4e de couverture: Harry Potter est orphelin. Il mène une vie bien monotone, chez son oncle et sa tante et leur horrible fils. Le jour de ses onze ans, son existence bascule : un géant vient le chercher pour l'emmener dans une école de sorciers où une place l'attend depuis toujours. Quel mystère entoure sa naissance? Et qui est l'effroyable mage dont personne n'aime prononcer le nom? Harry intègre le collège Poudlard et s'y plaît aussitôt. Voler à cheval sur des balais, jeter des sorts, devenir champion de quidditch (une sorte de football pour sorciers), combattre les trolls : Harry Potter se révèle un sorcier vraiment doué. Il semble pourtant que tout le monde ne l'apprécie pas…
L'une de mes premières résolutions de l'année, en ce qui concerne la lecture: lire le 7e et dernier tome de la saga "Harry Potter" afin de savoir (enfin!) comment ça se termine. (eh oui, j'ai réussi à ne jamais savoir la fin d'Harry Potter).
Mais, avant de lire ce fameux dernier tome, il me faut relire les 6 premiers pour me remettre l'histoire en tête, avec les détails, (car les grandes lignes, je les ai en mémoire). Alors, j'aurai pu faire ce rappel en regardant les films, mais les fameux détails ne sont pas forcément dans les films (même si le premier est fidèle au premier tome).
Alors, je ne suis pas un relecteur, loin s'en faut. Je trouve qu'il y a assez de livres à lire pour ne pas "perdre du temps" à relire. Pourtant, avec l'expérience de cette relecture d'Harry Potter, j'ai peut être tort.
Oui, j'ai adoré relire ce premier tome. Me replonger dans cet univers que J.K. Rowling à su mettre en place de façon magistral. Tous les moindres détails de l'univers sont mis en place (et encore, il y en aura d'autres dans les tomes suivants). Ce fut un régal de revoir les prémices de l'amitié entre Harry et Ron, puis avec Hermione. De faire la découverte de Poudlard, avec des yeux émerveillés, comme Harry.
Le fait de savoir dès le départ qui est le complice de Vous Savez Qui (alias Voldemort (ouep, même pas peur de lui au point d'écrire son nom), fait qu'on remarque des détails et des subtilités qu'on n'avait pas remarqué à la première lecture. En fait, c'est ça l'un des plaisirs de la relecture. Remarquer des choses qu'on avait pas vu, totalement focalisé sur la résolution de l'énigme.
Je voudrais tout de même tirer mon chapeau à Jean-François Ménard, qui a fait un travail admirable sur la traduction des noms de certains personnages, et des termes magiques que J.K. Rowling à inventé, comme les Moldus, le Miroir du Riséd... C'est grâce à lui si, en France, cet univers magique est accessible à tous les enfants, sans oublier les adultes.
Bon, en revanche, je pense que J.K. Rowling a introduit, dans ce premier tome, un gros spoiler sur son autre saga "Les Animaux Fantastiques" en ce qui concerne le personnage de Grindewald. Mais, en même temps, elle ne pouvait pas savoir, il y a 20 ans, que devant le succès de sa saga "Harry Potter", elle allait étendre l'univers en faisait un préquel.
Mais cette révélation n'est peut être pas la finalité de sa 2e saga cinématographique.
Au final, une relecture qui m'a fait un bien fou. J'ai été ravi de revenir dans l'univers fabuleux d'Harry Potter. J.K. Rowling a eu l'art et la manière de développer son univers magique, comme une pro, et Jean-François Ménard, le traducteur, à permis à cette saga de voir le jour dans notre beau pays. Vivement le mois prochain pour (re)lire le 2e tome de la saga.
J.K. Rowling: Harry Potter à l'école des sorciers, (Harry Potter & the Philosopher's Stone), Folio Junior, 302 pages, 1998
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