dimanche 31 juillet 2011

SLC #3: Johnny Hallyday



Cette semaine, retour de SLC avec un chanteur français (oui j'alterne) et pas des moindres: Johnny Hallyday.

Je ne vais pas trop épiloguer sur Johnny, tout le monde le connait.

Jean-Philippe Smet (plus connu sous le nom de Johnny Hallyday) a vu le jour le 15 juin 1943 à Paris.

En 1955, il fait des débuts artistiques comme acteur tout d'abord, dans le film d'Henri George Clouzot où il fait une apparition: Les Diaboliques avec Simone Signoret, Vera Clouzot et Paul Meurisse.

Mais, c'est après avoir vu le King Presley dans le film Loving You (Amour frénétique) qu'il décide d'être chanteur de Rock. Il a 14 ans.

En 1960, il signe un contrat avec la maison de disque Vogue.
Le 18 avril de la même année, il fait sa première apparition télé, parrainé par Line Renaud, qui le présente comme un chanteur d’origine américaine en disant que sa mère est française et son père américain. (Quelques temps plus tard sur les conseils de Charles Aznavour, il rétablira la vérité) Lors de cette émission, il interprète "Laisse les filles" en se roulant par terre lors du pont musical. Son passage dans l'émission va booster les ventes du 45 tours.

Mais c'est avec son 2e 45 tours "Souvenirs Souvenirs, qu'il connait son premier grand succès et que sa carrière est réellement lancée.
Il devient ainsi le "King" du Rock Français et connait depuis plus de 50 ans, une belle carrière (malgré quelques passages à vides dans les années 60 et 70, il a toujours sû revenir et rebondir).

Et je vais m'arrêter là. Si vous voulez en savoir plus sur Johnny, aller chez notre cher ami Wiki.

Pour accompagner ce petit portrait, j'ai choisi sa première chanson: Laisse les filles. (Il y en a tellement que le choix était difficile à faire, donc autant choisir la première).



Bonne écoute!

Album du dimanche #18: Cock Robin: Best Of

En ce dimanche enfin ensoleillé (l'été est de retour youpi!), j'ai eu envie de réécouter un groupe que j'ai eu la chance de voir en concert vendredi soir (Concert vraiment fabuleux qui ne m'a point déçu).



Pour l'écouter, c'est par là: Cock Robin: Best Of

Quelques vidéos:



When your heart is week



Just around a corner



The Promise you made



Worlds Apart



Thought you were on my side


Peter Kingsbery - Only The Very Best par san29

Only the very best (Je vous l'accorde, ce n'est pas une chanson du groupe. Mais elle fait partie du best of en Bonus (l'un des moments les plus émouvant que j'ai vécu vendredi soir lors du concert)

Bonne écoute!

samedi 30 juillet 2011

Whistle Stop Café: Whistle Stop (Alabama)


Résumé: "Un sacrée numéro, Idgie ! La première fois qu'elle a vu Ruth, elle a piqué un fard et elle a filé à l'étage pour se laver et se mettre de la gomina. Par la suite, elles ont ouvert le café et ne se sont plus jamais quittées. Ah ! Les beignets de tomates vertes du Whistle Stop Café ... J'en salive encore !"
Un demi-siècle plus tard, Ninny, quatre-vingt-six ans, raconte à son amie Evelyn l'histoire du Whistle Stop, en Alabama. Il s'en ai passé des choses, dans cette petite bourgade plantée au nord de la voie ferrée ! Et Evelyn, quarante-huit ans, mari indifférent, vie sans relief, écoute, fascinée. Découvre un autre monde. Apprend à s'affirmer, grâce à Ninny, l'adorable vieille dame.


Lire ces Beignets de Tomates vertes, c'est se retrouver à bord d'une voiture sur une route de l'Alabama qui s'arrête devant la porte d'un café pas comme les autres. Fatigué par une longue route, vous décidez de vous arrêter faire une petite pause et vous poussez la porte du "Whistle Stop Café". Vous vous asseyez à une table et vous commandez l'une des spécialités de la maison: des Beignets de Tomates vertes et c'est parti pour un voyage qui vous changera à jamais.

Ce roman est une pure merveille, qui vous donne un plaisir inimaginable, vous faisant passer du rire aux larmes d'une page à l'autre. Tout comme Evelyn Couch, qui rencontre Mrs Threadgoode, vous ferez la connaissance d'Idgie et de Ruth, de Stump et Artis, de Sipsey et Big George et de tant d'autre, qui au fil des pages, vous paraîtront familier: vous aurez l'impression de les connaître depuis toujours.
Je me suis plongé avec délice dans ces chroniques du Sud de l'Amérique profonde et j'en repart avec des souvenirs plein la tête mais le coeur un peu triste d'avoir quitté des amis qui m'ont tenu compagnie pendant quelques jours.
Fannie Flagg à su modeler son roman avec une originalité, nous faisant voyager dans le temps d'une façon fluide qu'on s'y retrouve, mais surtout qu'on a envie de savoir ce qui s'est passé avec le méchant Frank Bennett (cette "intrigue" m'a tenu en haleine jusqu'au bout).

L'auteur à croqué des personnages forts, attachants et que l'on aime tout de suite. Ces petites chroniques nous laisse une saveur sucré de nostalgie dans la bouche et nous donne envie de refaire le voyage jusqu'à ce petit hameau qu'est Whistle Stop. De plus l'auteur, nous donne la liste des recettes de Sipsey, à la fin du livre, nous donnant la possibilité de retrouver les bons petits plats du Whistle Stop Café, chez nous. (Du moins, pour ceux qui se sentent une âme de cuisinier(e)).

Je ne rajouterai qu'une seule chose: n’hésitez pas une seconde a vous procurer ce livre et prenez le entre vos mains, ouvrez le et vous n'aurez plus envie de quitter Idgie, Ruth, Evelyn et Ninny. Vous refermerez le livre, le coeur un peu serré, avec un goût de Beignets de Tomates vertes sur la langue qui vous fera saliver et vous donnera envie de refaire le voyage.

Fannie Flagg: Beignets de Tomates Vertes (Fried green tomatoes at the Whistle Stop Cafe), Le Livre de poche, 475 pages, 1992


(Film dont le DVD se trouve dans ma PAV.Vous pouvez être sûr que je vais refaire le voyage jusqu'à Whistle Stop dans peu de temps)

7/10

vendredi 29 juillet 2011

Saison 2011-2012: Serie #2: The PlayBoy Club



Pitch: Un groupe de femmes, toutes plus jolies les unes que les autres, travaille dans les années 60 pour le club "Playboy" à Chicago, devenu rapidement un lieu incontournable de la nuit. Maureen est la petite nouvelle, au passé mystérieux et douloureux; Carol Lynne est une bombe de 30 ans, star établie du club, qui sait que ses jours sont comptés face aux nouvelles arrivantes; Alice est une playmate un peu étrange, mariée, qui prend soin de tout le monde sauf d'elle-même... (Source Allociné)

Mad Men fait des petits la saison prochaine. Devant le succès autant des critiques que du public, la série d'AMC donne des envies aux grands networks américains.
NBC lance donc la saison prochaine The Playboy Club: série se déroulant dans les 60's et qui raconte l'histoire de ces filles qui travaillent pour ce club de Chicago qui devint l'un des clubs les plus prisés du monde de la nuit (dont l'emblème est cette tête de lapin très célèbre (dû au fait que les serveuses étaient habillées en bunny).

Si je me suis arrêté sur cette série, c'est pour les 60's qui me fascinent toujours autant, mais aussi pour le fait que la série se veut sulfureuse. Je veux me faire ma propre idée, donc à voir. Puis, ce sera un plaisir de retrouver les rues de Chicago.

Ensuite, est ce que la série est sur la bonne chaine pour perdurer, j'en doute. Car, si elle veut ressembler à "Mad Men", elle risque d'avoir un public et une audience discrète. Ce qui n'est pas vraiment du goût d'un grand network comme NBC.
Ce qui me fait ensuite peur, c'est d'avoir choisi Eddie Cibrian comme héros de la série. Je ne veux pas dire que je ne l'aime pas, je l'avais bien aimé dans "Sunset Beach" et "New York 911". Seulement ces dernières années, il enchaine les échecs sur toutes les séries dont il était la vedette ("Invasion" en 2005, arrêtée après une saison, même chose pour "Vanished", l'année suivante, son arrivée dans la saison 8 des "Experts Miami", saison où les audiences ont commencé à chuter (il n'en est pas forcément la cause) et où son personnage, n'ayant pas fait l'unanimité, est débarqué en début de saison 9). Disons, le tout net, depuis 2005, Eddie Cibrian porte la poisse. Ce qui n'est pas un bon point pour la série.
Après, peut être que The PlayBoy Club sera la série qui le sortira de ce cercle infernal.

Moi, je ne demande qu'à voir. Je regarderai donc le premier épisode pour me faire une idée.

Première diffusion: Lundi 19 septembre 2011 sur NBC.


mercredi 27 juillet 2011

Saison 2011-2012: Serie #1: Ringer



Pitch: Une jeune femme troublée, Bridget, tente de fuir la mafia en prenant l’identité de sa riche sœur jumelle, Siobhan. Mais elle va très vite découvrir que celle-ci a également des problèmes et est recherchée...
(Source Allociné)

Généralement je ne suis pas fan des séries que nous propose la CW, mis à part "Supernatural". Sinon, toutes les autres séries, que ce soit "Vampire Diaries", "90210" , "One Tree Hill" ou "Gossip Girl", ne sont d'aucun intérêt. Enfin pour moi car comme je dis chacun ses goûts.
Alors pourquoi Ringer m'a tapé dans l'oeil?

La première raison: Sarah Michelle Gellar.
Comme beaucoup, j'ai été un fan absolu de "Buffy" (que je revois avec plaisir sur W9 en ce moment)et j'adorai l'actrice.
Sarah avait pourtant dit qu'elle ne voulait plus s'enfermer dans une série car elle en avait assez bavé sur la série de Joss Whedon. Mais, le fait d'interpréter deux personnages à l'opposé l'un de l'autre l'a convaincue. (Il faut dire aussi que sa carrière cinématographique n'a pas eu le succès qu'elle espérait).

La 2e raison: le pitch que je trouve intriguant. J'ai toujours été fasciné par tout ce qui touchait à la gémellité. De plus, les deux soeurs apparemment, n'étaient pas très proches ce qui fait que Bridget, en voulant fuir ses problèmes en prenant l'identité de sa soeur, va s'attirer d'autres problèmes et comprend que sa soeur est également recherchée. Pourquoi? Mystère!

3e raison: les créateurs de cette série ont été scénaristes sur la saison 6 de "Supernatural", ce qui pour moi me suffit. Oui, parfois, il m'en faut peu.

4e raison: le trailer de la série qui m'a mis l'eau à la bouche. J'ai envie d'en savoir plus.

Après, est ce que la série tiendra la route sur plusieurs saisons? Est ce que la série arrivera au bout de la saison 1? Y aura t-il une saison 2? En clair: Est ce que la série tiendra ses promesses?

Un début de réponse mardi 13 septembre 2011 avec la diffusion du 1er épisode.

mardi 26 juillet 2011

Saison 2011-2012: Nouvelles séries à l'horizon

Je sais, nous ne sommes que fin juillet et déjà, je pense à la rentrée, côté séries.
C'est que cette saison qui approche nous promet pas mal de nouvelles séries que je trouve intrigantes et qui me font envie. Pas comme l'année dernière, où je n'ai suivi aucune nouveauté car rien ne me bottait.
Je me suis contenté de regarder la saison 6 de How I Met Your Mother et la saison 5 de Brothers & Sisters.

Sauf que cette saison, pas moins de trois de mes séries préférées ont tiré leur révérence (Brothers & Sisters, citée plus haut, Friday Night Lights et Entourage, qui a débuté début juillet sa 8e et dernière saison. Sniff!). Il faut donc, que je pense à m'en trouver des nouvelles qui vont, je l'espère me satisfaire.

Et j'espère bien trouver mon bonheur dans cette nouvelle saison.

Pendant le mois d’août, j'ai décidé de vous parler des nouvelles séries de la saison 2011-2012 (pas toutes les séries, je vous rassure. Juste celles qui me font envie et il y en a un petit paquet: une dizaine pour être précis.

Pour débuter, j'ai décidé de vous parler,non pas d'une nouvelle série(ça, ce sera pour demain) mais de la seule ancienne série que je continuerai à suivre la saison prochaine.



Malgré que la saison 6 m'ait un petit peu déçu (pas assez de Ted à mon goût), je suis toujours attaché aux personnages et j'ai bien envie d'en savoir plus sur ce qui arrive à Barney au vu du final de la saison 6.
Je serai donc au rendez-vous mi -septembre pour la saison 7(le season-premiere sera diffusé le 19 septembre 2011 et sera d'une durée de 1 heure.)

Voilà en ce qui concerne HIMYM.

A demain pour découvrir une nouveauté série de la prochaine saison.

lundi 25 juillet 2011

"Danse, Zarité, , danse , car un esclave qui danse est libre...aussi longtemps qu'il danse"


Résumé: 1770, Saint-Domingue. Zarité Sedella, dite Tété, a neuf ans. Fillette chétive à la volonté de fer, elle est vendue comme esclave domestique à Toulouse Valmorain, jeune français tout juste débarqué pour prendre la succession de son père, propriétaire terrien mort de syphilis…
Zarité va découvrir la plantation, avec ses champs de canne à sucre et ses esclaves, courbés sous le soleil de plomb, la violence des maîtres, le refuge du vaudou. Et le désir de liberté. Car entre soldats, courtisanes mulâtres, pirates, esclaves et maîtres blancs, souffle le vent de la révolte.
Lorsque Valmorain, réchappé de l’insurrection grâce au courage et à la détermination de son esclave, parvient à embarquer pour La Nouvelles-Orléans, Tété doit le suivre. Mais la lutte pour la dignité et l’émancipation ne peut être interrompue…



Même si je n'ai mis que 6 jours pour le lire, j'ai l'impression d'avoir pris le temps de m'imprégner de l'histoire de Tété et du style si envoutant d'Isabel Allende. Je ne voulais pas me précipiter pour ne pas me gâcher cette découverte.
C'est à un véritable roman historique que nous avons affaire et le style travaillé de l'auteur qui nous raconte dans les moindres détails cette première révolution d'esclaves en est la preuve. J'ai appris beaucoup de chose sur l'histoire de Saint-Domingue. Ces passages rempli de vaudou, de révoltes et de sentiments de libertés m'ont envoutés (je ne sais pas ce que j'ai avec cette île mais elle a le même effet sur moi à chaque fois que je me plonge dans son histoire: j'avais eu le même sentiment pendant la lecture du Manuscrit de Port Ébène de Dominique Bona (qui se situe à la même période)).
Mais il n'y a pas que des faits historiques racontés dans ce magnifique roman: il y a des personnages, certains attachant comme Tété, Maurice, ou certains immondes et plein de morgues (comme Valmorain qui sous ces airs d'homme "bon", n'est rien moins qu'un esclavagiste de plus.Ou bien sa deuxième femme, Hortense que j'ai détesté(et que j'ai adoré insulté, je l'avoue, devant ses actions abjectes. Et j'ai été heureux qu'elle ne puisse pas donner d'héritier à Valmorain) qui ne nous laissent pas indifférents.
J'ai aimé Tété, cette femme, juste et belle qui se bat pour qu'elle et sa fille Rosette aient leur liberté. J'ai beaucoup apprécié que l'auteur lui donne la parole. Les chapitres de Zarité sont d'une telle beauté et d'une musicalité que j'ai eu l'impression d'entendre sa voix à mon z'oreille.
J'ai également apprécié que l'histoire et la Grande Histoire se retrouve mêlée, comme, par exemple, Gambo, l'esclave dont Tété tombera amoureuse, qui prendra la fuite et se retrouvera lors des affrontements aux côtés de Toussaint Louverture, qui jouera un grand rôle dans l'histoire de l'île.


Le roman est composé de deux parties, et même si j'ai aimé la partie sur Saint Domingue, je lui ai préféré celle sur la Louisiane. Cette partie fut passionnante car l'auteur nous raconte comment cette colonie française est devenue américaine: c'est la faute à Napoléon (comme le chantait Michel Fugain...mais je m'égare). Quand les américains débarquent, j'ai aimé voir la réaction des français qui se disaient que ces amerloques, tout aussi civilisés que leurs esclaves (c'est vous dire l'estime qu'ils en avaient) devraient apprendre à parler le Français, s'il voulait rester. Sauf que la suite on la connait. Les Américains ont promulgués l'anglais comme langue principale et officielle, ce qui fait qu'on ne parle pratiquement plus le français en Louisiane...sauf erreur de ma part.
La partie sur la Louisiane est celle qui m'a le plus touché, fait vibrer, mis en colère, devant le comportement de cette Hortense, que j'ai détesté de suite. J'ai également aimé voir les différences entre les mulâtres, les quarteronnes ou les noirs.
Isabel Allende est une auteure avec un style fort, musical et qui donne vie à des personnages vivants, forts et auxquels on croit. La preuve, c'est que je les ai aimés, détestés. Quand des personnages nous font ressentir toutes ces choses et qu'ils ne nous laissent pas indifférents, c'est que l'auteur à réussi a leur insuffler une âme.
En tout cas, la liberté à un prix que Tété à payé très cher. C'est une femme courageuse qui m'a ému (le dernier chapitre du livre, qui donne la parole à Tété, m'a fait versé quelques larmes, je l'avoue).

En conclusion, Isabel Allende à su m'émouvoir et à réussi son pari de nous raconter l'histoire de Saint-Domingue par l’intermédiaire d'une femme courageuse qui a tout fait pour gagner sa liberté. Je vous le recommande fortement. Vous aussi laissez vous envouter par Tété et vous embarquerez pour un voyage que vous n'oublierez pas.

Merci infiniment à News Books et aux Editions Grasset pour ce partenariat. Grâce à vous j'ai passé un agréable moment.



Isabel Allende: L'île sous la mer (La Isla Bajo El Mar), Grasset, 523 pages, 2011.

dimanche 24 juillet 2011

SLC #2: The Beach Boys



Je commence déjà à faire une entorse à la petite règle que j'avais instaurée (car les Beach Boys, ne sont pas sur la photo mythique de Salut les Copains) mais je voulais ainsi varier et vous proposer des artistes internationaux de cette époque.
J'ai décidé de commencer par les Beach Boys.

Le groupe, d’origine américaine, s'est formé en 1961 en Californie et a connu leur plus grande popularité dans les années 60-70. C'est l'un des rares groupes américains a rivaliser avec les groupes britanniques comme les Beatles, les Rolling Stones ou les Who. Ils sont d'abord affiliés à ce que l'on appelle la Surf Music mais ce sont des mélodies aux harmonies complexes et très mélodiques qui les distinguent.
A la fin de la décennie sixties, le groupe va progressivement décliner. Cela est notamment dû a la santé mentale précaire de Brian Wilson, le compositeur de la plupart de leur succès.

Cependant, ils sont toujours actifs et ont fait des retours remarqués dans les années 80 avec une reprise de California Dreamin' ou de Kokomo (qui se trouve sur la BO du film Cocktail avec Tom Cruise).

Les Beach Boys sont entrés au Hall of Fame en 1988.

D'après "Bilboard Magazine", ils sont le premier groupe américain, en ce qui concerne les ventes de disques.

La chanson que j'ai choisi pour accompagner ce billet est Surfin'USA.


Beach Boys - Surfin' USA par fredozydeco

Bonne écoute!

Album du dimanche #17: Nikki Yanofsky: Nikki

Hier, j'ai été pris d'une frénésie d'achats mais qui concerne les CDs, cette fois. Je suis ressorti avec pas moins de 4 disques (trouvés tous à petits prix (il y en a même un que j'ai eu à 2.50€.On peut donc dire, cadeau).
Alors en ce dimanche, j'ai voulu écouter un disque acquis hier et que je voulais depuis un moment.



Une artiste vraiment exceptionnelle, qui n'a seulement que 17 ans. Une nouvelle chanteuse jazz à suivre.

Et pour que vous la découvriez, si vous ne la connaissez pas: Nikki Yanofsky: Nikki

Quelques vidéos:



Take the A Train



I got Rhythm



Cool My Heels (chanson qu'elle a écrite)



Bienvenue dans ma vie

Bonne écoute!

samedi 23 juillet 2011

Musical #8: Ma vie est une chanson



Année: 1948
Réalisation: Norman Taurog
Music: Richard Rodgers
Lyrics: Lorenz Hart
Choregraphie: Robert Alton

Casting: Mickey Rooney (Lorenz Hart); Tom Drake (Richard Rodgers); Perry Como (Eddie Anders); Ann Sothern (Joyce Harmon); Cyd Charisse (Margot Grant); Janet Leigh (Dorothy); Betty Garrett (Peggy)
et dans leur propres rôles: Judy Garland, June Alyson, Lena Horne, Gene Kelly, Vera-Ellen, Mel Tormé...

Synopsis: L'histoire romancée des auteurs-compositeurs Richard Rodgers et Lorenz Hart.


Deux ans après La Pluie qui chante, biopic musical consacré à Jerome Kern (musical que j'aime énormément), Arthur Freed décide de monter un biopic consacré au duo Lorenz Hart/Richard Rodgers. Au moment du tournage, cela fait 5 ans que Lorenz Hart est mort (ce film est un hommage), et Richard Rodgers collabore depuis avec Oscar Hammerstein. Travaillant à New York, Rodgers ne peut pas collaborer au film. Il envoie donc son beau-frère Ben Feiner Jr pour tout superviser. Malgré celà, le film prendra beaucoup de libertés avec les faits, surtout dans le portrait de Lorenz "Larry" Hart, en adoucissant son côté dépressif- dû à une homosexualité mal accepté (détail qui a été gommé dans le film, époque oblige je dirai). De même Rodgers, coureur de jupons invétéré sera montré dans le film comme un amoureux romantique et un mari idéal.

Le terme de biopic n'est donc pas tellement approprié car il prend des libertés avec la réalité. Tous les historiens de Broadway insistent sur le fait que ni Hart, ni Rodgers n'étaient comme dans le film. Ils disent même que le choix de Mickey Rooney est surprenant car il n'a aucun point commun avec le brillant et torturé Lorenz Hart, mis à part la petite taille. Mais bon, là, n'est pas trop le but du film. Le but de celui ci est de nous faire rêver au son des belles chansons écrites par Rodgers & Hart. Car les chansons entendues dans le film sont bien du duo.

Je dois vous dire que j'ai énormément aimé ce musical. Les chansons sont entrainantes ou mélancoliques et je dois dire que Mickey Rooney et Tom Drake forment un bon duo. Ils se complètent tous deux. J'ai beaucoup aimé l'entrain de Rooney et le charme de Drake.
De plus, il y a des guests dans ce film, c'est affolant: Gene Kelly-Vera Ellen; Mel Tormé, Perry Como, June Alyson, Lena Horne mais c'est une "invitée surprise" de marque qui va contribuer au succès du film: Judy Garland. Elle est l'actrice N°1 du studio et le grand patron Louis B. Mayer, lui propose un cachet exorbitant(50 000 dollars) pour interpréter une chanson "I Wish I Were in Love Again" en duo avec Mickey Rooney (tous deux se connaissent bien car ils ont tourné quelques musicals ensemble. Leur complicité se voit beaucoup à l'écran durant ce duo). (Petite anecdote:quelques mois après le tournage lors d'une projection test, le public a tellement aimé le passage de Judy Garland qu'ils en redemandent et Judy retourne en studio pour tourner le numéro "Johnny One Note" qui se trouve tout de suite après sa première séquence. (Le décor à dû être reconstruit et les figurants rappelés. La seule petite différence entre les deux scènes concerne la ceinture: Judy ne la porte pas dans la 2e séquence).
J'ai aimé les deux passages de Judy, même si j'ai une nette préférence pour son duo avec Rooney (les mimiques de Rooney durant la chanson sont très drôles). Ce que j'ai aussi aimé c'est revoir judy Garland et Tom Drake (interprétant le rôle de Richard Rodgers dans ce film) a nouveau réunis (Tom Drake était le jeune voisin dont Judy Garland tombait amoureuse dans Meet Me in St Louis (Le chant du Missouri) en 1944, soit 4 ans avant Ma vie est une chanson.

Tous les passages musicaux sont formidables et j'ai beaucoup aimé la prestation de Mickey Rooney, pleine de vie mais également de mélancolie.
Un musical à voir pour réécouter de belles chansons comme Where or When, The Lady is a Tramp; Manhattan et tant d'autres.
La vie de Lorenz Hart était une chanson. Une chanson qui nous trotte dans l'oreille même après la fin du film.

Song(s) cultes du film



I wish I were in love again by Judy Garland & Mickey Rooney



Johnny One Note by Judy Garland (regarder bien, la ceinture à disparue!)



Manhattan by Mickey Rooney, Marshall Thompson & Tom Drake (doublé par Bill Lee)



The Lady is a Tramp by Lena Horne



Blue Moon by Mel Tormé (triste mais tellement belle).

lundi 18 juillet 2011

Un printemps à River Falls


Résumé: Sarah Kent, issue d'une famille modeste, est une étudiante modèle qui mène une vie paisible, parmi l'élite de l'université de River Falls, une petite ville des Rocheuses. Pourtant tout va changer, un matin de printemps, quand Amy Paich et Lucy Barton, ses deux meilleures amies des années de lycée, sont retrouvées atrocement mutilées dans la forêt toute proche. Or, deux jours auparavant, Sarah avait reçu une lettre, plutôt étrange, de Lucy et Amy... Le monde de Sarah bascule dans l'horreur. Sera-t-elle la prochaine victime du tueur ? Le shérif Mike Logan, aidé de Jessica Hurley, son ex-petite amie, une profileuse réputée, est chargé de l'enquête. Tous deux croient très vite être sur la bonne piste. Mais ils ignorent que leur adversaire les manipule avec une redoutable perversité...

Voilà un bon petit polar, idéal pour l'été, et pour ceux qui ne veulent pas se prendre la tête.
Bon, je vais être honnête, ce n'est pas le policier du siècle et j'ai trouvé ce roman bourré de clichés sur le shérif au grand coeur, la profileuse qui comprend tout mais qui a des réactions parfois idiotes devant certaines situations (Je vous aurai bien donné un exemple mais j'ai peur de déflorer l'intrigue donc je m'abstiens), le flic qui veut jouer les héros et qui est prêt à toutes les bassesses pour ça (qu'est ce que j'ai pu le détester ce Clark Spike!).
En fait, je trouve que les personnages sont un peu caricaturaux et déjà vu.
Mis à part ça, j'ai été captivé par ce polar que j'ai rarement lâché, voulant avoir le fin mot de l'histoire. Certes, j'avais deviné le meurtrier mais je ne m'attendais pas à lire une dernière partie qui m'a fait frissonner au plus haut point.

L'une des scènes que je retiendrai et qui fut la plus palpitante pour moi, fut celle de la course poursuite en voitures (comme les américains en voient souvent à la télé, en en faisant un véritable show télévisé): j'ai tourné les pages à une vitesse, pris par l'action et voulant savoir comment cette course poursuite allait se terminer.

J'ai passé un bon moment avec ce polar et malgré mes réserves sur le style de l'auteur que j'ai trouvé un peu simple et bourré de clichés jusque dans les dialogues qui parfois sonnent creux et un peu téléphonés. En fait, c'est un roman écrit à l'américaine, qui lorgne un peu vers Twin Peaks (j'ai dit un peu. Et je dis surtout ça car cela se passe dans le même état que Twin Peaks (à savoir l'Etat de Washington) et dans une petite ville similaire avec les meurtres de jeunes filles qui ont un passé trouble. Ben en fait,je me rend compte en écrivant cela qu'il y a des similitudes. Mais Twin Peaks, c'est quand même autre chose hein). Vous l'aurez compris, ce n'est pas du Ellroy, ni même du David Lynch.

En conclusion, c'est juste un bon petit polar qui se lit rapidement et facilement. Un bon page-turner idéal pour l'été et que j'ai apprécié. Et je compte lire les suites qui se trouvent dans ma PAL. En espérant que le passé de Logan sera un peu plus fouillé et que cela donnera un peu plus de corps au personnage. Tiens, d'ailleurs, je n'ai pas parlé de la relation entre Logan et Hurley, la fameuse profileuse de Seattle qui vient donner un coup de main à Logan, en débarquant à River Falls; tout simplement parce qu'elle ne m'a pas intéressé plus que ça. Une histoire classique, déjà vu dans des séries ou des romans.
En me relisant, je donne l'impression de descendre le livre, alors que tel n'était pas mon intention. Je voulais juste dire que malgré ses défauts, c'est un bon polar, qu'il faut prendre pour ce qu'il est: un bon divertissement. Parfois, je n'en demande pas plus. Surtout l'été.

Alexis Aubenque: 7 jours à River Falls, Calmann-Lévy, 373 pages, 2008

dimanche 17 juillet 2011

Descente en Librairie

Heureusement, pour ma PAL, les vacances se terminent demain car j'ai encore beaucoup acheté cette semaine. Pas moins de 12 livres (!)



Cette semaine, je suis allé à La Rochelle quelques jours et j'en ai profité pour aller découvrir les librairies de la ville. Et à la librairie Calligrammes , (qui a une petite soeur Callimages , qui est la section Jeunesse de cette librairie, qui se trouve dans la même rue mais pas au même numéro), j'ai acheté:

Apparitions Tome 2: N.M. Zimmermann (parce que je lisais le premier tome à ce moment là et qu'il me fallait le 2e à portée de main. Même si je ne le lis pas tout de suite)
L'innocence: Tracy Chevalier (il y avait plusieurs roman de cet auteur, mais mon choix s'est porté sur celui ci car le résumé me plaisait mais surtout, c'est un roman que je ne voyais pas dans mes librairies habituelles).
Bienvenue au Club: Jonathan Coe (il était sur ma LAL depuis un petit moment celui là)
Beach Music: Pat Conroy (pour retrouver cette plume qui m'a bouleversé dans Le Prince des marées. et la couverture est magnifique.)
Hôtel des adieux: Brad Kessler (pour la couverture)
La Bonté, mode d'emploi: Nick Hornby (j'ai profité de l'opération 2 achetés, 1 offert. En fait, je suis arrivé à la caisse avec tous mes livres et sans le faire exprès, j'avais 2 folio. Le libraire m'a alors proposé de choisir un livre dans un large choix, car toutes éditions confondues. Normalement, quand on achète 2 folio, on a folio offert. Là, j'ai eu le choix dans toutes les éditions et le seul qui m'ait intéressé, c'est celui de Nick Hornby. Il faut dire aussi que j'avais déjà profité de l'opération plusieurs fois, ces dernières semaines et que ce sont les même livres en cadeau qui reviennent, ce qui fait un choix plus restreint).
L'île sous la mer: Isabel Allende (pour découvrir l'auteur et le résumé me plaisait beaucoup.)

De plus, ils m'ont offert deux jolis MP qui viennent compléter ma collection.




Puis hier, je suis allé dans ma librairie habituelle et j'en suis ressorti avec:

Succubus Blues & Succubus Nights: Richelle Mead (Je voulais lire cette saga bit Lit depuis un moment et j'ai profité qu'elle soit (enfin!) sorti en poche chez Milady).
Le feu de la sorcière (Les Bannis et les Proscrits Tome 1): James Clemens (pour 2 Milady acheté, j'avais celui là offert (enfin, c'est celui que j'ai choisi). Ça tombe bien, je voulais découvrir cette saga dont j'entends beaucoup de bien.)
Un Noël à River Falls: Alexis Aubenque (car je suis en train de lire le 1er tome; car c'est le seul tome qui me manquait, car il était à 7€60 (au lieu de 18€90)
Ce que savait Maisie: Henry James (Enfin, j'ai ce livre que je cherche depuis des semaines. Dès que j'ai vu cet exemplaire (qui était le seul dans la librairie),je me suis jeté dessus et je ne l'ai plus lâché).

Il ne me reste plus qu'à les ranger. Et à les lire bien entendu.

Album du dimanche #16: De Palmas: Sortir

Ce dimanche, j'ai eu envie de retrouver un chanteur, que j'apprécie depuis plus de dix ans, avec son dernier album.



Pour l'écouter, c'est par là: De Palmas: Sortir

Quelques vidéos:


Gérald De Palmas - Au bord de l'eau par Gerald-De-Palmas

Au Bord de l'eau


Gérald De Palmas - Dans Une Larme (Clip Officiel) par wonderful-life1989

Dans une larme


Gérald De Palmas : Mon coeur ne bat plus (2010) par tartenpion333

Mon coeur ne bat plus



Qui s'occupe d'elle (ma préférée)



Pandora's Box avec Eagle Eye Cherry (version accoustique)

Bonne écoute!

samedi 16 juillet 2011

SLC #1: Sylvie Vartan



La première a inaugurer cette nouvelle rubrique musicale est Sylvie Vartan.

Sylvie Vartan est née le 15 août 1944 a Iskretz (Bulgarie).
Elle est entré dans le monde de la musique par l'intermédiaire de son frère Eddie,musicien. Son frère lui propose d'enregistrer un duo avec Frankie Jordan en 1961 qui s'intitule Panne d'essence, après le désistement d'une chanteuse. Ce premier succès lui permet de commencer une carrière solo avec un premier 45 tours: Quand le film est triste à la fin de l'année 1961.

Elle participe le 22 juin 1963 au concert place de la Nation, organisé par Europe1 pour les un an de l'émission Salut les Copains qui fit grand bruit.
Elle partage l'affiche de l'Olympia avec Trini Lopez et les Beatles en 1964.

Depuis les années 60, elle mène une belle carrière tant en France qu'aux Etats Unis avec des concerts qui sont de véritables shows, à l'américaine.

Le 12 avril 1965, elle épouse Jean-Philippe Smet a Loconville. Un an plus tard naît David, leur fils. Le couple se sépare en 1980. Elle est également la tante de l'acteur Michael Vartan (vu dans la série "Alias"), fils de son frère Eddie.

La chanson que j'ai choisi pour accompagner ce billet est l'une de ses premières chansons: Tous mes copains, écrite par Jean-Jacques Debout.



Bonne écoute!

jeudi 14 juillet 2011

Dans un manoir anglais


Résumé: Encore un nouveau lycée pour Peter, renvoyé des trois précédents. Cette fois-ci, ce sera le pensionnat St Gabriel, au fin fond du comté de Whiteborough.

Peter est toujours accompagné de sa sœur jumelle Maya – qui est aussi…un fantôme, puisqu’elle est morte depuis neuf ans ! Seul Peter, grâce à ses dons de médium, peut percevoir sa présence et converser avec elle.

Pour une fois, Peter aimerait bien ne pas se faire remarquer. C’est sans compter l’apparition d’un esprit qui annonce une mort prochaine…


Un manoir anglais transformé en pensionnat pour garçons, des réunions secrètes dans les cachots du dit manoir, des professeurs inquiétants et des élèves tout aussi mystérieux, avec une touche de paranormal par la présence du joli et espiègle fantôme Maya, la soeur de Peter. Voilà ce qui nous est proposé dans Apparitions, et voilà ce qui m'a attiré vers ce roman jeunesse.
Au départ, je pensais que ce roman était purement fantastique mais il n'en ai rien. Malgré le don de Peter et le fait qu'il parle avec le fantôme de sa soeur jumelle, morte à l'âge de 6 ans (Peter a maintenant 14-15 ans), c'est plus un roman à intrigue policière comme les anglais aiment nous en raconter depuis des siècles que N.M. Zimmermann, qui est une jeune auteur française, propose au lecteur.

Je savais que ce roman allait me plaire, mais je ne pensais pas qu'il allait autant me captiver au point que je n'ai pratiquement pas pu le lâcher. J'en ai lu une bonne partie hier dans le train qui m'emmenait à la Rochelle. Avec un style simple et efficace, l’auteur va à l'essentiel et parsème son roman d'indices qu'on ne voit pas forcément tout de suite, mais qu'on comprend dès que les pièces du puzzle se mettent en place. On se retrouve dans ce pensionnat et on se prend d'amitié pour le pauvre Peter, qui devient le souffre-douleur de Tyler Matheson. Pas facile d'être nouveau dans un pensionnat, surtout quand on parle tout seul. J'ai été très proche de Peter, comprenant ce qu'il vit dans ce pensionnat. De plus, il comprend que ses parents, qui n'ont pas fait le deuil de leur fille, se sont débarrassé de lui. Il faut dire que Peter enchaine les lycées depuis quelques années, tombant dans des embrouilles qu'il cherche à fuir à tout prix.
Maya est un personnage qui m'a fait sourire mais qui m'a aussi beaucoup touché. J'ai aimé la relation qu'elle a avec son frère, essayant de le bousculer quelquefois mais surtout de le protéger en ne lui disant pas ce qu'elle vit la nuit: la perpétuelle crainte que le croque-mitaine vienne la chercher.

Ce roman jeunesse passionnant parle également du deuil et de ce fameux "travail" de deuil, que ce soit du point de vue des parents de Peter, qui ont perdu leur enfant préféré, d'après Peter, et qui rendent leur fils responsable de sa mort, ou de Maya qui fuit le croque-mitaine pour qu'il ne l'emmène pas avec lui. Grâce à Peter, Maya reste sur terre où elle se sent bien et où elle "grandit": elle a d'ailleurs le même âge que son frère dans le roman.
Le roman parle également des affres et des questionnements de l'adolescence: le fait que Peter n'arrive pas à s'intégrer du fait de sa "différence" et de la réputation qui le précède: il aurait été renvoyé de son ancien lycée après avoir provoqué la mort d'une élève. Les premiers émois amoureux que connaît Maya: ben quoi, c'est pas parce qu'elle est un fantôme qu'elle ne peut pas aimer.

Je pensais que ce premier tome allait nous laisser avec un cliffhanger insoutenable, si bien qu'hier, j'ai acheté le 2e tome, sorti la semaine dernière, pour ne pas me sentir frustré par l'attente de ne pas savoir la suite, mais il n'en est rien. Le roman trouve une conclusion acceptable et pourrait se suffire à lui même. Certes, il reste toujours des questions en suspens sur l'affaire Miller pour laquelle Peter avait été renvoyé de son ancien lycée,(qui je l'espère seront élucidées dans les prochains tomes)et sur le don de Peter.

En conclusion, une très belle découverte jeunesse (mais que les adultes peuvent lire avec un grand plaisir) qui nous emmène dans le sud de l'Angleterre à la rencontre de jumeaux attachants qu'on a un peu de mal à quitter dès la dernière page tournée. Heureusement que j'ai le 2e tome qui m'attend dans ma PAL. Je vous encourage à faire la connaissance de Peter et de Maya. Ouvrez la porte de St Gabriel, vous ne le regretterez pas.

N.M. Zimmermann: Apparitions (Tome 1: Le couloir des esprits), Nathan, 436 pages, 2010

lundi 11 juillet 2011

Kay vs Carrie


Résumé: Cette intrigue met en scène un serial killer pervers qui brûle ses victimes pour effacer tout indice possible de ses meurtres. Personne ne comprend bien comment il fait partir ces feux. Kay Scarpetta s'investit avec tout son sérieux et tout son ressort dans cette enquête jusqu'à ce qu'elle apprenne l'évasion de son ennemie mortelle de l'asile où elle avait contribué à la faire enfermer. Cette dernière, personnage apparu précédemment dans le roman La séquence des corps, est une psychopathe résolue à se venger de Kay et de Lucy. Très vite, la question se pose: et si ces deux tueurs étaient liés? Dès lors, les investigations de Kay Scarpetta prennent un tour beaucoup plus personnel. L'angoisse monte et le suspense retient le lecteur d'un bout à l'autre de l'affaire.

ATTENTION SPOILIERS:Je préfère prévenir avant que vous ne commenciez à lire le billet: je risque de donner quelques spoiliers sur les livres précédents de Patricia Cornwell: "La Séquence des Corps"; "Une mort sans nom" (là, je vais surement dévoiler la fin du roman) et "Mordoc". Donc, si vous ne voulez pas savoir, ne lisez pas ce qui suit.

Lire un "Scarpetta" (du nom de l'héroïne inventée par Patricia Cornwell), c'est retrouver des personnages familier et que je suis depuis des années.
Ce roman ci, le 9e de la série des "Kay Scarpetta" est très lié aux précédents livres (encore plus que les autres). On y retrouve Kay, rattrapée par son passé quand elle reçoit une lettre de Carrie Grethen, son ennemie jurée, rencontrée dans La Séquence des Corps, 5e tome de la série.

J'ai adoré ce roman,et je pense que c'est en partie grâce à Carrie Grethen, cette psychopathe que Scarpetta a fait enfermé dans une prison psychiatrique à la fin d'"Une mort sans nom". Carrie est un peu la nemesis de Scarpetta et de Lucy,la nièce de Kay. Elle est souvent nommé dans les tomes précédents.
Le plus étrange, c'est qu'elle prend une part importante dans Combustion sans être présente physiquement. Ce qui ne l'empêchera pas de faire de la vie de Kay un enfer.

Ce 9e roman de la série fait le lien avec une enquête évoquée dans Mordoc que l'auteur avait laissé en suspens. Je m'étais même demandé, il y a un an si l'enquête allait être reprise dans celui ci et c'est le cas.

Ce roman est aussi bien que les précédents: bien rythmé, mais également bien documenté sur cette fois ci, les incendies criminels. Dès les premières pages, j'ai été happé et je n'ai pratiquement pas pu lâcher le livre. Les sentiments de Kay sont mis à rude épreuve et j'ai été ému par le sort fait à l'un des personnages...mais chut.

J'aurai juste un petit bémol par la fin du chapitre 24: j'aurai tant aimé avoir une confrontation entre Kay et Carrie, plutôt que cette fin certes rythmée et qui nous tient en haleine mais qui nous évite le face à face entre Scarpetta et sa nemesis. Dommage. Mais peut être que Carrie refera surface pour un nouvel affrontement. Qui sait.

FIN DES SPOILIERS

En conclusion: un très bon polar ,dans la veine des premiers, qui m'a fait passer un très bon moment et où je ne me suis pas ennuyé une minute. Par contre, si vous voulez découvrir les romans de Cornwell concernant Scarpetta, je vous conseillerai de commencer par le 1er: Postmortem. Ce Combustion est a réserver aux lecteurs qui ont déjà lu les tomes précédents et surtout: Une peine d'exception, La Séquence des Corps, Une mort sans nom et Mordoc, tous évoqué dans ce tome là.

Patricia Cornwell: Combustion (Point Of Origin), Le Livre de Poche, 447 pages, 1999

dimanche 10 juillet 2011

SLC Salut les Copains

Lundi, France3 va diffuser le premier volet d'un documentaire intitulé "Salut les Copains" sur cette belle période que fut les Sixties. J'ai toujours aimé la musique des sixties: il faut dire que j'ai été bercé toute mon enfance par Claude François, Les Chaussettes Noires, Johnny Hallyday, Sheila, Sylvie Vartan et bien d'autres.(La musique qu'écoutait mes parents. Mes chers parents qui m'avaient donné tous leurs vinyles quand j'ai eu ma première chaine à 10 ans. Que du bonheur!

En début de semaine, j'ai décidé de créer une nouvelle rubrique musicale: SLC. Je pense que vous connaissez tous cette photo mythique de Jean-Marie Perier qui eut la tache de réunir toutes les vedettes de l'époque pour les immortaliser sur pellicule.



Chaque semaine de l'été, je vous ferai (re)découvrir une chanson d'un chanteur ou d'une chanteuse qui est sur la photo.
Bien entendu, je continuerai peut être à la rentrée si cette nouvelle rubrique vous plait.

J'ai décidé de commencer cette rubrique, non pas par Sylvie Vartan ou Johnny (ça ce sera dans les prochaines semaines) mais par le générique de l'émission Salut les Copains qui fut diffusée pour la première fois sur Europe 1 le 19 octobre 1959.

SLC: Salut les Copains: Générique


Salut les copains par PATDEVER

Bonne écoute!

Album du dimanche #15: BOF: Good Morning England

Ce dimanche, j'ai voulu écouter des tubes sixties et je suis tombé sur cette BOF, que j'adore!



Je n'ai pas encore vu le film, qui devrait pourtant me plaire, mais je compte me rattraper un jour, c'est sûr!

Pour l'écouter, c'est ici: BOF: Good Morning England

Quelques vidéos:



Caroline: The Fortunes



Dancing in the streets: Martha & the Vandellas



The letter: The Box Tops



Let's dance: David Bowie

Et il y en a tant d'autres que c'est impossible de toutes vous les mettre. C'est une BO idéale pour tous les fans des sixties.

Bonne écoute!

samedi 9 juillet 2011

Au coin des bonnes affaires

Bon, je suis en vacances et ça se remarque au fait que ma PAL grossit à vue d'oeil. Pas moins de 17 livres ont rejoint ma PAl cette semaine. Oui, oui, j'ai bien dit 17 livres.
La bonne nouvelle, c'est que ce n'est que de l'occasion.
Je suppose que vous voulez voir ce que j'ai rapporté dans ma PAL. Il n'y a qu'à demander.



D'abord les grands formats:

Un automne à River Falls: Alexis Aubenque
La fille du Pasteur Cullen Tome 1 (les 2 Volumes): Sonia Marmen (Je pensais, comme tout le monde je suppose que c'était deux tomes différents. Que nenni. Ce n'est que le 1er tome qui a été coupé en 2 volumes. Ah ce que ça m'énerve, cette manie des éditeurs français de couper un roman en deux volumes pour faire plus de fric. Ce qui fait que la Trilogie initiale (dont le 2e tome est sortie dernièrement en France mais qui est chez nous le Tome3) sera une Quadrilogie chez nous).
Le professeur de piano: Janice Y.K. Lee
L'égale des autres: Laura Moriarty
Rosa Candida: Audur Ava Olafsdottir



Un mariage en héritage: Ayelet Waldman (Ce livre n'est pas sur la photo car je l'avais complètement oublié. Et comme je n'avais pas envie de refaire une photo, voilà quoi.)

Passons aux poches:



On s'est déjà vu quelque part?: Nuala O'Faolain
Maitre à bord: Patrick O'Brian
Le club des philosophes amateurs: Alexander McCall Smith
Amis, amants, chocolats: Alexander McCall Smith
Autobiographie de Miss Jane Pittman: Ernest J. Gaines
Tout peut arriver: Jonathan Tropper (J'adore la cover, soit dit en passant, celle avec les dés rouges)
Le coeur en dehors: Samuel Benchetrit
L'homme au ventre de plomb: Jean-François Parot
Un appartement à New York: Jane Smiley
Cartoon: Marshall Karp

Tout ces jolis petits livres vont essayer de se trouver une place dans mon petit chez-moi.
Mais il faut vraiment que je me calme là. Vite, que quelqu'un m'arrête car ce n'est plus possible. Help! I Need somebody!

jeudi 7 juillet 2011

Le Passage


Résumé: Années 2010. Dans le Tennessee, Amy, une enfant abandonnée de six ans est recueillie dans un couvent... Dans la jungle bolivienne, l'armée américaine recherche les membres d'une expédition atteints d'un mystérieux virus... Au Texas, deux agents du FBI persuadent un condamné à mort de contribuer à une expérience scientifique gouvernementale. Lui et les autres condamnés à la peine capitale participant au projet mutent et développent une force physique extraordinaire. Les deux agents du FBI sont alors chargés d'enlever une enfant, Amy. Peu après que le virus a été inoculé à cette dernière, les mutants attaquent le centre de recherches...

Je n'ai pas boudé mon plaisir en lisant le roman de Justin Cronin. J'ai passé des moments formidables où j'ai tremblé, espéré, eu peur et été plein d'espoir pour tous ces personnages qui m'ont accompagné pendant dix jours. Je n'en reviens même pas: dix jours pour lire ce roman de plus de 900 pages, je m'étonne moi même de l'avoir lu aussi vite.
Pourtant, ce n'était pas gagné: même si le début est intéressant, j'ai eu du mal à rentrer dans le roman. Trop de personnages faisaient leur entrée, et on passait d'un personnage à un autre, si bien que j'avais du mal à m'y retrouver. Puis, surtout, la mise en place fut longue et lente. Il a fallu attendre plus de 250 pages avant que n'arrive l'attaque et près de 350 pages pour voir venir les personnages comme Peter, Alicia, Sara, Michael, Hollis et consorts, qui vont nous accompagner jusqu'à la fin et que je considère comme les personnages principaux. Certes, il y a Amy, qui apparait depuis le début du roman, mais elle n'est pour moi qu'un personnage secondaire malgré son importance dans la suite de l'histoire.Le personnage principal reste, pour moi, Peter et lui n'apparait qu'à partir de la 4e partie du roman, à la page 345. C'est ce que j'appelle une longue mise en place.

Pendant les 2 premières parties du livre, je me suis attaché à des personnages comme Wolgast, l'agent du FBI qui travaille pour l'armée sur le projet Noë, Lacey, la religieuse qui prend soin d'Amy quand la mère de cette dernière l'abandonne, ou Carter, ce condamné à mort qui va rentrer dans le projet Noë, qui vont disparaitre à la fin de la 2e partie. La troisième partie débute 92 ans plus tard. Il y a alors eu une deuxième mise en place avec des nouveaux personnages auquel il a fallu se familiariser ainsi qu'un nouveau monde. Cette double mise en place explique peut être que j'ai lu le début du roman un peu au ralenti. Ensuite, l'action se met en place et je n'ai pas pu le lâcher avant la fin.

Justin Cronin met en place un monde complexe et intriguant qu'il maîtrise de bout en bout. La mise en place est certes longue mais elle est nécessaire pour mettre tous les pions en place pour la suite. Bon, je n'aime pas faire de comparaison, mais là, en lisant "Le Passage", j'ai tout de suite pensé au "Fléau" de Stephen King. (Cela n'a d'ailleurs pas été une surprise de voir le nom de Stephen King sur la 4e de couverture nous disant qu'il avait adoré ce livre) C'est la même longue mise en place d'un monde dévasté où une poignée d'humain part à la recherche d'un endroit pour sauver l'humanité. Tout de même la comparaison s'arrête là.

Mis a part ça, j'ai beaucoup aimé ce roman, idéal pour l'été où l'on préfère lire des choses palpitantes et qui nous emporte au loin. Avec ce livre vous serez servi. Vous vous embarquerez pour un univers apocalyptique . J'ai tremblé devant le destin d'Amy, de Peter ou de Sara. Je me suis surpris à tourner les pages beaucoup plus vite à mesure que j'avançais dans l'histoire: j'avais envie de savoir ce qui allait se passer.
Ce qui est bien également, c'est que Justin Cronin n'abandonne pas ses personnages sur le bord de la route. Quand le groupe commence à se séparer, comme Théo et Mausami qui décide de rester à la ferme au lieu de continuer le voyage, l'auteur continue tout de même à nous raconter des bribes de leur vie.

En fait, le plus frustrant, c'est que je reste sur ma faim, même après 967 pages. Pourtant, je le savais depuis le début que c'était le 1er tome d'une trilogie (ce qui explique surement la longue mise en place) mais j'ai été frustré de ne pas savoir ce qui va arriver à Peter, Sara, Alicia, Amy et tous les autres..surtout devant ce final qui nous laisse dans le doute et plein de questionnement encore en suspens. Alors M. Cronin, vite, la suite.

Je remercie George, chez qui j' ai gagné ce Passage, en partenariat avec les Éditions Robert Laffont.

Justin Cronin: Le Passage (The Passage), Robert Laffont, 967 pages, 2011

dimanche 3 juillet 2011

Voilà, la Saison 2 de Slow qui tue, c'est fini

Le slow qui tue de la semaine est de circonstance:

Jean-Louis Aubert: Voilà, c'est fini


Jean-Louis Aubert - Voilà c'est fini par vodka33

Ce slow vient clore une saison 2 qui,je l'espère, vous aura plu.

La rubrique du Slow qui tue va prendre quelques vacances, et peut être qu'elle reviendra en septembre...ou peut être pas. Je ne sais pas encore si je vais continuer cette rubrique à la rentrée.
Avant de clore cette saison 2, je voudrais tout de même savoir ce que vous avez pensé du choix des slows de cette saison. Mais surtout, j'aimerai savoir: seriez-vous partant pour une Saison 3 des Slow qui tue?

Sur ce, je vous souhaite, comme d'habitude une
Bonne écoute!

vendredi 1 juillet 2011

Une saveur d'enfance




Synopsis: Abandonnée par le père de ses enfants, Claire, enceinte, confie son fils aîné Louis à un couple d'amis Marcelle et Pelo. Le petit Parisien doit apprendre à se familiariser avec l'ambiance de la campagne et l'atmosphère étrange qu'il règne dans le foyer du couple qu'un lourd secret sépare depuis des années. L'arrivée du petit garçon sera pour eux un nouveau départ. (Source Allociné)

Il y a des films qui vous rappellent votre enfance: ces vacances passées à la campagne dans la famille, la découverte d'un monde qu'on ne connait pas, nous, les petits urbains. Ce Grand Chemin évoque tout ça pour moi. Je me retrouve dans le personnage du petit Louis. Comme lui, je ne voulais pas aller en vacances seul chez ma grand-mère (évidemment je pleurais à chaudes larmes).
Quand le film est sorti, j'avais le même âge que Louis, le petit parisien qui va en vacances chez Marcelle et Pelot. Je voyais ce film avec mes yeux d'enfant.
Les années ont passées et je revois toujours ce film avec nostalgie mais en comprenant la douleur de Marcelle et Pelot. J'ai grandit.Ce film réveille toujours en moi des souvenirs. C'est un peu ma petite madeleine.
Je ne peux pas m'empêcher de pleurer devant la souffrance de ce couple en pleine rupture depuis la mort de leur bébé. La scène la plus douloureuse est sans nul doute cette dispute violente dans la chambre du bébé. Cette pièce qui reste constamment fermée et qu'on a laissé en l'état, comme une blessure qui ne se referme pas.
Pour les Lucas, l'arrivée de Louis va raviver cette blessure mais il va aussi permettre de les rapprocher. Au contact de cet enfant, dont ils voudront avoir l'affection, ils vont réussir à être réuni, même si ces retrouvailles se feront dans la tristesse après le départ de Louis.

Richard Bohringer et Anémone forment un couple beau, déchirant, douloureux. Leurs deux fort caractères s'opposent dans cette histoire belle à pleurer, ou les blessures ont du mal à cicatriser. Ce n'est que justice qu'ils aient reçu les césars de la meilleure actrice et du meilleur acteur en 1987.
L'autre duo du film: celui de Louis et Martine est une bouffée d'air frais: ils sont espiègles, prêt à faire les 400 coups, comme tous les gosses de leur âge. Les scènes que je retiendrai de ce duo, c'est celle sur le toit de l'église: (et surtout la deuxième, quand Louis tombe du toit pour atterrir dans la gouttière). Elles m'ont impressionnées quand j'étais gamin et elles me font le même effet, même maintenant. Normal, j'ai le vertige, alors les voir sur le toit d'une église: oh my.

J'ai pourtant vu ce film plusieurs fois mais je ne m'en lasse pas. C'est un petit morceau d'enfance qui se rappelle à ma mémoire et qui m'émeut toujours autant. C'est simple, beau, douloureux, merveilleux...comme les souvenirs que l'on garde en nous. Chacun d'entre nous a sûrement connu son "Grand Chemin" en étant ce petit Louis qui découvrait un monde qu'il ne connaissait pas, le temps d'un été... une saveur d'enfance qu'on retrouve dans l'air de nos souvenirs et qui revient entrouvrir notre mémoire.

Et comme le dit si bien l'affiche du film: Le bonheur est dans le Pré...cours y vite!


LE GRAND CHEMIN par flachfilm

Mes lectures du mois de Juin 2011



Au mois de juin, je reste dans une moyenne de 6 livres lus.


Un thriller de bonne facture d'un de mes auteurs favoris.


Un roman qui m'a emporté dans une déferlante de secrets et de mystères.


Un petit bijou qui m'a donné envie de découvrir Guernesey


Une chatte sur un toit brûlant: j'ai retrouvé cette pièce avec grand plaisir.



Un bon Hornby, qui m'a pourtant un petit peu déçu par moment. Cela arrive même avec les auteurs qu'on apprécie.


Ce petit classique pour finir le mois.

En conclusion : Pas de coup de coeur ce mois ci mais de bons romans qui m'ont fait passer de très jolis moments. Un petit plus tout de même pour le Roman de Miss Shaeffer: son cercle littéraire fut un petit délice.

6 livres lus pour un total de 1703 pages

Au mois prochain pour le bilan du mois de Juillet 2011