dimanche 30 décembre 2018

Slow Qui Tue #390: Le lac majeur

Le slow qui tue de la semaine nous parle de l'Italie.

Mort Shuman: Le lac majeur 



Bonne écoute!


mercredi 26 décembre 2018

La Discothèque du 20e siècle #301

En 1980, Robert Palmer revenait avec une chanson qui allait devenir l'un de ses plus grands succès.

Robert Palmer: Johnny & Mary (1980)


Ça vous rappelle quelque chose? Eh oui, bien avant de devenir l'une des musiques de pub les plus connues en France (pour une célèbre marque de voiture nationale!), cette chanson fut un joli tube européen pour le séduisant Robert Palmer, anglais, exilé aux Bahamas, qui nous distillait à l'époque des albums impeccables de "soul aux yeux bleus" avant de se recycler plus récemment dans le jazz "crooner" d'excellente facture (très belle version de Don't explain de Billie Hollyday sur l'album Ridin'High en 1992). (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1980", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 23 décembre 2018

Slow Qui Tue #389: Waterfalls

Le slow qui tue de la semaine s'inquiète pour son fils.

TLC: Waterfalls



Bonne écoute!


mercredi 19 décembre 2018

La Discothèque du 20e siècle #300

En 1977, Johnny Hallyday connaissait encore un énième succès.

Johnny Hallyday: J'ai oublié de vivre (1977)


Août 1977: Johnny est bouleversé par la mort de son idole Elvis: "C'est toute ma jeunesse qui meurt aujourd'hui. Je n'ai aucune honte encore maintenant à avouer même inspiré de lui". Octobre 1977: notre héros apparaît sur la pochette de son album C'est la vie, en smoking, les mains dans les poches dans le coin d'une pièce vide, cachant mal son blues...Enregistré au studio 92 et produit par Jacques Revaux, sur cet album apparaît une nouvelle signature, celle de Pierre Billon; ) eux deux, ils signent J'ai oublié de vivre qui devient un classique instantané du répertoire de Johnny, se classant au sommet du hit-parade de RTL. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1977", Polygram Direct)

Bonne écoute!


mardi 18 décembre 2018

Angélique Tome 4: Indomptable Angélique

4e de couverture: Les révélations du Roi-Soleil ont fait naître en Angélique un fol espoir. Le comte Joffrey de Peyrac aurait-il survécu au bûcher auquel l’avaient condamné la justice et l’Église ?
Sur la Méditerranée, où Barbaresques et corsaires se livrent au commerce d’esclaves, jusqu’aux côtes d’Afrique du Nord où règne Moulay Ismaël, «l’Épée de l’Islam», dont l’empire s’étend jusqu’aux sources du Nil, Angélique Marquise des Anges part en quête de l’homme qu’elle a toujours aimé. 

Risque de Spoilers sur les tomes précédents (mais est ce vraiment une surprise). 

Chaque année, depuis 3 ans, je retrouve Angélique en décembre, juste avant, pendant ou après Noël. Retrouver Angélique, c'est un peu s'offrir un cadeau de Noël en avance. 
Et pour ce 4e volet de ses aventures, changement de décor et de cap, puisque nous quittons la cour et Paris, pour la Méditerranée et les pays du moyen Orient, à la rencontre des Corsaires et des Barbaresques. 

Ce nouveau décor était salutaire et c'est une belle idée de la part d'Anne Golon d'avoir voulu nous faire découvrir autre chose. D'ailleurs, chaque roman nous fait découvrir un aspect du XVIIe siècle. Après les quartiers mal famés de Paris et sa Cour des Miracles (à lire dans  "Le Chemin de Versailles"), après l'autre Cour, celle du roi de France (à lire dans  " Angélique et le Roy"), c'est donc les pays de la Méditerranée du temps des Barbaresques et des Corsaires vers lesquels nous partons. 
Et quelle claque! Mais quelle claque les amis! C'est à un véritable roman d'aventures qu'Anne Golon nous embarque. Un roman d'aventures foisonnantes et nombreuses...tellement qu'il ne fallait pas moins de deux films pour nous le raconter (car oui, ce 4e tome est le dernier à avoir été porté à l'écran, correspondant aux Films "Indomptable Angélique"  et "Angélique et le Sultan") et ce n'est pas plus mal car le  cinéma à fait trop de mal à cette saga. (En lisant cette formidable saga, c'est mon enfance qui en prend un coup puisque je pense que j'aurai du mal à revoir les films à présent, surtout les derniers). 

D'ailleurs, les films sont tellement éloigné du livre que ce fut une véritable découverte. 
Les deux premières parties correspondant au périple maritime d'Angélique fut passionnant de bout en bout. On retrouve avec plaisir la belle Angélique accompagné de son fidèle Savary, que j'ai encore plus apprécié dans ce tome. Quel homme lunaire mais charmant que ce savant, d'une fidélité sans faille à la belle et forte Angélique. 
Mais, j'ai aussi fait la rencontre de corsaires, terrible comme le marquis D'Escrainville, un être abject, qui va mener la vie dure à Angélique et la vendre au marché aux esclaves. Où la belle connaîtra la plus grosse enchère jamais obtenue pour une esclave blanche. Une enchère qu'un certain Rescator à gagné. Et là, je peux vous dire que mon coeur a fait un bond, et mes yeux se sont illuminé. (Ben oui, car je sais qui se cache sous le nom du Rescator, mais je ne vous le dirais pas pour ceux qui veulent garder la surprise (on sait jamais si vous n'avez pas vu les films). Enfin, j'allais avoir la fameuse confrontation entre Angélique et ce fabuleux pirate, qui n'est pas comme les autres...sauf que ma joie fut de courte durée, puisque Angélique prend la fuite, pour tenter de retrouver son mari disparu dix ans plus tôt et qui serait  à Alger. 
Ahhh! C'est pas humain de faire vivre ça à ses lecteurs, non c'est pas humain! 
 (Petite parenthèse: j'ai été surpris de revoir un certain ami d'enfance d'Angélique dans ce tome et je me suis demandé pourquoi l'auteure nous a fait ce petit cadeau vu la fin de cette apparition)

Bon, alors, je ne vous cache pas que la 3e partie du roman, consacré au harem, fut celle qui m'a le moins emballé. Attention, elle fut intéressante à lire car Mme Golon maîtrise son sujet et on apprend plein de choses, et on est embarqué dans ce Maroc des Mille et Une Nuits...mais je trouve qu'il y a un petit ralentissement dans cette partie, comme une espèce de langueur...pourtant, c'est là où la vie d'Angélique sera la plus cruelle. My God, Anne Golon ne nous épargnera aucune  torture et il faut avoir le coeur bien accroché en lisant cette partie là (qui disait déjà qu'Angélique, c'est fleur bleue et à l'eau de rose? Ouais, ben la réputation peut aller se faire voir car on est loin du pays des bisounours, les amis). 

Heureusement la dernière partie du roman relance l'intérêt et on se surprend à suivre, haletant, cette fuite d'Angélique vers sa liberté...jusqu'à un cliffhanger final, qui me laisse pantois et déjà orphelin. Un final bien éloigné du dernier film. En même temps, c'est normal puisque ce film concluait la saga cinématographique, alors que la saga littéraire n'en est encore qu'à ses balbutiements... puisqu'il reste encore 9 tomes. 

Au final, une saga littéraire que je regrette de découvrir si tard (et dire que si mes parents m'avait laissé découvrir la saga à 13  ans, j'aurai pu l'avoir complète (alors que là, je galère pour trouver les 4 derniers tomes...grrr), oui, mais on trouvait qu'à 13 ans, je n'avais pas l'âge pour lire ça...et encore une fois, on se référait aux films..grrr). Elle me conquiert de plus en plus à chaque tome et je prend un plaisir fou à la lire. 
Vivement le prochain tome pour savoir quel sort sera réservé à l'indomptable Angélique! 

Anne Golon: Angélique Tome 4: Indomptable Angélique Vol 1, J'ai lu, 375 pages, 1960
Anne Golon: Angélique Tome 4: Indomptable Angélique Vol 2, J'ai lu, 346 pages, 1960




dimanche 16 décembre 2018

Slow Qui Tue #388: Louise

Le slow qui tue de la semaine nous parle d'une femme amoureuse durant la première guerre mondiale.

Gérard Berliner: Louise



Bonne écoute!


mercredi 12 décembre 2018

La Discothèque du 20e siècle #299

En 1974, Serge Lama connaissait l'un de ses plus grands succès.

Serge Lama: Je suis malade (1974)


C'est contre l'avis de sa maison de disque que Serge Lama sort Je suis malade en 1973. Bien lui en a pris, puisque, malgré un titre guère réjouissant, cette poignante chanson d'amour va rencontrer un énorme succès. Peu de temps après Les p'tites femmes de Pigalle, cette composition d'Alice Dona fera en effet de Serge Lama l'un des nouveaux symboles de la chanson à texte. (Source: Fascicule "L'encyclopédie de la chanson française n°2", Universal Collections)

Bonne écoute!


dimanche 9 décembre 2018

Slow Qui Tue #387: War Song

Le slow qui tue de la semaine ne veut pas connaitre une nouvelle chansons de guerre.

Cunnie Williams: War song




Bonne écoute!


samedi 8 décembre 2018

Le dernier joyau des Romanov

4e de couverture: En juin 1914, le lieutenant russe Dimitri Malkine est chargé de se rendre à Paris pour une mission diplomatique. La tsarine mère en profite pour lui demander secrètement de remettre à Londres un superbe bijou à sa soeur, la reine Alexandra. Dimitri s’acquitte de sa tâche, mais n’est pas au bout de ses peines… La reine Alexandra souhaite à son tour faire un présent à sa soeur : un oeuf de Fabergé unique, muni d’une serrure et dont le contenu reste énigmatique.
Avant même que le lieutenant puisse emprunter le chemin du retour à Saint-Pétersbourg, il se trouve entraîné bien malgré lui dans ce qui deviendra l’un des conflits les plus sanglants de l’histoire de l’humanité.
Il faudra alors attendre plus de soixante-dix ans pour que Camille, généalogiste successorale bordelaise, plonge dans cette histoire pour le compte de sa cliente, Madame de Limeuil. Ses recherches la conduisent de Bordeaux au coeur de la Gascogne, des Archives secrètes du Vatican à Cracovie, mais le mystère reste entier. Qu’est-il arrivé à Dimitri Malkine ? Où est passé cet oeuf de Fabergé à la valeur inestimable ? Enfin, pourquoi a-t-elle l’impression qu’on s’en prend à tous les témoins de l’affaire ?

En ce moment, mes lectures sont au ralenti, (ce qui explique le peu de chroniques ces dernières semaines), mais cela ne m'empêche pas d'apprécier ce que je lis. 

Ce fut le cas avec Le dernier joyau des Romanov, roman historique de belle facture qui nous emporte au temps des tsars et de la première guerre mondiale. 
C'est à travers le parcours hors du commun de Dimitri Malkine qu'on entre à la cour de Russie et en plein coeur du premier conflit mondial. Je dois dire que c'est assez fascinant, et trépident. Dimitri Malkine est un très beau personnage, doux, frondeur, (mais pas tête brûlée), qui va nous faire découvrir un monde de secret, de guerre, de complot, et ce, de la Russie des Tsar, jusqu'en Amérique, en passant par l'Angleterre et la France. 
Mais, il n'y a pas que ça. Tout en suivant le parcours de ce valeureux soldat, le lecteur se retrouve au début des années 90,  aux côtés de Camille, une généalogiste successorale, qui va faire des recherche sur la famille de Mme de Limeuil, à la recherche d'un héritier, qui cachera bien plus que ça, puisqu'il concernera la famille impériale, disparue tragiquement lors du massacre d'Ekaterinbourg. 
Bien évidemment, on se doute que les deux histoires, vécues en parallèle, vont se croiser pour être liées au final. 

Je dois dire que si j'ai beaucoup apprécié les chapitres concernant l'histoire de Dimitri, j'ai été un peu moins emballé par celle de Camille et ses recherches. Alors, je sais que alterner les deux histoires sert le suspense mais j'ai trouvé que les parties de Camille ralentissaient quelque peu le récit de Dimitri. Et c'est bien dommage, car celui ci est passionnant et instructif de bout en bout. Avec un style, simple, addictif, l'auteure nous en apprend énormément sur cette période charnière de l'histoire. Surtout, elle s'est réapproprié une thèse sur le massacre de la famille Romanov (comme quoi les filles du Tsar Nicolas II auraient survécu au massacre en étant échangé par les bolchevistes à l'Allemagne) parait vraisemblable. Elle mélange ainsi habilement la fiction et la réalité, et le lecteur se laisse embarquer dans cette histoire avec plaisir. 

Au final, un roman historique très bien mené, fort instructif et qui va tambour battant (petit bémol pour la partie sur Camille, qui m'a moins emballé que celle sur Dimitri). C'est fort distrayant et on apprend des choses sur cette période trouble de l'histoire. Si vous êtes fasciné par le mystère des Romanov, si vous aimez les romans historiques où l'aventure est quasi à chaque page, je vous recommande ce livre. 

Merci aux Editions du Sud Ouest pour cette découverte.

Monique Dollin du Fresnel: Le dernier joyau des Romanov, Editions du Sud Ouest, 402 pages, 2018


mercredi 5 décembre 2018

La Discothèque du 20e siècle #298

En 1971, une jeune chanteuse connait le succès avec une de ses premières chansons.

Esther Galil: le Jour se lève (1971)


Installée en France, après une tournée avec le Grand Music Hall d'Israël, Esther séduit par sa voix rocailleuse, très gospel et elle est signée par Eddie Barclay. En 1971, elle obtient son premier grand hit avec Le jour se lève, bientôt suivi par Delta Queen, Harlem song et Oh Lord. Après un exil aux Etats Unis, on l'a revue en 1988, à l'occasion de la sortie de la musique du film Deux minutes de soleil en plus. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1971", Polygram Direct)

Bonne écoute!


dimanche 2 décembre 2018

Slow Qui Tue #386: Succès fou

Le slow qui tue de la semaine à un succès fou avec les filles.

Christophe: Succès fou



Bonne écoute!