dimanche 30 mars 2014

Descente en librairie #42

Le mois de Mars est généralement un mois Noir pour la PAL. En effet, ce moi ci, pas moins de 31 (!!!) livres ont rejoint ma PAL. (La pauvre). Mais, bon entre le Salon du Livre et la Braderie Emmaüs, comment voulez vous ne pas craquer!

04/03


8e roman de la collection "Belfond [Vintage] ce "Lys de Brooklyn" me tentais énormément. Je suis donc ravi, qu'il ait rejoint ma PAL. (En fait, il en est déjà sorti puisque c'est ma lecture en cours). Un roman se passant à New York ne peut que me plaire.

(Reçu dans ma BAL)






14/03


Un petit roman jeunesse, se déroulant à New York, qui m'a l'air  charmant comme tout.

(Reçu dans ma BAL (Box de pandore)








Un roman "fantastique" qui a pour toile de fond la légende de Mélusine. Très intriguant.

(Reçu dans ma BAL (Box de pandore)








Une BD policière, à l'atmosphère londonienne qui m'intrigue également.

(Reçu dans ma BAL (Box de Pandore)









17/03


Un roman qui se déroule dans l'Angleterre du XVIIe siècle et qui suit un jeune orphelin qui devient cuisinier chez une grande famille de la bourgeoisie anglaise. Un très bel objet livre, avec de superbes illustrations à l'intérieur.

(Reçu dans ma BAL)








Un roman qui raconte, sur 30 générations, la vie des Spinoza. Voilà un roman foisonnant mais qui m'a l'air passionnant, puisqu'il retrace une grande partie de l'histoire de l'Europe. De plus, d'un auteur norvégien. Ce qui me permettra de découvrir la littérature de ce pays.

(Reçu dans ma BAL)





Le dernier T.C. Boyle, qui m'a l'air aussi passionnant. De plus, je vais pouvoir (enfin) découvrir la plume de cet auteur.

(Reçu dans ma BAL








22/03

Pour voir mes achats du Salon du livre, je vous renvoi, à l'article consacré. C'est par ici que cela se passe: Salon du Livre 2014

24/03


Parce qu'un Oates, cela ne se refuse pas.

(Reçu dans la BAL)









29/03


Quand on vous propose un roman, qui reprend la trame d"Orgueil et Préjugés" (un de mes romans préférés), (une nouvelle réécriture en somme)  mais vu par le prisme des domestiques de la famille Bennett. Quand un roman entre "Orgueil et Préjugés" et "Dontown Abbey" (l'une de mes séries favorites) vous est gentiment proposé, même si vous avez beaucoup de livres, on ne peut pas refuser.
De toute façon, il ne va pas faire long feu dans la PAL. Ce sera l'une de mes prochaines lectures.

Il sort en librairie, (aux Editions Stock (merci à eux)! le 2 avril 2014. 

(Reçu dans ma BAL)


30/03

Ce week-end, dans ma ville, c'était la Braderie Emmaüs, (comme tous les ans). Je suis allé y faire un petit tour et j'en suis revenu avec tout ça!


7e roman de la série "Sir John". Comme les romans ne sont plus édités, j'essaie de trouver les tomes qui me manquent dans les braderies, ou les bouquinistes. Il me manque donc les Tomes 5 et 6 de cette série dont j'avais bien aimé le premier tome.










J'en ai profité pour compléter ma "collection" de romans "Angélique", avec "Angélique se révolte", "Angélique et son amour", "Angélique et la démone", et le Tome 1 de "La Tentation d'Angélique" (le tome 2 a dû se perdre quelque part, il faut croire). Mais, bon, petit à petit, j'arrive au bout de la série, avec les tomes les plus difficiles à trouver. (ils sont trouvables sur internet mais à des prix exorbitants). Heureusement, j'arrive toujours à en trouver à la Braderie Emmaüs.
Mais bon, je peux continuer la série sans soucie, avant de tomber en pénurie. C'est rassurant. (Pour le moment, je n'ai lu que le premier tome de la série)




Un polar historique qui se déroule au temps d'Henry VIII, sorti l'année dernière se trouvait sur  l'une des tables. (Le livre un peu rigide mais c'est pas grave, il était à 3€, je n'allais pas faire la fine bouche). Un roman qui me faisait envie. La suite devrait sortir en mai 2014.









Je n'ai pas sauté de joie en le voyant (il n'y avait pas assez de place et trop de monde autour de moi) mais le coeur y était en tout cas. Je suis ravi d'avoir enfin ce livre en ma possession. ("Le bonheur au bout du chemin" est l'une de mes sagas préférées que j'ai vu au moins 5 fois. Ah Gilbert! Qu'est ce qu'il a pu me faire rêver ce garçon là! Puis, je me retrouvais beaucoup dans le personnage d'Anne, étant moi même un rêveur). Mais je sens qu'en acquérant ce roman, j'ai mis un doigt dans l'engrenage et que je vais vouloir les autres volumes de la série. Mais, bon, c'est pas grave! Je suis ravi!!!


"un bûcher sous la neige" a été l'un de mes coups de coeur d'il y a quelques années. En voyant le premier roman de l'auteur à la Braderie, je n'ai pas hésité une seconde et l'ai embarqué. Je vais retrouver cette plume qui m'avait beaucoup charmé.








Un roman qui m'avais tapé dans l'oeil il y a quelques temps quand je l'avais vu à France loisirs. Je l'ai trouvé à 2€ à cette braderie, dans sa version "France Loisirs". Je l'ai donc ramené avec moi.








Comme vous voyez j'ai encore fais de belles affaires (et de vraies folies pour ma PAL) lors de cette sortie. Mais j'ai été raisonnable avec mon porte monnaie. Cela ne m'a coûté que 12,50€. J'aime les braderies Emmaüs!

Comme vous pouvez le constater, ma PAL a souffert en mars. Mais, bon, je pense que cela va se calmer, en avril.

Réponse dans un mois!















Slow Qui Tue #185: Homme sweet homme

le slow qui tue de la semaine est très "doux" avec son homme.

Zazie: Homme sweet homme 


Bonne écoute!


samedi 29 mars 2014

Le domaine de l'Héritière

4e de couverture: Émilie de La Martinières, dernière descendante d’une illustre famille, hérite du magnifique château entouré de vignobles où elle a passé une jeunesse difficile avec une mère froide et distante. Mais elle hérite surtout d’une montagne de dettes et de nombreuses interrogations sur l’histoire de sa famille.
La découverte d’un ancien cahier la conduit sur les traces de Constance, jeune femme mystérieuse dont l’histoire remonte aux années 1940. Pendant l’Occupation, elle avait trouvé refuge au château, accueillie par des aristocrates aux inextricables secrets.
Quand Émilie découvre l’histoire de Constance et ce qui est réellement arrivé pendant la guerre, elle porte progressivement un autre regard sur ses ancêtres et ce château d’enfance qui, désormais, lui appartient. Un héritage qui pourrait l’aider à percer certains mystères du passé…

Après ma lecture "exigeante", d'"A l'est d'Eden, il me fallait une lecture moins contraignante. 
Mon choix s'est alors porté sur Le domaine de l'Héritière de Lucinda Riley. 
Ce fut un choix idéal et judicieux pour me remettre dans le bain de la lecture et retrouver un rythme normale de lecture.

Le roman de Lucinda Riley est une saga familiale comme je les aime. Une saga comme on en voyait beaucoup dans les feuilletons d'été. De plus, celle ci se passe à une époque que j'apprécie, de par son romanesque, la Seconde Guerre Mondiale. Puis, quand il y a des histoires de famille, de secrets cachés, je suis comblé. 

Je me suis plongé avec envie dans le destin de Emilie, l'héroïne de ce roman palpitant. Les rebondissements sont nombreux et le lecteur ne s'ennuie pas une seconde. Avec un style simple, fluide et clair (même si certains dialogues semblaient convenus quelquefois), Lucinda Riley nous embarque dans le Sud de la France, tout d'abord à la fin du XXe siècle, pour faire connaissance avec Emilie, une jeune femme qui vient de perdre sa mère et qui est donc la dernière descendante de la famille de La Martinières. Elle va alors se consacrer à la rénovation du château familial, à Gassin ,dans le Sud de la France. C'est là qu'elle va faire la connaissance de Sébastian Caruthers, un jeune homme, venu à Gassin pour en découvrir plus sur sa grand-mère, Constance, qui aurait séjournée au château. C'est à ce moment là, que Emilie, aidé de Jacques, le vieux vigneron du château va connaitre  l'histoire de Constance, qui débarqua à Paris, en 1943, en tant qu'agent de liaison de Londres, envoyé à Paris, pour une mission. 

A partir de là, l'histoire va osciller entre le "présent" (ben oui, 1998, cela remonte à une dizaine d'année tout de même, donc pas si présent que ça) et les années d'Occupation, en France, en 1943. C'est d'ailleurs à partir de ce moment ,que j'ai eu du mal à lâcher le roman. On a envie de savoir ce qui est arrivé à Constance et comment elle a fini par "débarquer" dans ce petit village du Sud de la France. 
L'auteur fait durer le suspense jusqu'à pratiquement la fin du roman, avant de donner tous les secrets de Constance, en alternant les époques, de Constance à Emilie. Car ,  si Constance a la part belle des secrets, il ne faut pas oublier les secrets de ses petits fils Sébastian et Alex:  il ne faut pas oublier qu'Emilie est également l'héroïne de l'histoire, au même titre que Constance. Emilie va tomber amoureuse de Sébastian, qui va l'emmener en Angleterre, après leur mariage. C'est ici, qu'elle fera la connaissance de son beau-frère Alex. Mais c'est à partir de ce moment là qu'elle verra son mari changer d'attitude. 

Mais je ne veux pas tout dévoiler, car ce sont les révélations qui font le sel de ce roman. Ce serait dommage de tout gâcher. 
Ce que j'ai également apprécier, c'est que l'auteur nous montre une autre image des Résistants en donnant la part belle aux femmes de l'Ombre, lors du 2e conflit mondial. Cela est tout de même à souligner car peu présent, dans les romans. 

Au final, voilà une belle saga, qui vous fera passer un agréable moment; Si, comme moi, vous adorez les grandes sagas qui renferment des secrets de famille, avec des révélations à toutes les pages, plongez vous dans ce roman qui se lit d'une traite. Il vous fera passer d'agréables moments. Un roman idéal pour les beaux jours qui s'annoncent. 

Merci à Eric et à City Editions pour cette découverte. 

Lucinda Riley: Le Domaine de l'Héritière (The light behind the window), City Editions, 525 pages, 2013)




mercredi 26 mars 2014

La Discothèque du 20e siècle #50

En 1988, Paco nous emportait de nouveau dans la foule.

Paco: Amor de mis amores (1988)


Cinq semaines en tête du Top- de la mi-octobre à la mi-novembre 1988- ce titre était un carton programmé: adaptation en espagnol de La foule d'Edith Piaf, Amor de mis amores figurait également sur la bande originale du film Ne réveillez pas un flic qui dort avec Alain Delon et Michel Serrault. (Source: Fascicule "La Discothèque du 20e siècle: 1988", Polygram Direct)

Bonne écoute!

mardi 25 mars 2014

A l'est d'Eden

4e de couverture: Dans cette grande fresque, les personnages représentent le bien et le mal avec leurs rapports complexes. Adam, épris de calme. Charles, son demi-frère, dur et violent, Cathy, la femme d'Adam, un monstre camouflé derrière sa beauté, ses enfants les jumeaux Caleb et Aaron. En suivant de génération en génération les familles Trask et Hamilton, l'auteur nous raconte l'histoire de son pays, la vallée de la Salinas, en Californie du Nord. Pour cette œuvre généreuse et attachante, John Steinbeck a reçu le prix Nobel de littérature.

"A l'est d'eden" fait partie de mes films préférés. 
Après ma découverte de la plume de Steinbeck avec "Des Souris et des hommes", j'ai voulu en lire plus et je suis tombé, par hasard sur ce roman, que je me suis empressé d'acheter...avant de le laisser traîner dans ma PAL pendant 4 ans. 
Pourquoi avoir mis aussi longtemps, avant de le sortir? Tout simplement, connaissant le film par coeur, pour l'avoir vu 4 fois, je reculai l'instant de lire ce petit pavé de plus de 600 pages, de peur de tout savoir à l'avance. 

C'est en lisant la chronique de Frankie, que j'ai eu l'envie de le lire: en effet, dans cette dernière, Frankie révélait qu'Elia Kazan avait adapté la 4e partie du roman, quand Cal et Aron Trask ont 17 ans. Tout le reste était resté non adapté. (Pourquoi? Nul ne le sait) 

Je me suis donc lancé dans ce roman avec envie mais également avec appréhension: la plume de Steinbeck n'est pas si facile d'accès et je l'avais testé sur des petits romans fort et puissants que sont "Des souris et des hommes" et "Lune Noire". C'était donc mon baptême du feu pour un roman au long cours. 
Il m'a fallu 15 jours pour pouvoir connaître le destin des Trask et des Hamilton, mais que cela fut passionnant. La lecture des premières parties du roman éclairent toutes les zones d'ombres du film, que je ne comprenais pas totalement, et surtout, le personnage de Kate, assez mystérieux pour moi, dans le film. Là, elle prend toute sa mesure et c'est à un personnage fantastique de complexité et de noirceur que Steinbeck nous donne à lire. J'ai aimé détesté ce personnage qui n'a aucune conscience et ne connais que la haine. C'est un monstre à la beauté éclatante. 
Les Trask ont la part belle du roman, de Charles et Adam, les deux frères qui seront séparés par la belle et troublante Cathy/Kate, jusqu'à Cal et Aron, les fils d'Adam. Ces deux duos fraternel représente le bien et le mal, et chacun prend sa place, dans cette dualité, passant d'un état à un autre. 

Mais si les Trask sont les principaux protagonistes de ce roman, il ne faut pas oublier pour autant, la famille Hamilton, dont le patriarche Samuel est la figure paternelle. (Cette famille qui fut celle de John Steinbeck, puisque sa mère Ollie, n'était autre que l'une des filles de Samuel. D'ailleurs le petit John fait deux brèves apparitions dans le roman, mais la voix de l'écrivain/narrateur traverse le roman de part en part). J'ai aimé découvrir cette famille, qui resta unie même dans l'adversité et ce, malgré les quelques fâcheries que toute famille connaissent. Le destin des Hamilton ne fut pas tout rose, en atteste la fin tragique de Tom et Dessie, mais il fut beau.  (Le malheur est une constance dans les livres de Steinbeck, je trouve, mais il y a toujours cette lueur d'espoir qui transparaît toujours). 

Le plus étonnant, c'est que mon personnage préféré du roman n'est pas le même que celui du film (Cal, interprété par James Dean, est celui que je préfère dans la version cinéma): c'est bien normal puisque celui ci n'existe pas dans le film: Lee, le serviteur chinois de la famille Trask est celui qui a su me transporter et m'amener à voir la famille Trask autrement. C'est un être fabuleux, serviable, fidèle, malin, attentionné. C'est le plus beau personnage du roman et je ne comprend pas pourquoi Elia Kazan s'est privé de ce personnage là? Pour sa nationalité? Peut être. C'est bien dommage. Lee fait partie de ces personnages qui font le lien entre tous, un fil invisible, une présence indispensable mais qui sait s'effacer quand il faut. L'un des plus beaux personnages d'"A l'est d'Eden". 

"La religion" est également évoqué de par la dualité du bien et du mal. Les jumeaux Trask représentent, par bien des égards, les deux faces d'une même pièces: Aron est le gentil, à qui on donnerai le bon dieu sans confession, et Caleb, le "méchant", qui n'aspire qu'à faire le mal autour de lui: malgré son amour pour son jumeau, il ne peut s'empêcher de lui faire du mal. La jalousie le consume, cette jalousie née d'un manque d'amour de la part d'Adam, le père des jumeaux. Pourtant, Aron se dévoile progressivement sous un jour égoïste: je l'ai trouvé, au contraire de Cal, plus détestable car ne pensant qu'à son petit bien être. Celui à qui on donne toute l'affection et l'attention, au détriment de Cal qui fait tout son possible pour être aimé. Malgré ses efforts, ce dernier ne réussira pas à se faire accepter par ce père "absent'. Heureusement, Lee, est là pour le soutenir et l'écouter. 

Voilà un roman foisonnant, qu'il faut prendre le temps de lire pour bien l'assimiler (et je pense qu'il va me falloir un petit peu de temps avant de le digérer). La plume forte et cruelle, par certains côtés, de Steinbeck vous happe pour ne plus vous lâcher. Il m'a fallu du temps pour pouvoir aller au bout de ce roman mais je ne le regrette pas. Il faut parfois prendre son temps pour pouvoir comprendre tous les aboutissants et les subtilités d'un texte aussi fort émotionnellement. Une fresque américaine, où le bien et le mal se battent constamment pour enfin voir le bout du tunnel, à la dernière ligne...en faisant quelques victimes au passage, tel le lecteur que je suis. Je pense qu'on ne sors pas indemne d'"A l'est d'Eden". On y laisse un peu de soi au passage. 

John Steinbeck: A l'est d'Eden (East of Eden), Le Livre de Poche, 632 pages, 195













7e roman lu dans le cadre du challenge "La Littérature fait son cinéma". "A l'est d'Eden", fut adapté au cinéma en 1955, par Elia Kazan, avec James Dean, Julie Harris, Jo Van Fleet...







dimanche 23 mars 2014

La Folle journée de Will au Salon du Livre 2014


Samedi, c'était direction Le Salon du Livre, comme tous les  ans, a peu près (depuis 4 ans), ou votre serviteur se rend dans cet antre de la perdition (?) pour tous lecteur qui se respecte.

5h30

Lever très tôt afin de ne pas louper mon train matinal.

6h30

Je regarde une dernière fois que je n'oublie rien (et surtout pas les livres que j'ai l'intention de faire dédicacer, ainsi que la liste des dédicaces que j'ai préparé)

7h08

Et c'est parti pour le voyage vers Paris. Je m'installe tranquillement à ma place, et retrouve les Trask et les Hamilton d'"A l'est d'Eden", pendant que mon voisin visionne un épisode de "Breaking Bad".

9h15

Arrivé à la station de métro Porte de Versailles, je ne manque pas de prendre le mauvais couloir pour atterrir vers les pavillons opposés au pavillon 1. Je découvre alors qu'il y a plusieurs salons, et que cela est immense. Après m'être aperçu que je me dirigeai vers un salon consacré au sport (ce me semble)!!!, je fais demi tour et prend la direction du pavillon 1, où là je vois déjà des dizaines et des dizaines de personnes qui attendent l'ouverture des portes.

10h

Les portes s'ouvrent enfin et là, c'est le branle bas de combat, comme pour un jour de soldes. (Misère). Mais surtout, c'est le début de la panique quand j'entends que les livres doivent être laissé au vestiaire. (Mais bien sûr! et je fais comment pour faire dédicacer les livres que j'ai apporté? Je les rachète sur place?). Heureusement, on "flashe" mon billet d'entrée sans vérifier l'intérieur de mon sac. (Quand je vous dis que j'ai une bonne tête!)

10h02

Me voilà enfin au Salon du livre et de suite, direction...les toilettes! (je sais, je vous fais le même coup chaque année).
Après ce petit passage obligé, me voilà à déambuler dans les allées regardant, un peu comme un gosse devant ses cadeaux de Noël, tous ces livres qui n'attendent que moi...ou pas.
Premier passage d'abord au Stand Belfond (que voulez-vous j'adore ces éditions) et là je fais un premier tour de repérage pour mes prochains achats chez eux et cela est très difficile car tout me fait envie. C'est l'horreur!

10h30

J'ai quitté le stand Belfond pour chercher celui de Milady Romance (heureusement que j'avais noter le n° du Stand car, petit comme il était, j'aurai eu du mal à le trouver).
C'est à ce stand que je fais mes premiers achats:


La Courbe parfaite (le Tome 1 de la série "Les idoles du Stade): Jaci Burton. (Bon, on ne va pas se mentir. J'ai fait une fixette sur la couverture qui est trop craquante. Pour une fois, j'assume ce choix). Mais c'est aussi pour le côté sportif (hum on va te croire, toi qui n'ai pas sportif pour deux sous).
Avant toi: Jojo Moyes (que j'avais déjà repéré en grand format), et qui me tente bien. Surtout après ma lecture d'un de ses romans.

En passant en caisse, j'ai eu droit au sac en toile Milady Romance que j'ai exhibé tout au long du salon, à mon épaule. Hyper fashion, je vous le dis! Et j'ai eu droit à un livre en cadeau:
Le Duc mis à nu (Tome 1 de la série Noblesse Oblige): Sally McKenzie. (En fait, j'ai pas eu trop le choix. La caissière était prêt à me donner un exemplaire du Tome 1 de la série Cupcake Club "Baiser sucré", de Donna Kauffman sauf que je l'avais déjà chez moi (et qu'il est déjà lu). J'ai donc eu ce livre qui me tente pas plus que ça, mais bon, un livre cadeau, ça ne se refuse pas.

 En passant devant le Stand  "Albin Michel", une file commence à se former pour la dédicace de Katherine Pancol qui se déroulera en début d'après-midi.
Même chose au stand "Pocket", pour Gilles le Gardinier.

11h

Direction, le stand d'Harlequin ou se tient une conférence sur le thème de la Romance moderne avec Cléo Buchheim et Angela Morelli, (auteures de romances) et animé par Fabiola du blog "Les Romantiques", et Cindy du blog "Lune et Plume". Cela était très intéressant (oui, même pour un garçon) sauf qu'on entendait pas grand chose. Ce qui était fort dommage.
Après une petite demi heure, je me suis eclipsé, plein de frustration pour reprendre mes déambulations dans le salon.

11h35

Retour au stand Belfond où j'hésite encore longtemps avant de me décider pour deux livres:


Ce qui restera de nous: Mark Gartside. Un roman que j'avais repéré dès sa sortie et qui s'est rappelé à mon bon souvenir quand je l'ai vu au Stand. Un roman, qui, apparemment va me faire pleurer. A voir.

Minuit à Pékin: Paul French. Une enquête qui se passe dans la Chine des années 30. Un livre qui oscille entre Polar et Document puisque l'auteur remet en lumière le meurtre d'une jeune Anglaise, Pamela Werner, qui eu lieu en janvier 1937 et qui n'a jamais été résolu. Paul French, après une enquête minutieuse dévoile enfin "le nom du monstre qui a tué Pamela et terroriser Pékin". Un livre intriguant que j'avais repéré dès sa sortie, il y a quelques semaines. Après une discussion avec une (gentille) personne qui travaille à Belfond, ce livre inaugurerait une "nouvelle collection" de livre qui oscillerai entre roman et document, en relatant de vraies affaires. Une "affaire", à suivre.

De nouveau un passage devant le stand Albin Michel ou la file "Pancol" à encore grossie. Celle de "LeGardinier" prend le même chemin. (Cela commence vraiment à faire peur)

11h50

Je déambule encore et toujours avec l'intention de chercher le Stand de chez Folio (sauf que je n'ai pas noté le n° du Stand) mais bon, à un moment, j'y arrive.
Je suis allé à ce stand pour une raison bien précise: acheter le dernier roman de Martin Winckler, que j'ai bien l'intention de voir en dédicace, en début d'après-midi.
Après ma petite virée sur le Stand où se trouvait Folio, je repars bien avec le livre voulu, et même un peu plus.

En souvenir d'André: Martin Winckler (un livre qui m'avait sauté aux yeux la semaine dernière dans une des librairies de ma ville).
La vacation: Martin Winckler (comme il était à côté de "En souvenir d'André" j'en ai profité pour le prendre. Il manquait à ma "collection Winckler").
Avenue des géants: Marc Dugain (J'ai pris celui ci au passage avant d'aller en caisse. Un roman qui m'avait interpellé lors de sa sortie.




12h05

Retour au Stand "Harlequin" pour une séance de dédicace un peu particulière avec Angela. (Ben oui, c'est quand même particulier quand vous connaissez un auteur, avec qui vous discutez virtuellement depuis tant d'années, avec cette impression de se connaitre, comme des amis). Bon, j'avoue, j'y suis allé un peu timidement, observant et écoutant les discussions. Puis, je m'immisce doucement dans la discussion et là, le regard d'Angela se pose sur moi et elle lance "Will" . Dès cet instant, ma timidité s'est débloquée et ce fut partie pour une discussion, entre Angela et d'autres copinautes comme Frankie (que je suis ravi d'avoir rencontrer, nous qui nous sommes manqué à chaque salon que nous avions fait. Ce fut un véritable plaisir), discussion hautement intellectuelle, qui oscillait entre l'espionnage, les Docteur (et un en particulier) ,  Shakespeare,  et de traduction...moldave et autre. (Oui, bon Ok, nous avons aussi parlé du Docteur, de David, de Sherlock, du Docteur, de Bénédict, de beaux gosses...mais tout ce que je dis avant la parenthèse est vrai également. Que croyez vous!).
Ce fut un bon moment de partage et une belle rencontre,qui, j'espère, en appellera d'autres.


Puis, après avoir lu ce mot, je n'ai qu'une hâte. Faire la connaissance de Samuel. "L'homme idéal (en mieux)" va se dévoiler à moi, dans pas longtemps. C'est moi qui vous le dit!
Merci pour cette jolie rencontre, à vous toutes!!













13h


Avant une pause repas bien mérité, je fonce au Stand des Editions Actes Sud pour me procurer le roman de Jaume Cabré: Confitéor que je veux découvrir depuis plusieurs avis élogieux sur ce roman. Merci d'ailleurs à Angela de m'avoir rappelé de glisser ce roman dans ma besace.













13h45

Après une pause repas du côté "Pique Nique", retour dans l'antre pour les fameuses dédicaces que j'avais noté.

Tout d'abord au Stand Pocket (où la file de "Le Gardinier", n'a pas cessé de enfler. Affolant!) où je cherche à savoir où est placé Jean-Philippe Blondel. (Car, oui, c'est bien pour lui que je suis venu. Cet auteur que je suis depuis quelques années maintenant). Après avoir fait le tour du stand et être arrivé au rayon Pocket Jeunesse, je remarque en face le dos de M. Blondel. C'est donc, d'un pas décidé que j'arrive par le côté à sa table. Et je croise à ce moment là George, accompagné d'un de ses fils. (Je pensais bien la rencontrer lors de cette dédicace, partageant cet admiration pour cet auteur). Je l'appelle timidement, elle se retourne et elle décide d'attendre mon passage devant M. Blondel,  avec moi .



Arrivé devant Jean-Philippe Blondel, je pose sur la table, ces deux derniers romans parus. Il me demande si je les ai déjà lu. Je répons affirmativement et nous en discutons un peu. Puis, je lui dit ma frustration après la lecture de ses romans, que j'aimerai bien en avoir un peu plus. Il me dit alors que son prochain roman (à paraître en  2015) sera un peu plus gros que ces derniers (et qu'il sera dans la même veine que "Et rester vivant", qui reste le livre qui m'a le plus touché pour le moment de l'auteur). Il ajoute également que le roman qu'il est en train d'écrire sera, lui aussi un peu plus épais que "Et rester vivant", et 6h41".
La discussion se termine par cette phrase: "vos romans sont brefs et se lisent en quelques heures mais ils restent en mémoire pendant plusieurs jours".

13h55

Après cet échange avec Jean-Philippe Blondel, me voici à la recherche du Stand des Editions P.O.L. afin de rencontrer Martin Winckler. Il n'est pas encore arrivé et déjà quelques personnes attendent devant la table. Je discute avec des lectrices et des admiratrices de M. Winckler.
Avant de vous parler de mon échange avec Martin Winckler, il faut que je vous précise que je n'ai lu AUCUN de ses romans, qui sont pratiquement tous dans ma PAL, de "La "Maladie de Sachs"à "En souvenir d'André", en passant par "Les Trois médecins" et "Le Choeur des femmes".

En fait, j'ai connu Martin Winckler, de par sa passion pour les Séries. Je suis un véritable sériphile, et je regarde des séries depuis que je suis tout petit.
Le livre de Martin Winckler "Les miroirs de la vie", fut une véritable "bible" pour moi, fan de série. Voilà l'un des seuls livres (avec les Miroirs obscurs, ouvrage collectif qui faisait suite aux "Miroirs de la vie") que j'ai lu et énormément apprécié de cet auteur.

A 14h, nous voyons arrivé Martin Winckler, qui s'installe tranquillement.

Puis, arrive, mon tour.


D'emblée, je pose les deux livres que j'ai décidé de faire dédicacer "Les Miroirs de la vie" et "En souvenir d'André". En voyant mon exemplaire des "Miroirs de la vie", il est étonné mais ravi de voir ce livre. (Je pense qu'il ne s'attendait pas du tout à dédicacer cet essai là). Je lui dit alors, tout de go, que je n'ai lu aucun de ses romans, qui pourtant, sont dans ma Bibliothèque depuis un moment déjà. Il m'explique alors qu'il n'y a aucun souci par rapport à cela puisque, ayant plusieurs activités distinctes, il a plusieurs publics. Celui des romans, celui des sériesphiles et un public plus porté sur le médical (sur la contraception, entre autres).

Puis, la discussion dérive tout naturellement...vers les Séries. Nous parlons d'Urgences, qui fut pour moi, l'une de mes premières séries préférées (et celle que j'ai regardé jusqu'au bout: 15 ans tout de même!) puis, il me demande quelles séries, je regarde en ce moment. Je lui parle alors de Looking (qui fait partie de mes coup de coeur de l'année) qu'il n'a pas encore pris le temps de regarder, de Bates Motel, qui l'intrigue beaucoup, et de Revenge, ce qui le fait rire ((je lui rétorque alors que c'est mon "côté soap" qui ressort de temps en temps). Pour finir, en beauté par Mad Men. 

Après cet échange, je pense qu'un des romans de Martin Winckler, qui traîne dans ma PAL, va en sortir rapidement. Peut être me fallait il cette rencontre, pour que je fasse, le premier pas vers ces romans. Une belle rencontre et un bel échange en tout cas.


14h35

Sur une impulsion, je décide de retourner au Stand "Milady Romance", pour la dédicace de Samntha Bailly.


Son 2e roman (chez Milady) me tentait bien. Donc, j'ai voulu en profiter pour rencontrer l'auteure. Après avoir acheté mon exemplaire des Stagiaires (où j'aurai pu encore avoir un sac Milady Romance en plus, sauf que j'ai dis que j'en avais déjà un. Un peu idiot de ma part car j'aurai pu en faire profiter quelqu'un. Mon côté gentil me perdra parfois. )
Cette rencontre fut rafraîchissante. Samantha Bailly est une auteure très gentille et à l'écoute. Nous avons parlé du statut des stagiaires, aujourd'hui, que chacun se retrouve dans ce livre, car qui n'a pas été stagiaire dans une entreprise, un jour?


De plus, nous avions la chance d'avoir deux dédicaces pour le prix d'une, pour ce roman puisque le dessinateur de la couverture était également présent. Ce qui rend ce livre hyper original, je trouve.
Une rencontre sympathique qui me donne envie de me plonger dans ce roman très prochainement.












15h30

Les Files "Pancol" et "Le Gardinier" sont toujours aussi longues, celle de Sophie Jomain, au Stand "j'ai lu", est également impressionnante, tout comme celle de Henri Loevenbruck.
Pour ma part, je décide de faire un dernier tour au Stand Belfond, où j'entame une discussion très intéressante avec Valérie, qui travaille aux Editions Belfond. Nous parlons de la collection "Belfond Vintage" qui propose des ouvrages de qualité et un peu oublié aujourd'hui. Notre discussion nous amène à parler droit d'auteurs, d'ayants droits, un peu compliqué à avoir, car il n'est pas si facile qu'on le pense d'avoir les droits de romans d'auteurs morts. C'est tout aussi, voir plus compliqué, de traiter avec les héritiers d'auteurs morts, qu'avec les auteurs eux même, quelquefois.
Nous parlons de Pat Conroy, d'Haruki Murakami, de Joyce Carol Oates et de Wally Lamb (dont "Le Chant de Dolores" fut témoin de mes premières larmes en littérature), dont elle m'apprend que le prochain roman "We are Water" (Nous sommes L'eau) serait prévu pour la rentrée de septembre. Puis, aussi de mes achats, dont de "Minuit à Pékin", qui inaugure donc un nouveau visage, chez Belfond (dont je vous ai parlé plus haut. )
Les Editions Belfond font partie de mes éditions préférées et je suis ravi à chaque fois, des découvertes et des discussions que j'échange avec eux.

16h

Il est temps pour moi de quitter le Salon car mon train par dans 1h12

17h12

Je monte dans le train, après avoir longé tout le quai pour arriver à la dernière voiture du train complètement sur les rotules. Je reprend la route, accompagné de Cal et Aron Trask.

19h

De retour chez moi, je range mes affaires et me prépare à passer la soirée en compagnie du Docteur.

20h45

Après une collation bien mérité, je m'installe devant mon poste de télévision, des souvenirs plein la tête. Mais bon, maintenant, le Salon à fermé ses portes pour moi, je me concentre sur mon écran et je ne veux être dérangé par personne. C'est maintenant "L'Heure de Docteur"...et c'est sacré.














Slow Qui Tue #184: Try to remember

Le slow qui tue de la semaine essaie de se souvenir...d'un petit café.

Harry Bellafonte: Try to remember



Bonne écoute!

jeudi 20 mars 2014

Un petit concours avec les Editions Points

Pour fêter l'arrivée du printemps.
Pour fêter la prochaine ouverture du Salon du Livre, (qui aura lieu à partir de demain,  Vendredi 21 mars jusqu'au lundi 24 mars 2014. D'ailleurs, cette année, je serai au Salon du Livre, le Samedi 22 mars 2014, une bonne partie de la journée).
Ou sans aucune raison , seulement de vous faire plaisir:

Mon petit Kabaret a décidé d'organiser un  concours pour vous faire gagner des livres, en partenariat avec   les Editions Points.


4 livres sont à gagner:

1 exemplaire de L'almanach (Pierre Desproges)

Ultime cadeau pour ses admirateurs, L’Almanach de Pierre Desproges, paru un mois après sa
mort, renoue avec les débuts de ce dernier. Incisives et laconiques, les rubriques sont autant de piques féroces envers les contemporains de Desproges, de perles telles que « Avec les pieds : c’est la seule façon de lire Le Figaro sans se salir les mains », sournoisement classées sous les anodins et familiers « Le saviez-vous ? », « Le con de la semaine », « Les bonnes manières » et autres « Truc de la semaine ».
 
 
 
 
 
 
 
 
 
1 exemplaire de Le Sommeil des poissons (Véronique Ovaldé)
 
 
Tout en haut du mont Tonnerre, dans un drôle de village peuplé de femmes, l’une d’entre elles, la mano triste, attend patiemment dans sa maison à courants d'air. Elle attend les hommes qui remontent du fleuve à chaque saison douce, et surtout Jo géant, avec son cœur tout miel… Un voyage aux airs de conte, doux et inquiétant.









1 exemplaire de Vies Cruelles ( Lorrie Moore)


Mary jongle entre deux amants. Reclus au-dessus d’un peep-show, un écrivain se fait voler ses idées. Jane aimerait chanter mais n’ose pas. Zoé, prof excentrique, ne sait plus flirter. Artistes ratés, intellectuels perdus dans une Amérique brutale, ils combattent l’ennui par l’humour et la folie douce. (Recueil de nouvelles)










1 exemplaire de Petit Oiseau du ciel  (Joyce Carol Oates)


Krista a confiance en son papa. Elle sait qu’il n’a pas pu tuer Zoe Kruller. Pourtant, à Sparta, les rumeurs s’amplifient, la police s’en mêle, on parle de crime adultère. Krista aimerait comprendre pourquoi sa famille est ravagée par cette histoire sordide. Adolescente sacrifiée sur l’autel des erreurs paternelles, elle conçoit peu à peu un amour étrange et obsessionnel pour Aaron, le fils de Zoe…








Pour avoir la chance de gagner l'un de ces livres, il vous suffira de répondre à trois petites questions en rapport avec les auteurs de ces livres.

C'est parti!

1) Quelle Chronique anima Pierre Desproges sur FR3 entre 1982 et 1984?
2) Quel roman de Véronique Ovaldé reçut trois Prix Littéraires en 2009/2010 (dont celui de France Télévisions)?
3) De quelle actrice au destin tragique et flamboyant, Joyce Carol Oates dressa le portrait dans l'un de ses plus célèbres romans: Blonde?

Pour participer, rien de plus simple:

Vous m'envoyez vos réponses à l'adresse mail suivante:

 
 
Vous avez jusqu'au  dimanche 30 mars 2014, à minuit, pour m'envoyer vos réponses.
 
 
Dans la limite du possible, j'aimerai qu'il y ait 4 gagnants (un gagnant par livre).
 
Donc, pour les participants au concours, n'oubliez pas de m'indiquer, dans votre mail ou en commentaires de ce billet  quels livres vous aimeriez gagner. (Le but est quand même de vous faire gagner  un livre qui vous fait envie ou que vous seriez susceptible d'aimer).
 
Un tirage au sort désignera les gagnants de chaque livre.
 
 
Petite précision: Surtout, ne me donnez pas vos réponses, en commentaires. Ce serait ballot de dévoiler les réponses aux questions aux autres participants. (Même si les réponses sont facilement  trouvables sur internet. (n'est ce pas Wiki!)
 
Allez, à vous de jouer!
 
Il ne me reste plus qu' à vous souhaiter
 
Bonne Chance à tous!
 
 
 
 







mercredi 19 mars 2014

La Discothèque du 20e siècle #49

En 1987, les Stranglers nous chantait qu'il y avait toujours le soleil.

Stranglers: Always the Sun (1987)


Apparus en même temps que la vague punk de 1977 (celle qui porta les Sex Pistols et les Clash au sommet de la gloire), les "étrangleurs" s'imposent très vite avec leurs chansons agressives (Peaches, No more heroes) et leurs concerts musclés. Dès 1982, avec Golden Brown, ils mettent de l'eau dans leur cyanure et alignent les tubes éminemment radiophoniques tels que Strange little girl, European female, Let me down easy, et en 1987, Always the Sun. (Source: Fascicule: "La Discothèque du 20e siècle: 1987", Polygram Direct)

Bonne écoute!

dimanche 16 mars 2014

Slow Qui Tue #183: Sang pour sang

Le slow qui tue de la semaine est sang pour sang français.

Johnny Hallyday: Sang pour sang


Bonne écoute!

vendredi 14 mars 2014

La Box de Pandore #1

Le mois dernier est apparu une nouvelle Box sur la toile . (Vous savez, ces fameuses Box que l'on reçoit tous les mois chez soi, sur un thème donné).

Cette Box s'intitule La Box de Pandore. Le thème principal de cette Box est axée sur la littérature jeunesse. (Elle est donc destinée aux plus petits jusqu'aux adolescents...mais peut aussi intéresser les adultes).

Lors de votre inscription, vous donnez l'âge de l'enfant à qui s'adresse cette Box, si c'est un garçon ou une fille (ou les deux) et quelques autres critères.

J'ai découvert cette Box grâce à Georges, Meli et Crouton.   Et ce concept m'a totalement séduit. (Le fait que je connaisse certaines des personnes qui s'occupent de cette Box (et dont je suis le blog depuis quelques années  n'est pas étranger à mon envie de me lancer dans l'aventure). J'aime toujours les nouvelles aventures et faire de nouvelles découvertes. Je n'avais donc plus à hésiter.

J'ai donc sauté le pas de l'inscription en février (pour pouvoir recevoir la Box du Mois de Mars).
Lors de mon inscription, j'ai précisé que la Box était pour moi, n'ayant pas d'enfant (une petite précision non négligeable surtout quand on met dans le questionnaire de présentation que la Box est destinée à un garçon  de 36 ans(!). Que voulez-vous je suis resté un grand enfant dans l'âme.
Mais surtout, c'était pour moi l'occasion de découvrir la littérature jeunesse et tout ce qu'elle a de diversifié (je suis novice dans ce domaine même si je lis de temps en temps de la littérature jeunesse).  J'ai axé également mes demandes sur la littérature adolescente principalement.

Après cette petite présentation (j'ai oublié de dire que l'abonnement était renouvelé tous les mois automatiquement. Mais si après avoir reçu votre box, vous décidez d'en rester là, il suffit de prévenir l'équipe (très sympathique et disponible) par mail. Rien ne vous empêche de reprendre un abonnement quelques mois plus tard) , il est temps de vous dire qu'aujourd'hui, j'ai reçu ma première Box de Pandore.

Et pour 18€, voici ce que j'ai reçu (en images)


Tout d'abord, ouverture délicate de la Box.


En premier, le petit sac (avec un chat so cute tout mimi) rempli de goodies. Il y avait dedans, des gourmandises:
- un petit rouleau de bonbons au chocolat "Candy" (et là je dis chapeau à l'équipe car je me demande comment ils ont fait pour savoir que Candy était mon dessin animé préférée quand j'étais petit et que je chante toujours la chanson "Au pays de Candy/Comme dans tous les pays/ On s'amuse, on pleure, on rit/ Il y a des méchants et des gentils") C'est pas possible, ils sont extralucides).
-des frites au cola (je suis pas très fan du cola mais c'est pas grave j'en ferai profiter quelqu'un de mon entourage)
-trois thés (un thé "Lipton Yellow et 2 thés aux fruits rouges et fruits des bois).
Et des petits objets:
-des étiquettes autocollantes avec des petits chats dessus. (j'adore!)
-un paquet de mouchoirs Bob l'(éponge (j'adore!)


Ensuite, il y avait une carte postale, à l'effigie du site. des flyers qui présente le site (et que je distribuerai autour de moi pour faire connaitre le site). Et
-un super agenda, dans sa pochette noire, classique mais très classe. Et les livres, bien protégés et entourées d'un joli ruban.


Maintenant, passons, en détail  à ce que vous attendez tous: les livres(!!!!)
Mais avant cela, il y avait aussi deux marques pages de Pandore (la mascotte du site) et deux petits autocollants tout mignons.

Bon, allez, trêve de bavardages: Les livres maintenant!!!!

Il y en avait trois. Enfin, pour être précis, et comme vous pouvez le voir sur la photo, deux romans et une BD.
Je dois dire qu'en voyant les livres que l'équipe m'avait choisi, j'ai été plus que ravi. Ils ont réussi a deviner mes goûts.

New York au cœur: Jacques Delval (Gulf Stream Editeur, Collection les Romans bleus) 7.40€: un petit roman qui conte une histoire d'amour dont le point d'orgue est New York, une ville que j'adore.

L'énigme des enfants étranges: Viviane Serard ((Le Courrier du Livre jeunesse) 14.90€:  un roman fantastique, qui parle d'enfants qui vont développer des particularités physiques liés à un animal ou à un héros mythique. Une histoire avec des ados de notre temps mais qui sont pourtant issus d'un conte médiéval un peu oublié: l'histoire de Mélusine, la fée historique des Lusignan, seigneurs du Poitou.
Encore une fois, l'équipe à taper juste, car pour ma part  je connais bien évidemment la fée Mélusine, puisque j'habite dans le Poitou. C'est donc un roman qui raconte une légende de ma région.

L'énigme de la disparition du Dr Grahms (Tome 1: Cineria-Cruentus): Gaéta (Editions Soleil): cela fait beaucoup d'énigme pour une première box. Cela tombe bien, j'aime ça les énigmes. De plus cette BD se déroule apparemment à Londres au XIXe siècle et que c'est un polar. Mais je n'en sais pas beaucoup plus, puisqu'il n'y a qu'une phrase énigmatique (!) sur la 4e de couverture. Mais, bon ,encore une fois l'équipe de Pandore a bien choisi car j'aime beaucoup les histoires se déroulant dans l'Angleterre du XIXe.

Comme vous pouvez le voir, la Box est bien garnie et le prix (18 €) est largement amorti, rien qu'avec les livres. (cela fait une trentaine d'euros à peu près).
L'équipe de la Box de Pandore a su très bien choisir, en fonction de mes goûts et de mes envies (malgré le peu d'indices que je leur avait donné).


Encore merci et bravo à eux pour tout le travail qu'il fournisse pour nous offrir des livres et des albums variés et peu connu (pour ma part, je ne connaissais aucun des livres que j'ai reçu). Pour moi qui suis friand de nouvelles découvertes, je suis comblé.
Et je rempile direct pour le mois prochain.

En attendant de découvrir ce que l'équipe de la Box de Pandore nous concocte pour le mois prochain, il ne me reste plus qu'à découvrir les jolis livres qu'ils m'ont envoyés.

Je vous encourage vraiment à sauter le pas, si vous avez des enfants (où si vous voulez simplement en découvrir plus sur la littérature jeunesse). Cette Box vaut le coup!

La Box de Pandore: une Box qui plaira à tous, de 0 à 99 ans (et peut être même à 100 ans, soyons fous), car, tout le monde garde au fond de soi  une âme d'enfant.




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