dimanche 30 novembre 2014

Slow Qui Tue #211: Il me dit que je suis belle

le slow qui tue de la semaine fait une déclaration de toute beauté.

Patricia Kaas: Il me dit que je suis belle


Bonne écoute!


samedi 29 novembre 2014

Descente en librairie #50

Au mois de novembre, petit mois pour ma PAL qui n'a grossit que de 6 livres. Elle en est ravie.

15/11


Mon achat du trimestre à France Loisirs. Je ne savais pas quoi prendre avant de tomber sur ce livre. Un roman qui se déroule au XVIIIe siècle, dans le monde de l'Opéra. Un roman qui parle de musique ne pouvait que m'attirer.









(Acheté à France Loisirs)

19/11
L'année dernière, j'avais fait connaissance avec les Crèvecoeur, en lisant le premier tome "Edith". Celui ci m'avait plu, et j'avais envie de lire la suite. J'ai eu la chance de la recevoir, grâce à l'auteure, Antonia Medeiros, qui me l'a gentiment envoyé. Il me tarde de le lire.








(Reçu dans ma BAL)

20/11


Moi qui suis un inconditionnel de la saga "Game of Thrones, je ne pouvais qu'être attiré par ce guide, qui revient sur la saga de J.R.R. Martin. Après l'avoir feuilleté, je pense que je vais pouvoir en lire une bonne partie sans me spoiler sur la suite, puisque je n'ai lu que les 2 premiers tomes pour le moment.







(Reçu dans ma BAL)

21/11


Un petit roman au titre magnifique et au pitch intriguant. Il ne m'en fallait pas plus pour titiller ma curiosité. J'ai hâte de le découvrir.










(Reçu dans ma BAL)

"Le facteur sonne toujours deux fois"  (un roman de James M. Cain, qui a été adapté au cinéma) est un de mes films préférés. Ce roman inédit de James M. Cain, que les éditions Archipel, ont édité en août, nous plonge encore une fois dans l'ambiance des films noirs américains des années 50. Tout pour me plaire donc.








(Reçu dans ma BAL)

22/11


Il y a longtemps que je voulais ce livre, mais le prix me freinait toujours. Puis, surtout, c'est un livre en perpétuelle évolution, puisque les films récents s'ajoutent à chaque édition, et comme il ne faut garder que 1001 films, certains disparaissent, pour faire place aux petits nouveaux. Puis, surtout, pour l'édition française, (puisque ce livre a été mis en place par un américain), certains films français ont fait leur apparition, et parfois le choix des films était  plus que discutable (je me souviens que dans une édition, ils avaient ajouté "Bienvenue chez les ch'tis" (non mais sérieux quoi!. Ce film, malgré son succès, n'est pas un chef d'oeuvre qu'il faut absolument avoir vu).
Donc, ce livre à rejoint ma PAL grâce à mes "100 points France Loisirs". Sauf qu'avant de le choisir, je l'ai feuilleté pour voir si "Bienvenue chez les chtis" en faisait partie. Et oh joie! Oh bonheur! ils ont enlevé ce film de la sélection. Quel soulagement, je n'aurai pas à le regarder. (Car oui, je compte bien voir un jour tous les films sélectionné dans ce livre. Et le chemin va être long puisque j'en au vu à peine 100).
De plus, la couverture de cette édition est magnifique (Romy Schneider est l'une de mes actrices préférées). Dommage que le film, dont une photo sert de couverture au livre, ne fasse pas partie de la sélection. A moins qu'il m'ait échappé.

("Livre cadeau" à France Loisirs)

Au mois prochain pour les nouveaux arrivés dans ma PAL





mercredi 26 novembre 2014

"Une fenêtre ouverte" sur un monde musical

Ce soir, j'ai décidé de vous offrir un petit voyage musical qui, j'espère vous emportera loin.
Cela s'est passé lors d'une scène musicale, il y a quelques jours dans la ville où j'habite. J'ai été invité  à chanter une magnifique chanson, que je n'avais  pas prévue.
Une petite impro qui m'a complètement ravi.


11-21-2014_234813 Claudy par monbernard86

J'espère que le voyage vous ravira.

Bonne écoute!

mardi 25 novembre 2014

La Révolte (Hunger Games Tome 3)

4e de couverture: Contre toute attente, Katniss a survécu une seconde fois aux Hunger Games. Mais le Capitole crie vengeance. Katniss doit payer les humiliations qu'elle lui a fait subir. Et le président Snow a été très clair : Katniss n'est pas la seule à risquer sa vie. Sa famille, ses amis et tous les anciens habitants du district Douze sont visés par la colère sanglante du pouvoir. Pour sauver les siens, Katniss doit redevenir le geai moqueur, le symbole de la rébellion. Quel que soit le prix à payer. 

Risque de Spoilers sur les tomes précédents. 

Une page se tourne pour moi avec ce tome 3. Katniss et tout son petit monde m'auront accompagné pendant 3 ans, tremblant pour eux, me réjouissant parfois. 

J'ai trouvé ce tome 3 fort différent des deux autres. Fini les Hunger Games, place à la révolte et à la bataille. 
Avant de débuter ma lecture, j'avais un peu peur: beaucoup de bloggueuses/bloggeurs, qui ont lu ce tome 3, il y a déjà un moment avaient été déçu par lui, regrettant qu'il n'y ait pas d'action et que l'ennui était de mise. 
Pourtant, j'ai été capté dès le départ, retrouvant des personnages aimés ou détestés. J'ai trouvé très intéressant le début du roman: il est  vrai que l'action n'est pas présente mais les réflexions de Katniss sont très intéressantes. 
Le manque de rythme vient probablement que l'auteure doit nous présenter un nouvel univers (le District 13), de nouveaux personnages et de nouveaux enjeux. Il faut bien alors que le lecteur prennent le temps de tout comprendre avant de se lancer dans l'action. Mais malgré cette lenteur, j'ai eu du mal à lâcher mon livre et ce, dès le départ...alors je ne vous dis pas mon état en arrivant vers la fin du livre. 

Avant de parler de Katniss et Peeta (qui restent pour moi les personnages principaux d'Hunger Games), focalisons nous sur les nouveaux personnages et certains autres déjà présents dans les autres tomes mais peu développés. La chef du district 13, Coin, que j'ai trouvé antipathique, dès le départ. Tout comme Katniss, je n'ai pas pu la voir celle ci, me méfiant d'elle tout le temps. Puis, il y a la mère de Katniss, mais surtout Prim, sa soeur, qui a grandit plus vite qu'il ne faudrait et est déjà une "jeune femme" à 13 ans, aidant sa mère, en tant qu'infirmière au district. J'ai énormément apprécié ce personnage; Gale, qui prend du galon dans ce dernier tome, est un personnage à part entière du roman (et plus une ombre fugace dans le "triangle amoureux" (triangle amoureux souvent de mise dans les romans jeunesses est traité différemment ici et c'est une bonne chose car on évite certains atermoiements. Ouf). Je pensais que mon désintérêt pour ce personnage était dû au fait que ses apparitions étaient sommaire dans les tomes précédents. Je me suis aperçu, en lisant ce tome, que non: Gale est un personnage qui ne m'a pas plus intéressé ici. Haymitch est égal à lui même. Snow est pratiquement aux abonnés absent (cela est dû au fait que le roman est raconté par Katniss) mais fait une belle apparition finale qui va changer bien des choses. 
Maintenant, Katniss et Peeta: ces deux là m'ont légèrement déçus, mais pas de la même manière: Katniss change de comportement en devenant un peu arrogante, à son corps défendant, je dirais (si on ne lui répétait pas à longueur de temps qu'elle est indispensable et que sans elle, la rébellion ne serait rien, ses chevilles ne se seraient pas mis à enfler). Pour Peeta, la déception vient du fait qu'il est peu présent (et quand on sait que c'est mon personnage préféré, c'est frustrant), et ses apparitions n'ont pas arrêté de me faire trembler, le voyant changer du tout au tout. 

Mais Hunger Games, c'est aussi une belle réflexion sur la guerre, le pouvoir et l'espoir de paix. L'auteur nous démontre avec Hunger Games, que de tout temps, les humains n'arrêtent pas de faire la guerre, à un moment où à un autre. Même si "Hunger games" se déroule soit dans une univers parallèle ou dans un futur, il en deviendrai presque intemporel, par certains moments, en se rapprochant de notre réalité. Bluffant. 

J'ai été surpris par la fin rapide: le début est lent, mais normal ,il faut présenter au lecteur un nouvel univers. Mais la partie qui se déroule au Capitole est en fait peu développé, surtout le conflit entre les rebelles et les Pacificateurs du Capitole. J'aurai aimé qu'il y en ai plus et que l'auteur n'utilise pas le procédé de l'ellipse pour conclure cette bataille. 

Malgré ce petit bémol, j'ai encore une fois passé un très bon moment avec Katniss, Peeta,et tous les personnages de cette saga dystopique de fort belle qualité. Je peux même dire que c'est à regret que je dis au revoir à Katniss et Peeta, ainsi que tous les autres...mais ils ont bien mérité un peu de repos après toutes ces aventures. 

Suzanne Collins: Hunger Games: Tome 3: La révolte (The Hunger Games: Mockingjeay), France Loisirs, 418 pages, 2011





lundi 24 novembre 2014

Kabaret Kulturel: 5 ans déjà! + concours avec les Editions Belfond



Le mardi 24 novembre 2009, le Kabaret Kulturel ouvrait ses portes, timidement sur la toile.
Le lundi 24 novembre 2014, le petit Kabaret est toujours là et à bien grandi en faisant son petit bonhomme de chemin.
S'il est encore là, c'est grâce à vous, lecteurs (assidus, occasionnels ou de passage), qui continuez à me suivre. Je voulais simplement vous dire MERCI!


En Mars 2011, les Editions Belfond ont rejoint mon blog en tant que partenaire. Ce sont les premiers à m'avoir fait confiance et avec eux, j'ai fait de belles découvertes (et j'en fait encore). J'ai eu également des coups de coeur magnifiques grâce à certains de leurs livres en 4 ans de partenariat.

Pour fêter dignement les 5 ans  du blog, j'ai décidé (avec l'aide des éditions Belfond) de vous gâter.

Voici donc un petit Concours.


Concours "Coups de Coeur" (5 ans déjà)

L'année 2013-2014 a été jalonnée de coup de coeur livresques. Beaucoup de ces coups de coeur viennent de livres édités par les Editions Belfond. En accord avec les Editions Belfond, j'ai décidé de vous faire gagner un exemplaire d'un de mes "romans coup de coeur". 

Ils sont au nombre de 5 (le hasard fait bien les choses puisque le blog fête ses 5 ans!)

Les voici: 









Et comme c'est bientôt Noël, les Editions Belfond  ont décidé d'ajouter un livre "bonus", choisi dans la collection Belfond [Vintage] qui sera le compagnon de voyage "des livres coups de coeur". 

Pour pouvoir gagner: 

1 exemplaire du  "Parfum de ces livres que nous avons aimés"  de Will Schwalbe + 1 livre "Belfond [Vintage]". 

1 exemplaire de "Petites recettes de bonheur..." de Suzanne Hayes & Loretta Nyhan+ 1 livre "Belfond {Vintage]"

1 exemplaire de  "Le Lys de Brooklyn" de Betty Smith + 1 livre "Belfond [Vintage]"

1 exemplaire de "La vie rêvée des gens heureux" de Katrina Onstadt+ 1 livre "Belfond [Vintage]"

1 exemplaire de "Patience" de John Coates+ 1 livre "Belfond [Vintage]".



Rien de plus simple! Il suffit juste de répondre à cette petite question: 

Quel livre a marqué votre vie?

Ensuite, vous m'envoyez la réponse, (en m'expliquant, en quelques mots,  pourquoi ce livre et comment il a marqué votre vie) à cette adresse mail: 

will.kabaretkulturel@yahoo.fr

Vous avez jusqu'au samedi 6 décembre 2014, à minuit, pour participer.  

Un tirage au sort désignera les gagnants de chaque livres.

Les résultats seront donné la semaine suivante. 

Quand je vous disais que c'était Noël avant l'heure! 

Bonne chance à tous! 



A mon tour, de vous dire quel livre à marqué ma vie (et c'est difficile car  il n'y'en a pas qu'un. Un des livres qui fait partie des lots à gagner ("Le parfum de ces livres que nous avons aimés" de Will Schwalbe) est un livre qui  compte dans ma vie par exemple). Mais, si je ne devais n'en garder qu'un, ce serait: 

"Julian Corkle est un fieffé menteur": D.J. Connell

Ce roman de D.J. Connell a eu un effet miroir sur moi. J'ai eu l'impression que Diane avait écrit ce roman pour moi. je me suis retrouvé dans son petit héros qui me ressemblait beaucoup quand j'étais petit (jusqu'à certaines passions communes et conflits avec son père (à la différence que mon père n'est en rien le beauf fini qu'est le père de Julian). 
Ce roman m'a permit surtout de comprendre qu'il faut toujours croire en ses rêves. Il m'a aussi aidé  à m'accepter tel que je suis (j'avais déjà fait un grand pas vers cette acceptation, mais "Julian" à finit le travail) et que quelquefois les différences sont une force et qu'elle nous permette de nous démarquer du lot et d'avancer. Un roman qui est pour moi une belle leçon de vie. 



 Pour en revenir au Kabaret: l'aventure continue, bien sûr! Pourquoi s'arrêter en si bon chemin. 
C'est parti pour la 6e année! 



dimanche 23 novembre 2014

Slow Qui Tue #210: Chanson d'amour

Le slow qui tue de la semaine nous chante une belle chanson d'amour, de Manhattan.

Manhattan Transfer: Chanson d'amour


Bonne écoute!


samedi 22 novembre 2014

Jackie, une femme d'influence

4e de couverture: Disparue il y a vingt ans, Jackie Kennedy, icône de la mode construite à coups de photos volées et de couvertures de magazines, cache une autre réalité. La vraie Jacqueline est une femme d'influence, charismatique, intelligente et drôle. Cette personnalité hors du commun a marqué Khrouchtchev, de Gaulle, Malraux et bien d'autres. Malgré ce destin, elle a refusé d'écrire ses mémoires, ne révélant quasiment rien de son rôle à la White House. Si la First Lady avait l'oreille du Président sur certaines questions politiques, personne ne l'a su ou si peu. Dès l'élection de JFK, elle lance des travaux de restauration à la Maison Blanche pour en faire l'emblème de l'Amérique. Grâce à elle, Washington devient un haut lieu culturel, où cette antiségrégationniste convaincue valorise les artistes et les intellectuels noirs et blancs sans préjugés. Férue de littérature et d'histoire, elle défend le " patrimoine architectural américain " - un non-sens pour ses contemporains - et sauve Grand Central, la célèbre gare de New York sur le point d'être rasée. Incarnant avant l'heure la Soft Diplomacy, elle part seule, avec l'aval du Président, faire la promotion des États-Unis en Inde et au Pakistan. Si d'aucuns la disaient " timide ", elle a insufflé, aux heures les plus graves de la guerre froide, courage et fierté à ses concitoyens. Au fil des ans, Jackie est devenue un atout auprès de son mari, indispensable à sa réélection. C'est ce parcours exceptionnel que revisite l'auteure pour comprendre ce qui fait de Jacqueline Kennedy Onassis une femme qui tient une place à part dans l'histoire des États-Unis.

Un certain après-midi de novembre 1993 (le 22), mon professeur d'anglais, a décidé de nous diffuser un petit film documentaire sur l'assassinat de JFK. En effet, cela faisait maintenant 30 ans que le plus jeune président des Etats Unis a disparu. Elle voulait, par cet intermédiaire nous parler des Etats Unis et de cet événement qui bouleversa l'Amérique mais également le monde entier. 

C'est en voyant ce documentaire sur l'assassinat de JFK, mais surtout sa non résolution, que ma fascination pour les Kennedy a débuté. Depuis j'essaie de lire et de voir tout ce que je peux trouver sur les Kennedy (et ceux qui les entourent comme Marylin Monroe, Frank Sinatra, et bien d'autres). J'ai vu des films sur cet événement (JFK d'Oliver Stone avec Kevin Costner) ou sur les Kennedy comme la série du même nom ( Les Kennedy), lu des romans (Les Immortels de Michael Korda ou Blonde de Joyce Carol Oates). 
Sur JFK, j'en ai appris beaucoup (même s'il m'en reste encore à découvrir), mais Jacqueline Bouvier restait pour moi un mystère (mystère qu'elle a entretenue tout au long de sa vie). Jackie ne se livrait pas beaucoup et cet aura de mystère a attisé ma curiosité. 
Après avoir lu un article de Maud Guillaumin dans le Vanity Fair du mois de juillet 2014 (qui revenait sur la relation entre Jackie Kennedy et André Malraux), j'ai voulu en savoir plus. Alors quand j'ai eu la chance de recevoir le livre de Maud Guillaumin, je n'ai pas hésité une second et me suis plongé dans sa lecture avec avidité. 

J'ai adoré ce livre. Maud Guillaumin montre une facette très méconnue de Jackie Kennedy: celle d'une femme qui a fait beaucoup pour son pays et qui s'est impliquée plus qu'on ne le croit dans la présidence de son mari. Derrière la façade glamour que véhiculait les magazines, se cachait une femme de caractère qui, par petites touches à voulu importer la culture aux Etats Unis et à la Maison Blanche. Washington est devenu un haut lieu culturel grâce à Jackie qui valorisa les artistes de son pays. 
Surtout, on apprend que la présidence de John Fitzgerald Kennedy a rapproché le couple qui, durant les trois années qu'ils passèrent à la Maison Blanche, ont été plus unis que jamais (beaucoup plus qu'au début de leur mariage, qui ressemblait plus à "un mariage de convenance"), même si John batifolait ailleurs. 
L'auteur revient sur les faits marquants de la présidence des Kennedy (du fiasco de la Baie des Cochons à l'assassinat de Kennedy). L'auteur va alors nous dévoiler que Jackie Kennedy a parfois arrondit les angles et sauvé son mari de plusieurs moments délicats, en rencontrant Nehru, en Inde, sans froisser le Pakistan, allié de l'Amérique et ennemi de l'Inde. Son sens diplomatique va faire des merveilles dans nombre de pays. 

Ce livre est fascinant à plus d'un titre: il nous parle de l'Amérique des années 60, nous ouvre les portes de la Maison Blanche, et nous parle d'une femme exceptionnelle qui m'a charmé. J'ai été envoûté par elle et par ce livre, qui se lit comme un roman. L'écriture de Maud Guillaumin est fluide et captivante. On ne peut pas décrocher une seule minute. A chaque page, il se passe quelque chose et on tourne les pages fébrilement afin de savoir ce qu'il va y avoir après la prochaine virgule. (D'ailleurs, le chapitre 7 La légende Kennedy, qui revient sur l'assassinat de Kennedy et ses conséquences, se lit comme un polar, l'auteur, par moult détails, nous raconte les événements au plus près du drame, c'est à dire de  l'intérieur de la limousine. Ce chapitre nous dit également que si JFK est resté dans les mémoires, Jackie y est pour beaucoup car, c'est elle qui a forgé la légende, afin que le court passage (3 ans) des Kennedy à la Maison Blanche, ne tombe pas dans l'oubli. 

Ce livre aurait pu être un coup de coeur. Il n'en a pas été loin, sauf que l'après Kennedy, m'a semblé moins fort (il y a surtout un chapitre; celui sur le mariage de Jackie et Aristote Onassis qui m'a moins passionné), même s'il y a encore des surprises jusqu'au bout, comme dans le dernier chapitre, qui devrait intéresser tous les amoureux des livres. 

Malgré ce petit bémol, sur le volet Onassis, voilà un livre passionnant que je conseille à tous les amoureux de l'Amérique, des Sixties (car il en est beaucoup question), des Kennedy, ou tout simplement, pour ceux qui veulent percer le "mystère Jackie Kennedy": ce livre est un très bon point de départ. 
Je vais même oser une comparaison peut être hasardeuse, ce livre est un véritable "page turner": dès la première page lue, vous ne pouvez plus vous échapper: vous êtes happé, captivé jusqu'à la dernière ligne. Et vous ressortez de ce livre hagard, émerveillé, avec une seule envie: piocher dans la bibliographie qui se trouve à la fin du livre pour en savoir encore plus sur Jackie. Cette petite "mise en bouche" concoctée par Maud Guillaumin a été si savoureuse qu'on en veux plus. 
C'est ça que j'appelle un livre réussi. 

Merci aux Editions du Moment pour ce beau moment de lecture. 

Maud Guillaumin: Jackie, une femme d'influence, Editions du Moment, 253 pages, 2014


mercredi 19 novembre 2014

La Discothèque du 20e siècle #84

En 1979, Earth, Wind & Fire nous entraînait dans un Boogie.

Earth, Wind & Fire: Boogie Wonderland (1979)

Boogie Wonderland by Earth, Wind & Fire on Grooveshark

Voici les sorciers de la funk et de la disco avec l'un de leur trois plus gros tubes del a saison 1978-79, après September et juste avant After the love has gone. L'année précédente, ils avaient été les seuls à tirer dignement leur épingle du jeu -avec l'épatante version de Got to get you into my life des Beatles (Je veux te graver dans ma vie par Johnny) de ce désastre artistique qu'avait été le film Sgt Pepper's Lonely hearts Club band avec les Bee Gees) inspiré par le plus génial album des Quatre de Liverpool... (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1979", Polygram Direct)

La chanson fut remise en lumière grâce au film "Intouchables" dans lequel Omar Sy se déhanchait au son de ce tube disco. 

Bonne écoute!

dimanche 16 novembre 2014

Slow Qui Tue #209: Avoir une fille

Le slow qui tue de la semaine nous dévoile les tourments d'un père.

Sébastien Chato: Avoir une fille (Roméo & Juliette)


Bonne écoute!


vendredi 14 novembre 2014

Not that kind of girl

4e de couveture:On peut n'avoir même pas trente ans, avoir créé une série culte, avoir déjà été qualifiée pêle-mêle de « voix d'une génération » et de « fille naturelle de Susan Sontag et de Woody Allen », figurer dans la liste du Times des 100 personnes les plus influentes du monde, avoir vu Joyce Carol Oates chanter vos louanges, avoir décroché un contrat faramineux avec une des plus grandes maisons d'édition américaines, et pourtant être percluse de tocs, de complexes et d'angoisses existentielles.

Lena Dunham, c'est la bonne copine. Celle qui vous raconte par le menu ses plans drague foireux, ses accidents sexuels, ses premiers boulots minables. Mais Lena Dunham, c'est aussi la philosophe néoféministe qui nous explique qu'il vaut mieux pour notre santé mentale bannir à jamais le mot régime de notre vocabulaire, que dans la vie, il y a les hommes et il y a les connards, que New York est la plus belle ville du monde et qu'à la fin, puisqu'il n'y a rien, autant rigoler.


Lena Dunham connait un succès retentissant depuis quelques années, grâce à sa série "Girls". Une série qui donne un regard sans concession sur la jeune génération: celle des femmes d'une vingtaine d'années. 

A la sortie de ce livre, ma curiosité a été piqué au vif: la série "Girls" m'intriguait (mais je n'avais pas encore sauté le pas du visionnage) et j'étais curieux de savoir ce que Lena Dunham avait dans le ventre, et aussi comprendre son succès. 
Mais, surtout, je me demandais si ce livre était un livre qui pouvait être lu par les garçons. Dans un mail, l'ai alors posé la question à Brigitte, des Editions Belfond: sa réponse fut dans l'envoi du livre "afin que je me fasse ma propre idée". 

Après lecture, je peux vous dire, messieurs, que ce livre, malgré son sous-titre, peut être lu par la gent masculine sans problème. 
En effet, ce livre est plus une autobiographie, qu'un "guide féminin", où l'auteur se livre sans fard, et sans mâcher ses mots, sur des thèmes variés, comme le sexe, les régimes, l'amitié, les relations dans le travail. Lena Dunham se livre corps et âme et ne nous cache rien. Elle dit tout, dans une plume vive, cash et avec énormémement d'humour. J'ai beaucoup rit lors de ma lecture. 
Puis, il y a également des moments plus tendre, où la nostalgie pointe le bout de son nez et où j'ai trouvé certains passages touchants. 

Mais,surtout, je ne pensais pas être aussi proche d'elle: je me suis beaucoup retrouvé dans le portrait que Lena dresse d'elle: moi aussi, j'ai eu des problèmes de surpoids et essayé de faire des régimes...moi aussi, je pense souvent à la mort (et j'en ai un peu peur), moi aussi, j'ai été le "souffre douleur" de certains débiles de ma classe, tout ça parce que je ne suis pas un canon de beauté. J'ai été estomaqué par toutes ces ressemblances. 
En fait, Lena, c'est la bonne copine qui, autour d'un feu, vous raconte, sans rien omettre, ses souvenirs, et là, certaines de ses anecdotes résonnent en nous, et on serait prêt à échanger nos propres souvenirs avec elle. 
 Bon, je vous avoue que certains chapitres, plus "féminins" m'ont laissé sur le bord de la route (je repense à celui qui se nommait "Qui a déplacé mon utérus?": j'avoue que pour celui là, j'ai été un peu largué et je ne me suis pas senti concerné). Mis a part, ces passages plus "filles", j'ai été plus que ravi de découvrir cette plume vivante, drôle, sans concession, qui se livre sans fard et avec simplicité...comme lors d'une conversation "entre copines". 

En refermant le livre, j'ai eu l'impression de quitter une bonne copine, après un bon repas, où l'on aurait échangé sur nos vies. (Attention, ce n'est pas un "livre de conseils", c'est juste l'histoire d'une jeune femme d'aujourd'hui, qui nous dit sans complexe, ce qu'à été sa vie jusqu'à maintenant...sauf que sa vie commence à peine et qu'elle  a encore tant à voir, malgré le fait qu'elle est déjà vécu beaucoup de choses). . 

Au final, un livre fun, qui se lit comme on croque dans un bonbon acidulé, et que l'on quitte à regrets, après avoir tourné la dernière page. C'est un livre qui pourra parler à toutes les jeunes femmes qui auraient quelques petits complexes (mais après tout qui n'en à pas), mais aussi à tous les mecs qui ont envie de savoir ce qu'il y a dans la tête d'une jeune femme d'aujourd'hui, qui malgré quelques complexes, se sent quand même bien dans sa peau. 

Merci à Brigitte et aux Editions Belfond de m'avoir permis de faire connaissance avec Lena. 

Lena Dunham: Not that kind of girl (Not that kind of girl), Belfond, 320 pages, 2014





mercredi 12 novembre 2014

La Discothèque du 20e siècle #83

En 1977, Ram Jam nous présentait leur Black Betty.

Ram Jam: Black Betty (1977)

Black Betty by Ram Jam on Grooveshark

A l'origine, il s'agit d'un classique du folk composé par le légendaire chanteur noir Hidie Ledbetter, alias Leadbelly. Revu et musclé par cet énergique quartet rock de la côte Est des Etats Unis, mené par un certain Bill Bartlett, le titre fait le rtour de la planète et sera réutilisé en 1994 pour la musique du spot de pub d'un parfum (Rebel de Gemey, pour ne rien vous cacher), se classant même n°1 en France. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1977", Polygram Direct)

Bonne écoute!

mardi 11 novembre 2014

Ceux de 14

4e de couverture: Maurice Genevoix n'avait que 24 ans lorsqu'il prit le commandement d'une compagnie au mois d'août 1914. Jour après jour, tandis que se tissaient des relations faites d'entraide et de peur, il fit face à l'horreur des combats, des cadavres mutilés, de l'inimaginable. Trois balles le blessèrent grièvement et mirent fin au cauchemar. Un récit de guerre bouleversant et terriblement humain.

 Il y a quelques spoilers sur la fin du livre, mais, en même temps, ce n'est pas un simple roman. (Puis, la fin de "la guerre de Maurice Genevoix" nous ait raconté dans la 4e de couverture). De toute façon, l'intérêt de ce livre, est ailleurs. Mais, si vous ne voulez pas savoir, ne lisez pas les 3 derniers paragraphes

Ceux de 14 (qui regroupent 4 livres de l'auteur, de Sous Verdun à Les Eparges) est probablement le témoignage, le plus vivant, le plus poignant sur les premiers mois de la Première Guerre mondiale.
Peut être aussi, celui qui décrit, au plus près l'horreur (et l'absurdité) de cette guerre. 
Depuis que ce livre était dans ma PAL, j'ai toujours eu l'intention de le lire, pour le centenaire de ce conflit qui aura fait des millions de morts. C'est un témoignage vibrant, peut être même l'un des seuls écrits qui nous reste, de ce conflit, qui s'éloigne de plus en plus et dont il ne reste pratiquement plus de survivants. (c'est avec ce genre d'ouvrage, qu'on se rend compte de l'importance des livres dans la société. Car, les hommes passent, mais les écrits restent et sont là pour nous dire toute la véracité de ces moments importants de l'histoire).  
Surtout, Maurice Genevoix, grand écrivain, prend la plume pour nous raconter cet événement de l'intérieur. Il a vécu les premiers mois de la guerre, en tant que lieutenant, au plus près des combats. Il ressuscite, de sa plume vive, troublante, touchante, ses camarades, avec qui il partagea, les joies, les drames, l'attente, la peur, le froid, la pluie.

Je dois reconnaître la valeur de ces textes: ils ont été écrits par un grand écrivain: pour autant, leur lecture a été des plus difficiles. 

Le premier livre: Sous Verdun, m'a un peu laissé sur le bord de la route: dans celui ci, Maurice Genevoix décrit le départ pour le front, et les début de la guerre, qui est faite de beaucoup d'attente et de construction (des tranchées notamment). J'ai trouvé le début très fort, mais j'ai eu tout du long, une sorte de détachement, comme si je ne voulais pas m'impliquer émotionnellement.

Le 2e livre: Nuits de guerre fut mon préféré: Maurice Genevoix y décrit toujours l'attente d'un conflit qui ne vient pas, où si peu, où l'on passe d'une ligne de front, à la ligne de réserve, à l'arrière, aux jours de repos dans certaines fermes, ou maisons du coin. 

Le 3e livre: La Boue m'a étouffé:  cette boue qui envahissait tout sur son passage: les champs, les vêtements, les corps et le moral des soldats. J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre...pourtant, je ne savais pas encore ce qui m'attendait. 

Le 4e livre: Les Eparges nous plonge au coeur du combat, et du conflit. C'est pourtant, le roman qui a commencé à me lasser. En fait, je n'en pouvais plus d'être parmi ces soldats. J'étais las de tout ça et je n'avais qu'une hâte: en finir...comme tous ceux qui étaient là bas. Oui, mais, c'est ce livre là qui me bouleversera le plus, et je ne le savais pas encore (j'en ai encore les larmes aux yeux, en écrivant ces lignes): tout cela allait m'être révélé par le chapitre 3 (La Mort). 73 pages de terreur, qui me lassaient pourtant. Je n'en pouvais plus. J'avais hâte que cela finisse. Dans ce chapitre là, Maurice Genevoix, décrit plusieurs journées de combat, où les obus et les balles tombent des deux côtés, répandant la mort autour de lui. Maurice Genevoix voit tomber ses compagnons d'armes, ces amis qui partageaient cette horreur avec lui depuis presque 6 mois. L'auteur ne nous épargnera rien et nous fera vivre cela au plus près, pour nous livrer sa vision des choses.

C'est en lisant les dernières phrases de ce chapitre, qui m'a usé moralement, samedi soir, que j'ai réalisé que les personnages de papier, avec qui j'étais depuis plus d'une semaine, avaient réellement existé (Porchon, Rebiere, et tous les autres) et qu'ils étaient morts sous mes yeux. J'ai alors refermé le livre, n'en pouvant plus et  toute cette bulle fait de  chagrin et de douleur que je gardais enfoui en moi, sous cet air las et détaché, à crevée en un flot ininterrompu de larmes. Dans mon lit, à 2 heures du matin, j'ai éclaté en sanglot, comme un gamin, ne pouvant pas m'arrêter. Je venais de réaliser soudain que le roman que je lisais depuis une semaine, n'en était pas un: tout ceci avait été vrai: tous ces soldats, que j'avais vu se débattre, vivre, attendre,se battre, pour finalement mourir, avaient été sur cette terre, comme moi, il y a 100 ans. 

Le lendemain, dimanche, j'ai repris le livre pour vivre les derniers jours du lieutenant Genevoix, au plus près des combats. La plume était toujours aussi vive, et brûlante, sans concession, ne nous cachant rien, mais cela était quand même plus "apaisé", après le chapitre de La mort. Certains autres camarades de Maurice Genevoix sont encore tombés au champ d' "horreur", avant que lui même soit blessé lors d'un assaut. 
Maurice Genevoix va alors être rapatrié. Pour lui, la guerre s'est arrêté le 25 avril 1915. Du moins le croyait il, car ces quatre romans (que l'auteur à publié de 1916 à 1923) sont la preuve qu'elle est resté avec lui, tout au long de sa vie, et de son oeuvre. 

Un livre foisonnant qu'il faut lire, pour se souvenir, quitte à espacer la lecture des quatre livres, sur plusieurs mois ou années...malgré leur unité de ton, de plume et de temps. Un livre nécessaire pour ne pas oublier. Certes, il fut éprouvant, mais il m'a montré un visage humain de ce conflit qui ne le fut pourtant pas. 

Maurice Genevoix: Ceux de 14, Points, 781 pages, 1950




dimanche 9 novembre 2014

Slow Qui Tue #208: The time of my life

Le slow qui tue de la semaine se lance dans une dirty dancing.

Bill Medley & Jennifer Warmes: The time of my life






Bonne écoute!


mercredi 5 novembre 2014

La Discothèque du 20e siècle #82

En 1975, Gérard Lenorman nous chantait sa ballade.

Gérard Lenorman: La Ballade des gens heureux (1975)

La Ballade Des Gens Heureux by Gérard Lenorman on Grooveshark

[Gérard Lenorman] qui compose depuis l'âge de douze ans publie cette Ballade des gens heureux en 1975, sur des paroles de Pierre Delanoë. Mais est il utile d'épiloguer sur un titre qui est devenu l'une des chansons les plus populaires de notre patrimoine? (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1975", Polygram Direct)

Bonne écoute!

dimanche 2 novembre 2014

Slow Qui Tue #207: La Tendresse

Le slow qui tue de la semaine vous donne un peu de tendresse dans ce monde de brutes.

Daniel Guichard: La Tendresse


Bonne écoute!

samedi 1 novembre 2014

Descente en librairie #49

Au mois d'octobre, 15 livres ont rejoint ma PAL (et certains en sont déjà sortis).

4/10

Après avoir fait une première tentative avec l'écriture et les histoires de Marie-Bernadette Dupuy, en lisant Les fiancés du Rhin, qui m'avait laissé un sentiment mitigé, je vais laissé une autre chance à cette auteure en lisant cette saga (puisque cette fois ci c'est un tome 1) qui se déroule sur les bords du Lac Saint Jean, lors des inondations qu'à connu le Québec dans les années 20.
En tout cas, la couverture est magnifique. Espérons que l'histoire le soit tout autant.





(Acheté à France Loisirs)

8/10


Un roman jeunesse, déjà lu, et qui vaut le détour. J'ai adoré et j'aimerai bien retrouvé Agatha et ses amis dans d'autres aventures.









(Reçu dans ma BAL)


Un album qui fait peur, mais tellement fantastique et de toute beauté qu'il est à lire. Une belle découverte, que j'ai chroniqué hier.









(Reçu dans ma BAL)

11/10


Lors d'une de mes sorties chez Gibert,  j'ai fait une razzia de livres de  Mrs Oates (tout simplement car ils avaient des titres que je n'avais pas), en commençant par ce récit qui parle du deuil de Joyce Carol Oates après le décès de son mari.








Pour celui ci, c'est drôle, car cela fait plusieurs mois (voir peut être un an) que je tombe sur lui, sans avoir pris la peine de l'acheter, d'une part, car je n'apprécie pas plus que ça la couverture, mais surtout pour l'état du livre (les pages sont un peu jaunies, la couverture un peu abîmée), mais là, j'ai sauté le pas (car je ne le voyais nulle part ailleurs et puis, en même temps, il était à 2€). Donc, j'ai  pris l'exemplaire sous mon bras et l'ai emmené chez moi.






Il était déjà d'occasion (et pourtant, c'est l'un des derniers Oates ressorti en poche) et il manquait à ma collection.











Je préfère vous prévenir, je n'ai pas acheté ce livre avec cette couverture. Les éditions J'ai lu ont eu la belle idée de changer cette couverture immonde (à mon goût) pour une nouvelle, beaucoup plus belle (dans des teintes rouges et noires où l'on voit l'ombre de deux visages se faisant face). Mais je n'arrive pas à la trouver sur le net, (et mon appareil photo fait des siennes, donc je ne peux même pas la photographier...grr).
Tout ça pour dire, que, quelquefois, je suis futile, pour certains livres.
Cela fait tout de même un Oates de plus dans ma collection.
Il faudrait d'ailleurs que je retrouve cette chère Mrs Oates, avant la fin de l'année.


(Achetés à  la librairie Gibert)

15/10

Une belle surprise m'attendait dans ma BAL, ce mercredi 15 octobre avec le dernier roman (dédicacé, s'il vous plait) de Laurent Bettoni. Un roman déjà lu et très fortement apprécié.









(Reçu dans ma BAL)

16/10

Une autre surprise dans ma BAL. Et je peux vous dire que j'ai été vraiment surpris en ouvrant l'enveloppe.
Pourtant, j'avais juste posé une question par mail à Brigitte des Editions Belfond: Est ce que ce livre s'adresse aussi aux garçons?
Sa réponse fut dans l'envoi du livre, pour  ainsi me faire ma propre idée sur la question.
Donc, réponse probablement dans le mois de novembre, puisque je compte bien lire ce livre, pour attiser ma curiosité.
Heureusement que je cultive mon côté féminin. Blague, mis à part, le livre est fun et à l'air très drôle.
A lire donc.

(Reçu dans ma BAL)

20/10

Premier tome de la série de Lucky Harbor. Je sais, je l'ai déjà dans ma bibliothèque et je l'ai déjà lu (en français)...mais comme Milady n'est  pas pressé pour traduire et publier la suite (et que j'en ai un peu marre d'attendre), j'ai décidé de continuer la série en anglais (normalement, cela ne devrait pas être trop compliqué à lire, du moins, je l'espère). Comme je n'aime pas avoir une série dans différentes éditions, j'ai décidé de racheté les 5 premiers tomes, déjà en ma possession, avant d'acheter la suite.
Voilà pourquoi ce premier tome de la série "Lucky Harbor"  a rejoint ma PAL VO.



J'avais apprécié, sans plus, les 2 premiers tomes de la série Cupcake Club que Milady avait  publié, il y a un ou deux ans maintenant. je voulais tenter un autre livre de l'auteur (mais comme aucun n'a été traduit en français, je l'ai choisi en VO). Mon choix s'est alors porté sur une autre de ses séries "Bachelors of Blueberry Cove.  Elle se passe sur une petite île du Maine et la couverture donne envie de voyager.






(Achetés sur "The Book Depository")

30/10


12e livre de la collection Belfond Vintage,  qui était déjà dans ma PAL, depuis des lustres (4 ans, ce me semble) et que j'ai pourtant hâte de lire.
Je sens que je vais aimer ce livre. Pour le moment, la collection "Vintage", ne m'a aucunement déçu...donc que cela continue.
(Il sort le 6 novembre 2014 en librairie)






J'avais repéré ce roman dans le catalogue des prochaines parutions des Editions Belfond. J'avais  très envie de le recevoir devant son sujet (l'histoire de L'Amérique du XXe siècle, à travers une famille de musiciens) qui m'emballait par avance: pensez donc, les Etats Unis,  l'histoire américaine du XXe siècle, la musique, ce livre était fait pour moi.
Sauf que ce livre sortait le même jour que Le Pouvoir du chien de Thomas Savage. Comme  depuis le début de l'année, je reçois tous les romans de la collection "Belfond Vintage", je m'étais fait à l'idée que ce roman me passerai sous le nez. (Oh pas bien longtemps, car je comptais bien l'acheter un jour où l'autre).
C'était sans compter sur la générosité de Brigitte, et le fait qu'elle commence à bien connaitre mes goûts.
C'est ainsi que j'ai eu la belle surprise de trouver un exemplaire du roman d'Alex George, dans l'enveloppe où se trouvait Le Pouvoir du chien.
Merci Brigitte pour cette merveilleuse surprise.
Il sort le 6 novembre 2014 en librairie.

(Reçus dans ma BAL)


Depuis mon adolescence, je suis fasciné par les Kennedy. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Je sais juste que cela m'est arrivé en 4e, lors d'un cours d'anglais renforcé. Ce jour là, notre prof nous a montré un documentaire sur ce qui s'est passé le 22 novembre 1963, à Dallas.
Depuis ce jour, j'ai été intrigué par cet événement (l'assassinat de JFK) , mais plus  généralement par le clan Kennedy.
Jackie est une femme fascinante, que j'admire, mais dont je ne connais quasiment rien. Voilà pourquoi, j'ai été attiré par ce livre.



(Reçu dans ma BAL)


Les éditions Milady se lancent dans la romance gay (ou M/M comme on la nomme habituellement) (un genre qui fait fureur chez les lectrices américaines): un genre qui est arrivé en France, il y a quelque mois, en numérique....mais il n'y avait pas de livres papier sur ce genre, à ma connaissance.
C'est maintenant chose faite avec ce roman à suspense.
Ce sera aussi l'occasion pour moi, de tester la nouvelle collection de chez Milady: la collection "Suspense".



(Acheté au Centre Culturel Leclerc)

Au mois prochain, pour les nouveaux arrivés dans ma PAL.