livres:

J'ai lu 50 livres en 2019. Bon, ce n'est pas une catastrophe non plus, je vous l'accorde. Le début d'année a été très prolifique puis cela s'est étiolé au fil des mois.
Les lectures que je retiendrai sont peu nombreuses, mais essentielles:

Ému par toutes ces amours qui traversent le livre; bouleversé par cette fin qui nous rend orphelin de ce petit moment de bonheur, mais que l'on gardera comme un souvenir. Un souvenir que le temps gardera comme une photo, couleur sépia. 
Premier choc littéraire de l'année. Je compte bien retrouver sa plume cette année. 










un roman essentiel qui rappelle à notre mémoire le génocide rwandais que, nous français avons vécu de loin, sans trop comprendre ce qui s'y passait. Un roman que j'ai fini, en larmes et qui m'a bouleversé au point d'avoir un poids dans la poitrine. Un roman qui ne se raconte pas, mais qui se vit, et se ressent. Un roman vibrant d'authenticité et d'une belle humanité.

Un roman qui vit encore dans ma mémoire. 






Et ma découverte de cette année, l'auteur Julien Dufresne Lamy avec deux de ses romans: 





Coté Cinéma, là, je bas tous les records puisque j'ai de nouveau fréquenté les salles obscures en allant 34 fois au cinéma. 
Mais j'ai vu bien plus de films dans l'année grâce au support physique (DVD et Blu Ray (car oui, je me suis offert un lecteur Blu Ray, remplaçant mon vieux lecteur DVD qui commençait à rendre l'âme après presque 20 ans de bons et loyaux services). 
J'ai vu 172 films en cette année 2019, dont 33 en salles. 

Quelles sont donc les films qui me restent en tête après cette année 2019. Si je ne me focalise que sur les films de cette année,et vu en salles je dirai ceux ci: 

Le premier film d'Alexis Micchalik fut mon premier coup de coeur de cette année. C'est enlevé, drôle et on ressent cette esprit de troupe que nous fait vivre le théâtre (et j'en sais quelque chose puisque je fais parti d'une troupe de théâtre). Je suis ressorti de la salle conquis et des étoiles plein les yeux. 

Probablement le film le plus beau visuellement que j'ai vu cette année. 3e film (en deux parties)  du réalisateur allemand Florian Henckel von Donnersmarck, après "la Vie des autres" (autre film découvert cette année et que j'ai adoré), il raconte un pan de l'histoire allemande, de la seconde guerre mondiale aux années 60, à travers l'art pictural. C'est beau, sensuel et bouleversant. Je suis ressorti de la salle sonné, charmé. L'un des films les plus beaux que j'ai vu de ma vie. Et cette musique. Mon dieu,j'en frissonne encore. 




J'ai longtemps hésité avant d'aller voir ce film, puis, je me suis décidé et j'ai pris une claque monumentale. C'est un film bouleversant qui raconte, par la sphère privée, le mal être des agriculteur. Guillaume Caner, très investit dans le projet, y est juste et crédible dans le rôle de ce paysan qui essaye par tous les moyeux de survivre, jusqu'à la folie. Un film dont on ne ressort pas indemne. 

Bien sûr, beaucoup d'autres films m'ont plu, mais aucun ne me revient en tête comme ces trois là. 


Alors, peut être que cette année 2020, je recommencerai à m'occuper de ce blog, mais peut être plus pour parler des films que je vois, au ciné où chez moi. On verra bien. Je laisse le temps faire. 

Pour finir, je vous souhaite de belles lectures, de beau visionnages de films. Et surtout une